Seize ans après avoir lancé son premier plan pour le développement agricole, la Côte d’ivoire est
toujours à la recherche de l’autosuffisance alimentaire. Elle dépense150 milliards FCFA pour importer du riz et environ 5 milliards pour l’oignon
A la base de l’alimentation de la population locale et au centre des stratégies visant l’autosuffisance alimentaire, les cultures vivrières sont inscrites en première ligne dans la politique de développement de la Côte d’Ivoire. Le vibrant hommage rendu par le Chef de l’Etat aux acteurs de cette filière lors de la dernière célébration de la fête de l’indépendance en dit long sur l’intérêt que représente ce secteur pour toute la nation ivoirienne. Depuis 1992, en effet, la côte d’ivoire s’est dotée d’un plan directeur de développement agricole (PPDA 1992 – 2015). Celui-ci a été approuvé en conseil des ministres le 2 juillet 1993. À l’heure où sont décorés les Irié Lou Colette, Botty Lou Rosalie et autre Kouadio Tiacoh, force est de reconnaître que la situation des principales filières de production vivrière n’est pas reluisante. Si pour leur majorité, les objectifs de production ont été atteints, pour certaines les productions observées n’ont jamais pu approcher lesdites prévisions.
Par Maruis Nouza (stagiaire)
A lire la suite de cet article dans le JDE n°025 du lundi 17 au dimanche 23 août 2009
toujours à la recherche de l’autosuffisance alimentaire. Elle dépense150 milliards FCFA pour importer du riz et environ 5 milliards pour l’oignon
A la base de l’alimentation de la population locale et au centre des stratégies visant l’autosuffisance alimentaire, les cultures vivrières sont inscrites en première ligne dans la politique de développement de la Côte d’Ivoire. Le vibrant hommage rendu par le Chef de l’Etat aux acteurs de cette filière lors de la dernière célébration de la fête de l’indépendance en dit long sur l’intérêt que représente ce secteur pour toute la nation ivoirienne. Depuis 1992, en effet, la côte d’ivoire s’est dotée d’un plan directeur de développement agricole (PPDA 1992 – 2015). Celui-ci a été approuvé en conseil des ministres le 2 juillet 1993. À l’heure où sont décorés les Irié Lou Colette, Botty Lou Rosalie et autre Kouadio Tiacoh, force est de reconnaître que la situation des principales filières de production vivrière n’est pas reluisante. Si pour leur majorité, les objectifs de production ont été atteints, pour certaines les productions observées n’ont jamais pu approcher lesdites prévisions.
Par Maruis Nouza (stagiaire)
A lire la suite de cet article dans le JDE n°025 du lundi 17 au dimanche 23 août 2009