Pourquoi avez-vous choisi le Zanzan pour ce festival ?
Cette question revient encore. L'année dernière, elle a été posée. La réponse est invariable. Nous avons choisi le Zanzan parce qu'elle fait partie d'une région de la Côte d'Ivoire dont il faut assurer la promotion du patrimoine. Nous avons observé que cette région fait partie de celles qui n'ont pas à ce jour, de festival contrairement aux autres. Alors qu'elle regorge les potentialités culturelles importantes. Il était de notre devoir de mettre un accent sur cette région, pour qu'elle puisse montrer aux autres le patrimoine dont elle dispose.
Il avait été question lors de la première édition que le festival se fasse de façon tournante. Pourquoi cette année, il se tient encore à Bondoukou ?
A partir de 2010, nous allons instaurer un festival national. Ce qui manque à la Côte d'Ivoire. Chaque région organise son festival. Il y a même des régions qui organisent plusieurs festivals. Il est question maintenant d'avoir un évènement à caractère national, et c'est ce que nous allons appeler la semaine de la culture et des arts de Côte d'Ivoire. Sur une semaine entière, nous allons mettre en compétition, tous les festivals des différentes régions de la Côte d'Ivoire. Ce circuit va remplacer le festival tournant dont j'ai parlé lors de la première édition du festival du Zanzan.
Il semble que vous avez eu des difficultés pour boucler le budget de l'édition 2009.
Votre information est exacte. Nous avons eu du mal à boucler le budget. Depuis que notre pays est en crise, nous avons du mal à boucler les budgets de nos manifestations. Cette année n'a pas échappé à la règle. Nous avons eu du mal à boucler le budget. Mais l'essentiel, c'est que ça a été bouclé, et il est de 45 millions.
Après les élections du 29 novembre prochain, si vous n'êtes pas reconduit, quel sera le sort du festival du Zanzan ?
Le festival va échoir désormais aux fils de la région. Deux associations culturelles de la région à savoir Sousoupapa et Côte d'Ivoire Culture ont décidé de porter le festival du Zanzan. Donc c'est la dernière édition que le ministère réalise.
M. G.
Cette question revient encore. L'année dernière, elle a été posée. La réponse est invariable. Nous avons choisi le Zanzan parce qu'elle fait partie d'une région de la Côte d'Ivoire dont il faut assurer la promotion du patrimoine. Nous avons observé que cette région fait partie de celles qui n'ont pas à ce jour, de festival contrairement aux autres. Alors qu'elle regorge les potentialités culturelles importantes. Il était de notre devoir de mettre un accent sur cette région, pour qu'elle puisse montrer aux autres le patrimoine dont elle dispose.
Il avait été question lors de la première édition que le festival se fasse de façon tournante. Pourquoi cette année, il se tient encore à Bondoukou ?
A partir de 2010, nous allons instaurer un festival national. Ce qui manque à la Côte d'Ivoire. Chaque région organise son festival. Il y a même des régions qui organisent plusieurs festivals. Il est question maintenant d'avoir un évènement à caractère national, et c'est ce que nous allons appeler la semaine de la culture et des arts de Côte d'Ivoire. Sur une semaine entière, nous allons mettre en compétition, tous les festivals des différentes régions de la Côte d'Ivoire. Ce circuit va remplacer le festival tournant dont j'ai parlé lors de la première édition du festival du Zanzan.
Il semble que vous avez eu des difficultés pour boucler le budget de l'édition 2009.
Votre information est exacte. Nous avons eu du mal à boucler le budget. Depuis que notre pays est en crise, nous avons du mal à boucler les budgets de nos manifestations. Cette année n'a pas échappé à la règle. Nous avons eu du mal à boucler le budget. Mais l'essentiel, c'est que ça a été bouclé, et il est de 45 millions.
Après les élections du 29 novembre prochain, si vous n'êtes pas reconduit, quel sera le sort du festival du Zanzan ?
Le festival va échoir désormais aux fils de la région. Deux associations culturelles de la région à savoir Sousoupapa et Côte d'Ivoire Culture ont décidé de porter le festival du Zanzan. Donc c'est la dernière édition que le ministère réalise.
M. G.
