Le ministre en charge de la Jeunesse, du Sport et des Loisirs, Dagobert Banzio, a remis les chèques de la parafiscalité du 2e trimestre 2009 aux présidents de Fédération, hier matin, à son cabinet au Plateau. Il les a surtout invités à une gestion transparente.
“Je vous demande de faire en sorte qu'on ait les justificatifs des chèques du premier trimestre 2009 que vous avez reçus le 20 juillet dernier. De sorte que les choses soient suffisamment claires. Faites également l'effort de bien gérer l'argent de la parafiscalité pour éviter les crises ". Telle est la quintessence des propos liminaires du ministre de la Jeunesse, du Sport et des Loisirs, Dagobert Banzio, hier matin au Plateau, lors de la cérémonie de remise des chèques de la parafiscalité du 2e trimestre de l'année en cours. C'est au total la somme de 89. 017. 933 de F cfa qu'il a distribuée à 23 Fédérations sportives selon leurs grades respectifs. Selon Banzio, nombreux sont les présidents qui ne tiennent pas compte de la convention d'objectif pour laquelle la parafiscalité a eu droit de cité. Il a également déploré le fait que certains bénéficiaires n'arrivent pas à justifier les dépenses effectuées comme cela est exigé. En faisant allusion à la crise qui pointe du nez au sein de la Fédération ivoirienne de Sports paralympique dirigée par Serge Pacôme Trazié, Dagobert Banzio a exhorté l'ensemble des présidents à plus de responsabilité, à plus de transparence afin que l'ensemble de leurs collaborateurs soit à l'aise dans la gestion. Il a par ailleurs fait mention de ce que dorénavant seuls les présidents eux-mêmes ou, à la rigueur, leurs premiers vice-présidents sont dorénavant habilités à recevoir les chèques. " Cela nous permettra, a-t-il justifié, de nous rencontrer et d'échanger sur certains sujets relatifs au sport en général ". Le président de la Fédération ivoirienne de Tennis, Me Georges N'Goan a, au nom de tous ses pairs, remercié le ministre qui ne cesse de se battre pour le bien-être de leurs disciplines respectives. Les présidents des Fédérations de pentathlon moderne, de canoë kayak, des arts martiaux chinois et d'handball ont brillé par leurs absences.
Eugène Djabia
djabia05664285@yahoo.fr
“Je vous demande de faire en sorte qu'on ait les justificatifs des chèques du premier trimestre 2009 que vous avez reçus le 20 juillet dernier. De sorte que les choses soient suffisamment claires. Faites également l'effort de bien gérer l'argent de la parafiscalité pour éviter les crises ". Telle est la quintessence des propos liminaires du ministre de la Jeunesse, du Sport et des Loisirs, Dagobert Banzio, hier matin au Plateau, lors de la cérémonie de remise des chèques de la parafiscalité du 2e trimestre de l'année en cours. C'est au total la somme de 89. 017. 933 de F cfa qu'il a distribuée à 23 Fédérations sportives selon leurs grades respectifs. Selon Banzio, nombreux sont les présidents qui ne tiennent pas compte de la convention d'objectif pour laquelle la parafiscalité a eu droit de cité. Il a également déploré le fait que certains bénéficiaires n'arrivent pas à justifier les dépenses effectuées comme cela est exigé. En faisant allusion à la crise qui pointe du nez au sein de la Fédération ivoirienne de Sports paralympique dirigée par Serge Pacôme Trazié, Dagobert Banzio a exhorté l'ensemble des présidents à plus de responsabilité, à plus de transparence afin que l'ensemble de leurs collaborateurs soit à l'aise dans la gestion. Il a par ailleurs fait mention de ce que dorénavant seuls les présidents eux-mêmes ou, à la rigueur, leurs premiers vice-présidents sont dorénavant habilités à recevoir les chèques. " Cela nous permettra, a-t-il justifié, de nous rencontrer et d'échanger sur certains sujets relatifs au sport en général ". Le président de la Fédération ivoirienne de Tennis, Me Georges N'Goan a, au nom de tous ses pairs, remercié le ministre qui ne cesse de se battre pour le bien-être de leurs disciplines respectives. Les présidents des Fédérations de pentathlon moderne, de canoë kayak, des arts martiaux chinois et d'handball ont brillé par leurs absences.
Eugène Djabia
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