Monsieur le Secrétaire Général du PDCI-RDA
Messieurs les Vice-présidents du PDCI-RDA,
Messieurs les Délégués départementaux
Messieurs les Elus;
Autorités coutumières d`Azaguié
Honorables membres des Instances du PDCI-RDA;
Vaillants Secrétaires généraux de Sections;
Madame la Présidente et les Membres de l`UFPDCI ;
Monsieur le Président et les Membres de la JPDCI ;
Mesdames et Messieurs les Présidents des mouvements de soutien au PDCI-RDA ;
Populations d`Azaguié;
Mesdames et Messieurs;
Chers compatriotes d`Azaguié,
Votre ville en liesse, la chaleur de votre accueil si fraternel, me comblent de joie, ainsi que mon épouse et la délégation qui m`accompagne. C`est le témoignage de votre attachement fidèle au PDCIRDA et de votre foi en son ambition pour relever la Côte d`Ivoire.
Je salue et félicite, pour cette mobilisation exceptionnelle, le Délégué départemental d`Azaguié, M. Kotchy Prosper, ancien consul de notre pays au Libéria, pour la constance de son dévouement et sa disponibilité au service de notre grand parti.
J`associe également à ces félicitations et encouragements nos vaillants secrétaires généraux de section et leurs équipes.
Je rends spécialement hommage à Mme Marie Akobé Dosso, qui fut un des "compagnons" de l`exaltante "aventure 1946" qui regroupait les jeunes filles et les jeunes garçons envoyés en France, dès la fin de la seconde Guerre mondiale par le député du PDCI-RDA, Félix HouphouëtBoigny, pour y poursuivre leurs études afin d`accroître le potentiel des cadres de la nation naissante. Que son exemple de dévouement et de fidélité au PDCI -RDA inspire la jeunesse ivoirienne aujourd`hui en déshérence.
Je salue M. Kanon N`Takpé Marcel, N`Cho Motho Léonard, Essé Oboumou, Yavo David, Mme N` Gbesso Marie, M. Yapi Damas et leurs collaborateurs.
Je salue également les autorités coutumières pour leur présence distinguée à cette fête de famille.
. Aux cadres, aux jeunes, aux femmes, à tous nos militants et militantes qui ont rendu possible cette rencontre familiale, j`exprime ma sincère reconnaissance pour leur disponibilité et leur généreuse contribution.
Chers compatriotes d` Azaguié,
Votre fidélité à notre parti honore les militants de la première heure qui vous ont transmis le flambeau de notre lutte pour l`émancipation des hommes et des femmes de notre pays. Je veux me souvenir, avec une profonde émotion, de Dessi Kanon Valentin, de Blé Victor, d` Amara Coulibaly, N` Gbesso Amos Koutouan, Kouao Kanon Venance et de N` Cho Kotchy.
En mémoire de tous ces valeureux fils et filles de la délégation d`Azaguié, levons-nous et observons ensemble une minute de silence.
Je vous remercie!
Chers frères et sœurs d` Azaguié,
Avec l`arrivée du rail et grâce à l`application et à l`utilisation des résultats de la recherche scientifique, votre cité est devenue un grand centre de cultures vivrières et fruitières ainsi que de produits d`exportation tels que l`ananas, la papaye " solo ", la banane plantain et la banane poyo, le mangoustan, le gingembre, les agrumes et les fleurs.
Dans sa volonté d`accroître ces productions et accélérer sa modernisation, Azaguié a vu arriver des vagues successives de migrants intérieurs et d`étrangers que, par votre ouverture, votre sens de 1 `hospitalité et votre générosité, vous avez su si harmonieusement intégrer.
Je me félicite du travail acharné et fécond que vous avez accompli, ici, et qui a permis à la Côte d`Ivoire de réaliser, dès notre indépendance, ses premières grandes performances agricoles.
Aujourd`hui, comme vous le constatez tous, les choses ont bien changé! Notre pays ne ressemble plus à ce qu`il fût. Ses nouveaux maîtres qui ont attendu d`être au pouvoir pour échafauder de nouvelles théories de développement et de relations internationales, l`ont précipité dans l`abîme.
Adeptes de la violence qu`ils ont professée et qui a atteint son paroxysme dans le coup d`Etat imbécile de 1999, les refondateurs ont rendu méconnaissable notre pays et cela sur tous les plans. Ainsi au lieu de promouvoir la liberté et d`accroître la richesse promise aux Ivoiriens, ils ont, au contraire, détruit l`Etat, la justice, l`économie, le travail, le bien-être des Ivoiriens et dévoyé les Institutions. Ils ont défiguré ainsi le pays qu`ils ont relégué parmi les derniers Etats de la planète.
S`agissant des Institutions, le parlement ne fonctionne plus pas plus que les autres d`ailleurs. Or, son rôle est essentiel pour réguler la vie de l`Etat, pour assurer l`harmonie sociale et, surtout, respecter sa fonction première qui est de voter le budget et évaluer son exécution.
Aujourd`hui, on légifère par ordonnance, le parlement ne fait plus rien. C`est une entorse grave à la démocratie et à notre Constitution. Et dire qu`un des fils de la région d`ici, un certain doct professeur est à la tête de cette gouvernance de l`Assemblée nationale qui n`honore personne. Nous comprenons maintenant ce que "gouverner autrement" veut dire! C` est-àdire le néant!
Que dit le parlement sur les détournements massifs de l`argent des filières café et cacao, de l`enrichissement illicite et colossal de certains Ivoiriens, du naufrage de notre système éducatif et sanitaire, de l`appauvrissement aggravé de toutes les populations? Rien!
Je rappelle que j`ai moi-même été parlementaire et président de notre Assemblée nationale pendant de nombreuses années. Et je connais les responsabilités qui lui incombent!
J`ai souvenance que le 4 juillet 2003, les Etatsmajors militaires avaient déclaré la fin de la guerre.
Mais une voix discordante en a décidé autrement, pour prolonger inutilement les souffrances des Ivoiriens. Le parlement a t-il eu à se prononcer?
Il me peine ainsi que cette institution prestigieuse se soit détournée de sa vocation au profit de manœuvres indignes pour assassiner la démocratie par l`achat des consciences et installer la dictature.
Pendant ce temps, on nous débite des idéologies et théories brumeuses à longueur de journée, on détourne l`argent des paysans et de l`Etat pour s`offrir qui des dîners à cinquante millions le couvert, qui des voitures à cinq cent millions, qui des villas et châteaux à des centaines de millions de nos francs alors qu`ils savent et reconnaissent eux-mêmes que c`est difficilement que l`Ivoirien peut, aujourd`hui, s`offrir un repas par jour!
C`est irresponsable et méchant!
Aux prochaines élections, à commencer par l`élection présidentielle du 29 novembre 2009, il faut donc nous séparer de ces refondateurs véreux qui vous ont menti sur tout et en tout.
En effet, il nous faut sortir de ces bafouillages et de ces balbutiements. L`occasion nous en est maintenant donnée. Vous êtes appelés à voter. Par votre vote et votre détermination militante, vous devez renvoyer le FPI dans ses ateliers et laboratoires de production de promesses démagogiques, d`illusions et de mensonges.
La Côte d`Ivoire veut des routes, des écoles, des hôpitaux et des centres de santé, des emplois et du travail pour ses jeunes, ses femmes et ses hommes. La Côte d` Ivoire ne veut pas la guerre mais la paix dans l`union harmonieuse de ses fils et de ses filles avec toutes les communautés qui vivent sur son sol.
La Côte d`Ivoire veut se développer dans un effort soutenu et continu de Progrès pour tous et de bonheur pour chacun.
C`est conscient de toutes ces aspirations légitimes de nos concitoyens que le PDCI-RDA se donne le devoir de reconquérir le pouvoir d`Etat afin d`instaurer ce que j`ai appelé, dès 1993, la démocratie apaisée pour renforcer l`Etat et ses institutions pour plus de justice en vue de consolider la solidarité nationale, rassembler les Ivoiriens dans l`effort de reconstruction de notre économie détruite par l`incompétence du FPI.
Le 29 novembre 2009, il nous faut changer le destin de la Côte d`Ivoire! Cette date contient les germes d`espérance pour le renouveau de notre nation, de notre jeunesse et de nos populations. C`est pourquoi nous devons nous mobiliser massivement pour la rendre effective. Le 29 novembre 2009, portez l`espoir au pouvoir en votant PDCI-RDA !
Vive Azaguié ! Vive le PDCI-RDA
Vive la Côte d`Ivoire paisible, fraternelle et solidaire.
Henri Konan BEDIE
Président du PDCI –RDA
Messieurs les Vice-présidents du PDCI-RDA,
Messieurs les Délégués départementaux
Messieurs les Elus;
Autorités coutumières d`Azaguié
Honorables membres des Instances du PDCI-RDA;
Vaillants Secrétaires généraux de Sections;
Madame la Présidente et les Membres de l`UFPDCI ;
Monsieur le Président et les Membres de la JPDCI ;
Mesdames et Messieurs les Présidents des mouvements de soutien au PDCI-RDA ;
Populations d`Azaguié;
Mesdames et Messieurs;
Chers compatriotes d`Azaguié,
Votre ville en liesse, la chaleur de votre accueil si fraternel, me comblent de joie, ainsi que mon épouse et la délégation qui m`accompagne. C`est le témoignage de votre attachement fidèle au PDCIRDA et de votre foi en son ambition pour relever la Côte d`Ivoire.
Je salue et félicite, pour cette mobilisation exceptionnelle, le Délégué départemental d`Azaguié, M. Kotchy Prosper, ancien consul de notre pays au Libéria, pour la constance de son dévouement et sa disponibilité au service de notre grand parti.
J`associe également à ces félicitations et encouragements nos vaillants secrétaires généraux de section et leurs équipes.
Je rends spécialement hommage à Mme Marie Akobé Dosso, qui fut un des "compagnons" de l`exaltante "aventure 1946" qui regroupait les jeunes filles et les jeunes garçons envoyés en France, dès la fin de la seconde Guerre mondiale par le député du PDCI-RDA, Félix HouphouëtBoigny, pour y poursuivre leurs études afin d`accroître le potentiel des cadres de la nation naissante. Que son exemple de dévouement et de fidélité au PDCI -RDA inspire la jeunesse ivoirienne aujourd`hui en déshérence.
Je salue M. Kanon N`Takpé Marcel, N`Cho Motho Léonard, Essé Oboumou, Yavo David, Mme N` Gbesso Marie, M. Yapi Damas et leurs collaborateurs.
Je salue également les autorités coutumières pour leur présence distinguée à cette fête de famille.
. Aux cadres, aux jeunes, aux femmes, à tous nos militants et militantes qui ont rendu possible cette rencontre familiale, j`exprime ma sincère reconnaissance pour leur disponibilité et leur généreuse contribution.
Chers compatriotes d` Azaguié,
Votre fidélité à notre parti honore les militants de la première heure qui vous ont transmis le flambeau de notre lutte pour l`émancipation des hommes et des femmes de notre pays. Je veux me souvenir, avec une profonde émotion, de Dessi Kanon Valentin, de Blé Victor, d` Amara Coulibaly, N` Gbesso Amos Koutouan, Kouao Kanon Venance et de N` Cho Kotchy.
En mémoire de tous ces valeureux fils et filles de la délégation d`Azaguié, levons-nous et observons ensemble une minute de silence.
Je vous remercie!
Chers frères et sœurs d` Azaguié,
Avec l`arrivée du rail et grâce à l`application et à l`utilisation des résultats de la recherche scientifique, votre cité est devenue un grand centre de cultures vivrières et fruitières ainsi que de produits d`exportation tels que l`ananas, la papaye " solo ", la banane plantain et la banane poyo, le mangoustan, le gingembre, les agrumes et les fleurs.
Dans sa volonté d`accroître ces productions et accélérer sa modernisation, Azaguié a vu arriver des vagues successives de migrants intérieurs et d`étrangers que, par votre ouverture, votre sens de 1 `hospitalité et votre générosité, vous avez su si harmonieusement intégrer.
Je me félicite du travail acharné et fécond que vous avez accompli, ici, et qui a permis à la Côte d`Ivoire de réaliser, dès notre indépendance, ses premières grandes performances agricoles.
Aujourd`hui, comme vous le constatez tous, les choses ont bien changé! Notre pays ne ressemble plus à ce qu`il fût. Ses nouveaux maîtres qui ont attendu d`être au pouvoir pour échafauder de nouvelles théories de développement et de relations internationales, l`ont précipité dans l`abîme.
Adeptes de la violence qu`ils ont professée et qui a atteint son paroxysme dans le coup d`Etat imbécile de 1999, les refondateurs ont rendu méconnaissable notre pays et cela sur tous les plans. Ainsi au lieu de promouvoir la liberté et d`accroître la richesse promise aux Ivoiriens, ils ont, au contraire, détruit l`Etat, la justice, l`économie, le travail, le bien-être des Ivoiriens et dévoyé les Institutions. Ils ont défiguré ainsi le pays qu`ils ont relégué parmi les derniers Etats de la planète.
S`agissant des Institutions, le parlement ne fonctionne plus pas plus que les autres d`ailleurs. Or, son rôle est essentiel pour réguler la vie de l`Etat, pour assurer l`harmonie sociale et, surtout, respecter sa fonction première qui est de voter le budget et évaluer son exécution.
Aujourd`hui, on légifère par ordonnance, le parlement ne fait plus rien. C`est une entorse grave à la démocratie et à notre Constitution. Et dire qu`un des fils de la région d`ici, un certain doct professeur est à la tête de cette gouvernance de l`Assemblée nationale qui n`honore personne. Nous comprenons maintenant ce que "gouverner autrement" veut dire! C` est-àdire le néant!
Que dit le parlement sur les détournements massifs de l`argent des filières café et cacao, de l`enrichissement illicite et colossal de certains Ivoiriens, du naufrage de notre système éducatif et sanitaire, de l`appauvrissement aggravé de toutes les populations? Rien!
Je rappelle que j`ai moi-même été parlementaire et président de notre Assemblée nationale pendant de nombreuses années. Et je connais les responsabilités qui lui incombent!
J`ai souvenance que le 4 juillet 2003, les Etatsmajors militaires avaient déclaré la fin de la guerre.
Mais une voix discordante en a décidé autrement, pour prolonger inutilement les souffrances des Ivoiriens. Le parlement a t-il eu à se prononcer?
Il me peine ainsi que cette institution prestigieuse se soit détournée de sa vocation au profit de manœuvres indignes pour assassiner la démocratie par l`achat des consciences et installer la dictature.
Pendant ce temps, on nous débite des idéologies et théories brumeuses à longueur de journée, on détourne l`argent des paysans et de l`Etat pour s`offrir qui des dîners à cinquante millions le couvert, qui des voitures à cinq cent millions, qui des villas et châteaux à des centaines de millions de nos francs alors qu`ils savent et reconnaissent eux-mêmes que c`est difficilement que l`Ivoirien peut, aujourd`hui, s`offrir un repas par jour!
C`est irresponsable et méchant!
Aux prochaines élections, à commencer par l`élection présidentielle du 29 novembre 2009, il faut donc nous séparer de ces refondateurs véreux qui vous ont menti sur tout et en tout.
En effet, il nous faut sortir de ces bafouillages et de ces balbutiements. L`occasion nous en est maintenant donnée. Vous êtes appelés à voter. Par votre vote et votre détermination militante, vous devez renvoyer le FPI dans ses ateliers et laboratoires de production de promesses démagogiques, d`illusions et de mensonges.
La Côte d`Ivoire veut des routes, des écoles, des hôpitaux et des centres de santé, des emplois et du travail pour ses jeunes, ses femmes et ses hommes. La Côte d` Ivoire ne veut pas la guerre mais la paix dans l`union harmonieuse de ses fils et de ses filles avec toutes les communautés qui vivent sur son sol.
La Côte d`Ivoire veut se développer dans un effort soutenu et continu de Progrès pour tous et de bonheur pour chacun.
C`est conscient de toutes ces aspirations légitimes de nos concitoyens que le PDCI-RDA se donne le devoir de reconquérir le pouvoir d`Etat afin d`instaurer ce que j`ai appelé, dès 1993, la démocratie apaisée pour renforcer l`Etat et ses institutions pour plus de justice en vue de consolider la solidarité nationale, rassembler les Ivoiriens dans l`effort de reconstruction de notre économie détruite par l`incompétence du FPI.
Le 29 novembre 2009, il nous faut changer le destin de la Côte d`Ivoire! Cette date contient les germes d`espérance pour le renouveau de notre nation, de notre jeunesse et de nos populations. C`est pourquoi nous devons nous mobiliser massivement pour la rendre effective. Le 29 novembre 2009, portez l`espoir au pouvoir en votant PDCI-RDA !
Vive Azaguié ! Vive le PDCI-RDA
Vive la Côte d`Ivoire paisible, fraternelle et solidaire.
Henri Konan BEDIE
Président du PDCI –RDA