Deux journalistes d'Islam Info, Haroun B. et Koulibaly Y Khayder ont effectivement été interpellé le vendredi 16 octobre 2009 à la Direction Générale de la Police Nationale aux environs de 17 h 30 mn.
Nous étions partis pour recueillir les impressions des candidats qui venaient d'obtenir leur passeport et constater les difficultés qu'ils rencontraient. Parce que l'échéance des inscriptions prévue pour le 20 octobre 2009 approchait. Nous recueillions les propos de quelques requérants qui sortaient de l'institution lorsque nous avons été interpellés et conduits dans le bureau de l'officier Ségnon Blaise pour explication. Nous avons été entendus séparément sur les motifs de notre présence et d'autres informations relatives au journal Islam Info à savoir son siège, les contacts et le nom des responsables et nous-mêmes. Il nous a été reproché de mener nos activités au sein de l'institution sans autorisation préalable. L’ayant reconnu et nous avons présenté nos excuses. C'est aux environs de 19h12 qu’on a été relâché et le premier responsable du journal accompagné de quelques collaborateurs est venu à notre rencontre. C'est le lieu pour nous de remercier toutes les personnes qui sont intervenues pour notre libération et tous les lecteurs et parents qui se sont préoccupés de notre sort.
Haroun B
Nous étions partis pour recueillir les impressions des candidats qui venaient d'obtenir leur passeport et constater les difficultés qu'ils rencontraient. Parce que l'échéance des inscriptions prévue pour le 20 octobre 2009 approchait. Nous recueillions les propos de quelques requérants qui sortaient de l'institution lorsque nous avons été interpellés et conduits dans le bureau de l'officier Ségnon Blaise pour explication. Nous avons été entendus séparément sur les motifs de notre présence et d'autres informations relatives au journal Islam Info à savoir son siège, les contacts et le nom des responsables et nous-mêmes. Il nous a été reproché de mener nos activités au sein de l'institution sans autorisation préalable. L’ayant reconnu et nous avons présenté nos excuses. C'est aux environs de 19h12 qu’on a été relâché et le premier responsable du journal accompagné de quelques collaborateurs est venu à notre rencontre. C'est le lieu pour nous de remercier toutes les personnes qui sont intervenues pour notre libération et tous les lecteurs et parents qui se sont préoccupés de notre sort.
Haroun B