*Pourquoi cette coordination maintenant?
Cette coordination maintenant parce que nous allons entrer bientôt en campagne et vous savez que durant sept ans, le pays a vécu une parenthèse très douloureuse de son histoire. Dieu merci, nous sortons progressivement de la crise et tous les observateurs et les analystes de la scène politique estiment que les élections présidentielles mettront fin à la crise. Nous pensons qu’en période électorale, il est nécessaire de communiquer et bien communiquer, nous avons estimé que pour notre candidat, il fallait mettre cette coordination en place. Et essayer de booster sa communication électorale pour que sa victoire soit triomphale.
*D’aucuns pensent que cette coordination est le regroupement d’opportunistes. Que répondez-vous?
Celui qui n’a pas d’ambition n’a pas le droit de vivre. Nous ne nous sentons pas concernés par cette approche négative. Nous sommes responsables de communication au cabinet du président du Front populaire ivoirien. Donc, nous n’avons rien à prouver. Nous estimons que l’élection présidentielle qui va avoir lieu est une élection décisive, une élection à enjeu. Nous appartenons à un système et si le système disparait, nous disparaissons aussi. Il est donc du devoir de chacun d’entre nous d’œuvrer à ce que celui qui incarne ce système et qui mérite de diriger ce pays le fasse. Donc nous n’avons aucun complexe, aucune honte à mettre notre expertise, notre compétence au service de notre candidat. Nous créons une synergie autour de lui.
*Quels seront les axes de votre programme?
Nous entrons en campagne. Il y a nécessairement des choses qu’il faut faire. Aujourd’hui, si je prends le cas du régime qui est tombé il y a de cela quelques années, malgré leur longévité, il a suffi de moins de 24 heures pour que ce régime tombe. Quand le leader a lancé un appel contre les mutins, personne n’est sorti. Mais nous avons vu au cours de cette crise, combien de fois les Ivoiriens se sont mobilisés autour de Laurent Gbagbo, c’est parce qu’ils se sont appropriés son combat. Cette élection est pour nous un moment de clarification sociopolitique. Il est nécessaire d’équiper nos militants, d’ouvrir les yeux des Ivoiriens sur celui qui incarne le rempart de la république, sur celui sur qui on peut compter pour défendre notre dignité. Nous avons fait un choix, nous avons un parti pris, nous disons que notre parti pris c’est la Côte d’Ivoire. Le pays ne saurait se construire sans Gbagbo. C’est pourquoi, le 14 octobre, nous présentons notre site internet au Golf hôtel.
*Avez-vous les moyens de votre politique?
Nous pensons que nous avons les moyens de notre politique. On peut communiquer avec un gros comme avec un petit budget. C’est d’abord et avant tout la volonté. L’argent ne se trouve pas dans la poche, il est dans la tête. Je ne place jamais l’argent au devant de mes actions. Quand l’idée est bonne, on trouve toujours des moyens pour avancer.
* Votre fonction de directeur de cabinet ne vous occupe pas assez. Auriez-vous du temps à consacrer à cette coordination?
Nous avons tous autant que nous sommes travaillés auprès de nos différents partis. Aujourd’hui, c’est le grand patron qui a besoin de nous donc c’est la synergie totale auprès de lui. Il va en campagne. Les ambitions politiques de tous ceux qui sont autour dépendent de son élection, il n’y a pas de problème majeur. Il n’y a pas d’incompatibilité.
Propos recueillis par Traoré M Ahmed
Cette coordination maintenant parce que nous allons entrer bientôt en campagne et vous savez que durant sept ans, le pays a vécu une parenthèse très douloureuse de son histoire. Dieu merci, nous sortons progressivement de la crise et tous les observateurs et les analystes de la scène politique estiment que les élections présidentielles mettront fin à la crise. Nous pensons qu’en période électorale, il est nécessaire de communiquer et bien communiquer, nous avons estimé que pour notre candidat, il fallait mettre cette coordination en place. Et essayer de booster sa communication électorale pour que sa victoire soit triomphale.
*D’aucuns pensent que cette coordination est le regroupement d’opportunistes. Que répondez-vous?
Celui qui n’a pas d’ambition n’a pas le droit de vivre. Nous ne nous sentons pas concernés par cette approche négative. Nous sommes responsables de communication au cabinet du président du Front populaire ivoirien. Donc, nous n’avons rien à prouver. Nous estimons que l’élection présidentielle qui va avoir lieu est une élection décisive, une élection à enjeu. Nous appartenons à un système et si le système disparait, nous disparaissons aussi. Il est donc du devoir de chacun d’entre nous d’œuvrer à ce que celui qui incarne ce système et qui mérite de diriger ce pays le fasse. Donc nous n’avons aucun complexe, aucune honte à mettre notre expertise, notre compétence au service de notre candidat. Nous créons une synergie autour de lui.
*Quels seront les axes de votre programme?
Nous entrons en campagne. Il y a nécessairement des choses qu’il faut faire. Aujourd’hui, si je prends le cas du régime qui est tombé il y a de cela quelques années, malgré leur longévité, il a suffi de moins de 24 heures pour que ce régime tombe. Quand le leader a lancé un appel contre les mutins, personne n’est sorti. Mais nous avons vu au cours de cette crise, combien de fois les Ivoiriens se sont mobilisés autour de Laurent Gbagbo, c’est parce qu’ils se sont appropriés son combat. Cette élection est pour nous un moment de clarification sociopolitique. Il est nécessaire d’équiper nos militants, d’ouvrir les yeux des Ivoiriens sur celui qui incarne le rempart de la république, sur celui sur qui on peut compter pour défendre notre dignité. Nous avons fait un choix, nous avons un parti pris, nous disons que notre parti pris c’est la Côte d’Ivoire. Le pays ne saurait se construire sans Gbagbo. C’est pourquoi, le 14 octobre, nous présentons notre site internet au Golf hôtel.
*Avez-vous les moyens de votre politique?
Nous pensons que nous avons les moyens de notre politique. On peut communiquer avec un gros comme avec un petit budget. C’est d’abord et avant tout la volonté. L’argent ne se trouve pas dans la poche, il est dans la tête. Je ne place jamais l’argent au devant de mes actions. Quand l’idée est bonne, on trouve toujours des moyens pour avancer.
* Votre fonction de directeur de cabinet ne vous occupe pas assez. Auriez-vous du temps à consacrer à cette coordination?
Nous avons tous autant que nous sommes travaillés auprès de nos différents partis. Aujourd’hui, c’est le grand patron qui a besoin de nous donc c’est la synergie totale auprès de lui. Il va en campagne. Les ambitions politiques de tous ceux qui sont autour dépendent de son élection, il n’y a pas de problème majeur. Il n’y a pas d’incompatibilité.
Propos recueillis par Traoré M Ahmed