La Direction départementale de campagne(DDC) de Laurent Gbagbo à Koun-Fao a organisé, le 28 août dernier, un séminaire, à l’EPP municipalité de la localité. Y ont participé, les directeurs locaux de campagne (DLC), les délégués électoraux de secteur (DES), les secrétaires généraux de section FPI, les responsables locaux des structures spécialisées FPI et des militants d’autres partis politiques tels que le RPP de Laurent Dona Fologo et l’UDCY de Mel Eg Théodore.
Le thème général du séminaire était : “Stratégie électorale en période de campagne”. Le DDC Augustin Kouadio Comoé a invité d’autres cadres du parti de Pascal Affi N’Guessan pour animer avec lui ce séminaire. Le ministre Comoé s’est chargé de faire “l’Etat des lieux”. Il est parti de l’historique du parti dans le département, historique qui part des premières heures du retour du multipartisme en Côte d’Ivoire mais qui, aux dernières consultations, s’est traduite en termes de perte de tous les postes électifs locaux malgré la victoire de Laurent Gbagbo en octobre 2000. Cela n’a cependant pas empêché les animateurs locaux du FPI, de travailler pour implanter davantage leur parti. L’érection de Koun-Fao en département a stimulé cette implantation, selon M. Comoé. Malheureusement, a-t-il avoué, des frictions entre les cadres du parti ont ralenti le mouvement. Cela a permis au PDCI et au MFA de reprendre du poil de la bête.
Pour rectifier le tire, Augustin Comoé et le fédéral Kouadio Krémé, les principaux protagonistes des frictions, ont décidé, au cours du séminaire, de faire taire les querelles pour mieux œuvrer à la réélection de Laurent Gbagbo.
Le thème central a été l’affaire de Me André Kouassi, délégué chargé de la formation politique au sein du secrétariat national chargé de la doctrine, des problèmes de société et de la formation politique. Pour définir le concept de stratégie, il a dit qu’il a été emprunté à l’armée. Rapporté au processus électoral, le concept appelle à la mise en commun des procédés et des moyens pour gagner. Me Kouassi a insisté sur les conditions du succès de la stratégie. “La stratégie ne doit jamais perdre de vue l’objectif. Et dans notre cas, l’objectif, c’est la victoire de Laurent Gbagbo”, a conclu le conférencier.
Ettien Amoikon, 2ème secrétaire national chargé de la formation politique et secrétaire général de la fédération d’Abengourou est intervenu sur “les opérations électorales”. Successivement, il a instruit les intervenants sur la constitution de la liste électorale, le déroulement du vote et la place des représentants des partis politiques dans les opérations électorales. L’un des aspects du point concernant la constitution de la liste électorale a été “le contentieux sur la liste électorale”. A ce niveau précis, M. Ettien a relevé les cas de réclamation : les omissions, la fraude, les décès, la perte de la qualité d’électeur pour des raisons judiciaires, les irrégularités ou erreur d’écriture sur l’identité. “Tout électeur inscrit sur la liste électorale, tout comme tout membre de la CEI, tout omis, toute personne qui constate une anomalie sur la liste électorale affichée, est en droit de déclencher la procédure de réclamation’’, a souligné le fédéral d’Abengourou, par ailleurs directeur de cabinet du ministre de la Défense.
Enfin, Augustin Guéhoun, secrétaire national chargé de la communication et du marketing politique a fait part de “communication et marketing en période électoral”. Dr Guéhoun a d’abord appelé les militants et responsables de la campagne de Laurent Gbagbo a bien identifier les raisons de la crise déclenchée, le 19 septembre 2002 et mettre en exergue la manière dont le Président de la République l’a gérée. Ensuite, il a recommandé de mettre en relief le bilan de Laurent Gbagbo en 9 ans, devant celui de ses concurrents, sans oublier les grands pans de son programme de gouvernement. Et, enfin, de trouver des mots de ralliement.
Dan Opéli Information, service de communication de la DDC de Koun-Fao
Le thème général du séminaire était : “Stratégie électorale en période de campagne”. Le DDC Augustin Kouadio Comoé a invité d’autres cadres du parti de Pascal Affi N’Guessan pour animer avec lui ce séminaire. Le ministre Comoé s’est chargé de faire “l’Etat des lieux”. Il est parti de l’historique du parti dans le département, historique qui part des premières heures du retour du multipartisme en Côte d’Ivoire mais qui, aux dernières consultations, s’est traduite en termes de perte de tous les postes électifs locaux malgré la victoire de Laurent Gbagbo en octobre 2000. Cela n’a cependant pas empêché les animateurs locaux du FPI, de travailler pour implanter davantage leur parti. L’érection de Koun-Fao en département a stimulé cette implantation, selon M. Comoé. Malheureusement, a-t-il avoué, des frictions entre les cadres du parti ont ralenti le mouvement. Cela a permis au PDCI et au MFA de reprendre du poil de la bête.
Pour rectifier le tire, Augustin Comoé et le fédéral Kouadio Krémé, les principaux protagonistes des frictions, ont décidé, au cours du séminaire, de faire taire les querelles pour mieux œuvrer à la réélection de Laurent Gbagbo.
Le thème central a été l’affaire de Me André Kouassi, délégué chargé de la formation politique au sein du secrétariat national chargé de la doctrine, des problèmes de société et de la formation politique. Pour définir le concept de stratégie, il a dit qu’il a été emprunté à l’armée. Rapporté au processus électoral, le concept appelle à la mise en commun des procédés et des moyens pour gagner. Me Kouassi a insisté sur les conditions du succès de la stratégie. “La stratégie ne doit jamais perdre de vue l’objectif. Et dans notre cas, l’objectif, c’est la victoire de Laurent Gbagbo”, a conclu le conférencier.
Ettien Amoikon, 2ème secrétaire national chargé de la formation politique et secrétaire général de la fédération d’Abengourou est intervenu sur “les opérations électorales”. Successivement, il a instruit les intervenants sur la constitution de la liste électorale, le déroulement du vote et la place des représentants des partis politiques dans les opérations électorales. L’un des aspects du point concernant la constitution de la liste électorale a été “le contentieux sur la liste électorale”. A ce niveau précis, M. Ettien a relevé les cas de réclamation : les omissions, la fraude, les décès, la perte de la qualité d’électeur pour des raisons judiciaires, les irrégularités ou erreur d’écriture sur l’identité. “Tout électeur inscrit sur la liste électorale, tout comme tout membre de la CEI, tout omis, toute personne qui constate une anomalie sur la liste électorale affichée, est en droit de déclencher la procédure de réclamation’’, a souligné le fédéral d’Abengourou, par ailleurs directeur de cabinet du ministre de la Défense.
Enfin, Augustin Guéhoun, secrétaire national chargé de la communication et du marketing politique a fait part de “communication et marketing en période électoral”. Dr Guéhoun a d’abord appelé les militants et responsables de la campagne de Laurent Gbagbo a bien identifier les raisons de la crise déclenchée, le 19 septembre 2002 et mettre en exergue la manière dont le Président de la République l’a gérée. Ensuite, il a recommandé de mettre en relief le bilan de Laurent Gbagbo en 9 ans, devant celui de ses concurrents, sans oublier les grands pans de son programme de gouvernement. Et, enfin, de trouver des mots de ralliement.
Dan Opéli Information, service de communication de la DDC de Koun-Fao
