"Notre Defi" répond à "Le Nouveau Réveil" dans l`affaire Diby Koffi Charles : Nous n’envions pas votre professionnalisme’’

Conformément à la ligne éditoriale de ‘’Notre Défi’’ qui consiste à traquer tous ceux pour qui le bien public se confond au bien personnel, nous nous sommes également assignés l’objectif de promouvoir tous les auteurs d’actions en faveur du développement. C’est dans ce but que nous avions cru utile de faire un clin d’œil à celui qui est chargé de mener à bien le programme PPTE pour le bien- être du peuple de Côte d’Ivoire qui a trop souffert de la crise. Dans nos recherches, il nous a été donné de constater que le ministre Diby a deux lieux et date de naissance différents. L’objectif de notre démarche n’étant pas la recherche de la filiation du Ministre Diby, nous avons fermé l’œil là-dessus et avons choisi la date du 07 novembre 1957 à laquelle Diby Charles Koffi, fils de feue Diby Yao Kra Jeanne serait née à Tiébissou. Cette ville étant plus proche de Bouaflé, ville natale de sa mère Diby Yao Kra Jeanne, (Ayahou). Nous n’avions jamais imaginé que ce fait nous vaudrait autant de méchanceté, via notre confrère ’’Le Nouveau Réveil’’. Ainsi ‘’Notre Défi ‘’ a été traité par le journal du président du GEPCI de manquer de ‘’professionnalisme ‘’en diffusant de fausses informations sur une autorité .Ce canard a même ajouté que nous avons ‘’tué et enterré’’ le père de Diby Koffi. Aussi, le Ministre Diby n’aurait jamais été militant du PDCI. Hélas ! Dirait l’autre. Nos professionnels de la presse le sont tellement et spécialistes du ministre Diby, qu’ils ignorent que feue Diby Yao Kra Jeanne est la mère de leur ‘’ client’’. S’appeler donc Diby Yao, est synonyme de ‘’Papa’’ pour ces grands professionnels. Si aujourd’hui, Diby Koffi Charles ne veut plus entendre parler du PDCI et qu’il utilise ce canard de ce parti pour rétablir ‘’la vérité’’, les lecteurs en jugeront eux-mêmes. Ce confrère donne l’impression que faire partie des grandes instances du PDCI ou militer dans ce parti est incompatible avec le poste de ministre de l’Economie et des Finances, ils ont certainement raison quand on sait la gestion scabreuse, mafieuse et calamiteuse réalisé par celui qui est à la tête de ce parti avant d’être chassé comme un malpropre par ’’ les jeunes gens’’. Que le journal du PDCI nous apprenne que le ministre Diby Charles, grand économiste de son état, n’a jamais milité dans ce parti, nous rendons gloire à Dieu. M .Diby ne mérite vraiment pas de militer dans ce parti qui, au pouvoir, a bâillonné et muselé la presse, dilapidé les fonds publics, enchainé des étudiants sur des lits d’hôpitaux, surendetté le pays…Diby n’est donc plus un militant du PDCI. Pourquoi ‘’l’avocat-journaliste’’ de Diby Charles est si frileux ? Que cache son ’’ client Diby’’ ? Ecrire que l’article incriminé serait commandité par des gens tapis dans l’ombre dont l’auteur serait le bras séculier ? Il aurait fallu que lui qui est en contact permanent avec Charles Diby, lui pose la question de savoir qui est Diby Yao avant d’accuser le journal du peuple d’avoir ‘’tué et enterré son père’’. En tout cas, ce professionnalisme qui consiste à ‘’courir’’ au bureau du défendu, le jour même de la parution du fameux article, nous ne l’aurions pas fait. Charles Diby, qui ne veut plus entendre parler du PDCI, introduira bientôt une demande de divorce, son épouse étant la nièce du président actuel du PDCI. S’ériger en donneur de leçon quant on se connait tous dans ce milieux, traiter un confrère de manquer de professionnalisme, de tronquer la vérité, de faire des amalgame, de manquer donc de crédibilité, est contraire à l’éthique de la confraternité. Et’’ Le Nouveau Réveil ‘’peut-il assumer les conséquences d’une polémique sur le ministre Diby ? Comme il s’agit de Diby Koffi Charles, nous invitons nos confrères et tous les Ivoiriens à découvrir la face cachée de Diby Koffi Charles, son enfance, son père, qui est vraiment kouassi Diby Marcelin/ Mathurin, instituteur de son état, autrefois Directeur de l’EPP BODOKRO, aujourd’hui propriétaire de plusieurs établissements privés et résidant à Yamoussoukro. Dans nos prochaines parutions, lisez le témoignage du peuple AYAHOU.

Une enquête de l’inspecteur TOH BIDI, à lire absolument.

Toh Bidi