Depuis sa création en 1968, la société UNIWAX adopte pour le développement de ses dessins et la fabrication de ses produits les meilleurs procédés techniques ainsi qu’un savoir-faire en permanente évolution, gage de son professionnalisme et de la grande qualité de ses produits. Les pagnes Uniwax ont ainsi, au fil des années, acquis en Côte d’Ivoire et dans toute l’Afrique une grande notoriété auprès des différentes populations.
Aujourd’hui, nous devons faire face à un phénomène mondial et généralisé qui est la contrefaçon .Ce fléau qui sévit depuis quelques années ne cesse de prendre de l’ampleur et nuit aux entreprises du secteur privé, en mettant à mal leur compétitivité, menaçant ainsi de nombreux emplois au niveau des industries locales. C’est ainsi que l’état paie un fort tribut car il est dès lors privé de recettes fiscales substantielles.
Service Communication
Uniwax, entreprise citoyenne a donc décidé de mettre en priorité dans sa stratégie cette lutte contre les contrefacteurs afin de garantir une qualité originale aux consommateurs et pérenniser son activité.
Pour mettre en œuvre cette bataille, Uniwax s’attèle à déposer et enregistrer tous ses dessins et modèles auprès de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) en charge de la protection des droits de propriété intellectuelle.
En plus de cette démarche juridique, Elle participe à des forums de réflexion et à des actions concertées avec les autres entreprises victimes de ce fléau tout en ayant la caution de l’Etat .Ces différentes actions ont pu déboucher sur :
- Des projets de lois,
- Des opérations de saisies de produits contrefaits,
- Des incinérations médiatisés de marchandises de contrefaçon.
Malgré tous ces efforts déployés par l’Etat de Côte d’Ivoire au travers des services de Douanes, et ceux de la Police Nationale Ivoirienne, nos marchés continuent d’être inondés par des produits contrefaits en provenance de divers pays et en particulier ceux de l’Asie, détruisant ainsi l’économie locale.
Conscient de la difficulté de ce combat, les autorités ont inscrit la lutte contre la contrefaçon et la fraude au rang de priorité de l’action gouvernementale. Au niveau de la douane, la mise en œuvre de cette priorité s’est traduite par la mise en place d’une Sous Direction de la lutte contre la contrefaçon.
Cette initiative louable nécessite une collaboration étroite entre le secteur privé et le secteur public. Nous voulons ainsi matérialiser notre soutien à cette initiative à travers cette convention de collaboration dont les objectifs principaux sont les suivants :
- Le renforcement des capacités
- La coordination des actions pour faciliter la lutte contre la contrefaçon sur le territoire et aux frontières
La signature de cette convention formalisera donc les engagements réciproques auxquels les parties signataires ont librement accepté de souscrire.
Rappelons que la contrefaçon est l’acte par lequel une personne physique ou morale utilise ou exploite un droit de propriété intellectuelle sans l’autorisation préalable du titulaire ou de ses ayants droit.
La contrefaçon de marque, de dessins et modèles et la concurrence déloyale constituent des délits punis de fortes peines d’emprisonnement ou d’amende (3 mois à 2 ans d’emprisonnement et 1 000 000 à 6 000 000 de francs CFA d’amende) et exposent en outre les contrevenants à des mesures complémentaires comme l’interdiction professionnelle (Article 84 Code pénal), la fermeture d’établissement (Art.85 Code pénal), la confiscation et la destruction des produits contrefaits, le tout sans préjudice de dommages et intérêts.
Il est à noter que la loi réserve le même sort aux contrefacteurs qu’aux vendeurs distribuant sciemment des produits contrefaits.
Aujourd’hui, nous devons faire face à un phénomène mondial et généralisé qui est la contrefaçon .Ce fléau qui sévit depuis quelques années ne cesse de prendre de l’ampleur et nuit aux entreprises du secteur privé, en mettant à mal leur compétitivité, menaçant ainsi de nombreux emplois au niveau des industries locales. C’est ainsi que l’état paie un fort tribut car il est dès lors privé de recettes fiscales substantielles.
Service Communication
Uniwax, entreprise citoyenne a donc décidé de mettre en priorité dans sa stratégie cette lutte contre les contrefacteurs afin de garantir une qualité originale aux consommateurs et pérenniser son activité.
Pour mettre en œuvre cette bataille, Uniwax s’attèle à déposer et enregistrer tous ses dessins et modèles auprès de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) en charge de la protection des droits de propriété intellectuelle.
En plus de cette démarche juridique, Elle participe à des forums de réflexion et à des actions concertées avec les autres entreprises victimes de ce fléau tout en ayant la caution de l’Etat .Ces différentes actions ont pu déboucher sur :
- Des projets de lois,
- Des opérations de saisies de produits contrefaits,
- Des incinérations médiatisés de marchandises de contrefaçon.
Malgré tous ces efforts déployés par l’Etat de Côte d’Ivoire au travers des services de Douanes, et ceux de la Police Nationale Ivoirienne, nos marchés continuent d’être inondés par des produits contrefaits en provenance de divers pays et en particulier ceux de l’Asie, détruisant ainsi l’économie locale.
Conscient de la difficulté de ce combat, les autorités ont inscrit la lutte contre la contrefaçon et la fraude au rang de priorité de l’action gouvernementale. Au niveau de la douane, la mise en œuvre de cette priorité s’est traduite par la mise en place d’une Sous Direction de la lutte contre la contrefaçon.
Cette initiative louable nécessite une collaboration étroite entre le secteur privé et le secteur public. Nous voulons ainsi matérialiser notre soutien à cette initiative à travers cette convention de collaboration dont les objectifs principaux sont les suivants :
- Le renforcement des capacités
- La coordination des actions pour faciliter la lutte contre la contrefaçon sur le territoire et aux frontières
La signature de cette convention formalisera donc les engagements réciproques auxquels les parties signataires ont librement accepté de souscrire.
Rappelons que la contrefaçon est l’acte par lequel une personne physique ou morale utilise ou exploite un droit de propriété intellectuelle sans l’autorisation préalable du titulaire ou de ses ayants droit.
La contrefaçon de marque, de dessins et modèles et la concurrence déloyale constituent des délits punis de fortes peines d’emprisonnement ou d’amende (3 mois à 2 ans d’emprisonnement et 1 000 000 à 6 000 000 de francs CFA d’amende) et exposent en outre les contrevenants à des mesures complémentaires comme l’interdiction professionnelle (Article 84 Code pénal), la fermeture d’établissement (Art.85 Code pénal), la confiscation et la destruction des produits contrefaits, le tout sans préjudice de dommages et intérêts.
Il est à noter que la loi réserve le même sort aux contrefacteurs qu’aux vendeurs distribuant sciemment des produits contrefaits.