Le docteur Alassane Dramane Ouattara sera, à partir du mercredi 13 octobre, dans le Zanzan pour une tournée. A la veille de cet événement qui s’annonce historique, nous avons rencontré le vice-président du Comité d’organisation, M. Grégoire Aké Ariko. Il nous parle dans cet entretien des dispositions prises pour faire de cette tournée, une réussite. Interview.
Le Patriote : Le candidat du RDR sera dans le Zanzan du 13 au 18 octobre prochain. Comment préparez-vous cette tournée ?
Grégoire Aké Ariko : Les préparatifs vont bon train. Parce que nous savions déjà que le président venait dans le Zanzan. Puisque cette tournée a été plusieurs fois reportée. Nous avons eu, entretemps, le temps de nous préparer. La population du Zanzan est prête et mobilisée pour accueillir le docteur Alassane Dramane Ouattara. Tout est prêt pour l’accueillir.
LP : A l’approche de cet événement, pouvez-vous nous dire quels sont les sentiments qui animent actuellement les peuples du Zanzan ?
G.A.A : Il faut dire que la population est totalement impliquée dans cette visite du président. Vous savez que le Zanzan est une région très structurée et organisée où on y cultive le culte du respect de l’autre. C’est une région où il n’existe pas la loi de la jungle. Les populations ont été longtemps trompées. Je dirai comme dans la Bible, aujourd’hui dans le Zanzan, les aveugles voient et les sourds ont entendu. Aujourd’hui, les populations du Zanzan qui cultivent le respect de l’autre, se rendent compte que nous sommes sous le signe de la bête qui n’a pas ce signe ne peut acheter ni boire. Qui n’a pas ce signe ne peut manger. Les populations se sentent donc marginalisées. Elles ont vu dans le projet de société « Vivre ensemble » du docteur Alassane Dramane Ouattara, la réponse à toutes leurs questions. Parce que le Zanzan, c’est un conglomérat de peuples venus d’horizon divers pour venir habiter cette terre. Dans le Zanzan, il y a des Koulango, des Nafana, des Agni, des Abrons, des Malinké, Lobi et d’autres ethnies qui vivent depuis des siècles sur la terre du Zanzan dans une parfaite entente. Donc le Zanzan vit déjà le « Vivre ensemble ». C’est dans cette philosophie qu’il se reconnait. C’est pourquoi, aujourd’hui, les populations sont mobilisées pour soutenir le président Ouattara. C’est une des raisons. La deuxième raison et les gens ne le savent pas ou presque, c’est que le Zanzan est la terre des ancêtres de Djeni Kobena. C’est une région qui est traditionnellement attachée au RDR et au père des grenadiers voltigeurs. C’est pour ces raisons que les gens sont vraiment mobilisés. Il faut dire que le nom du président Alassane Dramane Ouattara dépasse les frontières. Nos parents de l’autre côté de la frontière au Ghana sont également mobilisés. Ils ont aussi promis de se rendre à Bondoukou pour accueillir notre président. C’est vous dire qu’à Bondoukou, il y aura une marrée humaine qui réservera un accueil chaleureux au docteur Alassane Dramane Ouattara.
LP : Quelles sont les dispositions qui ont été mises en place pour canaliser tout ce monde que vous annoncez afin que cette fête soit une réussite ?
G.A.A : Nous avons recensé tous les réceptifs hôteliers de Bondoukou. Il y aussi des gens qui ont mis à notre disposition leurs maisons pour recevoir ceux qui viendront de loin. Il n’y a pas, en termes de réception et d’accueil, de problèmes. Il y aura des maquis et des restaurants pour la nourriture des uns et des autres. Nous avons aussi mis en place un dispositif sécuritaire pour assurer la sécurité de tous nos invités.
LP : Nous savons que la chefferie occupe une place importante dans le Zanzan. Par rapport à cette visite, quelle place avez-vous réservé aux chefs ?
G.A.A : Comme je le disais tantôt, le Zanzan est une région très structurée. Nous avons des rois et des chefs. La dévotion aux rois est très importante dans la vie sociale. On ne peut rien faire sans associer ces gardiens de la tradition. Ils ont un mot à dire. Ils sont pleinement impliqués dans l’organisation pour recevoir le docteur Alassane Dramane Ouattara. Ils sont au devant des choses. Ils nous orientent en ce moment pour que la fête soit belle et qu’on ne se retrouve pas dans une situation de confusion.
LP : Avez-vous un appel à lancer pour que cette visite soit une véritable fête populaire ?
G.A.A : Je voudrais dire à tous ceux qui sont dans le Zanzan et à nos frères qui ne sont actuellement dans le Zanzan et qui sont dans les autres villes de la Côte d’Ivoire dans les plantations, nous les invitons tous à nous rejoindre à Bondoukou pour faire de cette fête, une grande réussite. Car nous avons la conviction que le président Alassane Ouattara sera élu le 29 novembre prochain. Il a un message très important à donner pour la population du Zanzan. Nous invitons donc tous ceux qui ne sont pas du Zanzan, mais qui habitent sur le territoire du Zanzan, de venir écouter le message que va livrer le docteur Alassane Dramane Ouattara à la population. Nous les invitons à venir écouter pour faire au moment opportun, le bon choix. Et pour nous, le bon choix c’est le docteur Alassane Dramane Ouattara.
Réalisée par Jean-Claude Coulibaly
Le Patriote : Le candidat du RDR sera dans le Zanzan du 13 au 18 octobre prochain. Comment préparez-vous cette tournée ?
Grégoire Aké Ariko : Les préparatifs vont bon train. Parce que nous savions déjà que le président venait dans le Zanzan. Puisque cette tournée a été plusieurs fois reportée. Nous avons eu, entretemps, le temps de nous préparer. La population du Zanzan est prête et mobilisée pour accueillir le docteur Alassane Dramane Ouattara. Tout est prêt pour l’accueillir.
LP : A l’approche de cet événement, pouvez-vous nous dire quels sont les sentiments qui animent actuellement les peuples du Zanzan ?
G.A.A : Il faut dire que la population est totalement impliquée dans cette visite du président. Vous savez que le Zanzan est une région très structurée et organisée où on y cultive le culte du respect de l’autre. C’est une région où il n’existe pas la loi de la jungle. Les populations ont été longtemps trompées. Je dirai comme dans la Bible, aujourd’hui dans le Zanzan, les aveugles voient et les sourds ont entendu. Aujourd’hui, les populations du Zanzan qui cultivent le respect de l’autre, se rendent compte que nous sommes sous le signe de la bête qui n’a pas ce signe ne peut acheter ni boire. Qui n’a pas ce signe ne peut manger. Les populations se sentent donc marginalisées. Elles ont vu dans le projet de société « Vivre ensemble » du docteur Alassane Dramane Ouattara, la réponse à toutes leurs questions. Parce que le Zanzan, c’est un conglomérat de peuples venus d’horizon divers pour venir habiter cette terre. Dans le Zanzan, il y a des Koulango, des Nafana, des Agni, des Abrons, des Malinké, Lobi et d’autres ethnies qui vivent depuis des siècles sur la terre du Zanzan dans une parfaite entente. Donc le Zanzan vit déjà le « Vivre ensemble ». C’est dans cette philosophie qu’il se reconnait. C’est pourquoi, aujourd’hui, les populations sont mobilisées pour soutenir le président Ouattara. C’est une des raisons. La deuxième raison et les gens ne le savent pas ou presque, c’est que le Zanzan est la terre des ancêtres de Djeni Kobena. C’est une région qui est traditionnellement attachée au RDR et au père des grenadiers voltigeurs. C’est pour ces raisons que les gens sont vraiment mobilisés. Il faut dire que le nom du président Alassane Dramane Ouattara dépasse les frontières. Nos parents de l’autre côté de la frontière au Ghana sont également mobilisés. Ils ont aussi promis de se rendre à Bondoukou pour accueillir notre président. C’est vous dire qu’à Bondoukou, il y aura une marrée humaine qui réservera un accueil chaleureux au docteur Alassane Dramane Ouattara.
LP : Quelles sont les dispositions qui ont été mises en place pour canaliser tout ce monde que vous annoncez afin que cette fête soit une réussite ?
G.A.A : Nous avons recensé tous les réceptifs hôteliers de Bondoukou. Il y aussi des gens qui ont mis à notre disposition leurs maisons pour recevoir ceux qui viendront de loin. Il n’y a pas, en termes de réception et d’accueil, de problèmes. Il y aura des maquis et des restaurants pour la nourriture des uns et des autres. Nous avons aussi mis en place un dispositif sécuritaire pour assurer la sécurité de tous nos invités.
LP : Nous savons que la chefferie occupe une place importante dans le Zanzan. Par rapport à cette visite, quelle place avez-vous réservé aux chefs ?
G.A.A : Comme je le disais tantôt, le Zanzan est une région très structurée. Nous avons des rois et des chefs. La dévotion aux rois est très importante dans la vie sociale. On ne peut rien faire sans associer ces gardiens de la tradition. Ils ont un mot à dire. Ils sont pleinement impliqués dans l’organisation pour recevoir le docteur Alassane Dramane Ouattara. Ils sont au devant des choses. Ils nous orientent en ce moment pour que la fête soit belle et qu’on ne se retrouve pas dans une situation de confusion.
LP : Avez-vous un appel à lancer pour que cette visite soit une véritable fête populaire ?
G.A.A : Je voudrais dire à tous ceux qui sont dans le Zanzan et à nos frères qui ne sont actuellement dans le Zanzan et qui sont dans les autres villes de la Côte d’Ivoire dans les plantations, nous les invitons tous à nous rejoindre à Bondoukou pour faire de cette fête, une grande réussite. Car nous avons la conviction que le président Alassane Ouattara sera élu le 29 novembre prochain. Il a un message très important à donner pour la population du Zanzan. Nous invitons donc tous ceux qui ne sont pas du Zanzan, mais qui habitent sur le territoire du Zanzan, de venir écouter le message que va livrer le docteur Alassane Dramane Ouattara à la population. Nous les invitons à venir écouter pour faire au moment opportun, le bon choix. Et pour nous, le bon choix c’est le docteur Alassane Dramane Ouattara.
Réalisée par Jean-Claude Coulibaly
