Depuis un certain temps, l’affaire Hevego empoisonne le milieu économique ivoirien. Chacun y va de son commentaire. En tout cas, au niveau de la haute administration de cette structure étatique, l’on incrimine le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby. A tort ou à raison, il est accusé d’avoir bradé cette entreprise. Mais à voir de près, des interrogations et non des moindres, surgissent. Elles remettent en cause les accusations faites ça et là contre l’argentier de l’Etat.
Première interrogation : la structure Hevego dépend-elle exclusivement du ministère de l’Economie et des Finances ? bien sûr que non. En effet, outre le ministère de l’Economie et des Finances, Hevego dépend également des ministères de l’Agriculture, de la Recherche Scientifique et de l’Environnement. De fait, l’acharnement contre le seul ministre de l’Economie et des Finances amène à réfléchir. Deuxième question : Comment comprendre que les responsables de Hevego se dressent-ils contre l’autorité dans une affaire concernant une société d’Etat et donc qui n’est pas leur propriété privée ? Tout porte donc à croire qu’une cabale se trame contre Charles Koffi Diby. Troisième point : N’est-ce pas à l’Etat de décider de la gestion de son patrimoine qui est Hevego et ce, en fonction des priorités et des orientations qui lui semblent appropriées ? La réponse est sans nul doute affirmative. En définitive, l’affaire Hevego cache encore d’autres vérités qui éclateront certainement au grand jour. Pour l’heure, les accusations portées contre Charles Koffi Diby ressemblent à de l’intox.
Nous y reviendrons.
Koné Seydou
Première interrogation : la structure Hevego dépend-elle exclusivement du ministère de l’Economie et des Finances ? bien sûr que non. En effet, outre le ministère de l’Economie et des Finances, Hevego dépend également des ministères de l’Agriculture, de la Recherche Scientifique et de l’Environnement. De fait, l’acharnement contre le seul ministre de l’Economie et des Finances amène à réfléchir. Deuxième question : Comment comprendre que les responsables de Hevego se dressent-ils contre l’autorité dans une affaire concernant une société d’Etat et donc qui n’est pas leur propriété privée ? Tout porte donc à croire qu’une cabale se trame contre Charles Koffi Diby. Troisième point : N’est-ce pas à l’Etat de décider de la gestion de son patrimoine qui est Hevego et ce, en fonction des priorités et des orientations qui lui semblent appropriées ? La réponse est sans nul doute affirmative. En définitive, l’affaire Hevego cache encore d’autres vérités qui éclateront certainement au grand jour. Pour l’heure, les accusations portées contre Charles Koffi Diby ressemblent à de l’intox.
Nous y reviendrons.
Koné Seydou