Yao Noël, Directeur général des Cultes fait un tour d’horizon des dispositions prises pour le succès du hadj 2009.
Combien de pèlerins se sont inscrits à la date du 20 octobre ?
Écoutez, je ne sais pas le chiffre exact. Le ministre de l’Intérieur, à l’issue de tout le processus, fera une déclaration sur le nombre d’inscrits, sur le dispositif. Il fera un bilan déjà de l’organisation que nous avons mise en place avant le 1er novembre. Ce que je puis vous dire aujourd’hui, c’est que nous avons placé la barre très haute pour éviter des débordements. Nous sommes toujours restés dans le mode de conseil. Mais, en revanche, comme nous avons le contrôle pré-pèlerinage, cela nous permet de vérifier la situation de santé des pèlerins. Et ceux dont on sait qu’ils ne sont pas vraiment aptes à y aller, on leur a conseillé de s’abstenir.
Est-ce que l’objectif des 4.000 pèlerins sera atteint ?
Les 4.000 pèlerins ce n’est pas un objectif. C’est plutôt une vision. On n’est pas obligé d’avoir 4.000 ou 5.000 pèlerins. On ne veut pas être dépassé dans nos procédures parce que c’est tout un ensemble, le hadj. Il faut penser à l’hébergement. Il faut mettre la barre très haute dès le départ pour ne pas être débordé. C’est ce que nous avons fait.
La date de clôture de l’inscription était le 20 octobre. Aujourd’hui, il y a des pèlerins qui veulent encore s’inscrire. Qu’est-ce qui est prévu pour eux ?
Les pèlerins devaient s’inscrire jusqu’à la date butoir, le 20 octobre. Maintenant, il y a des situations, je veux dire qu’il y a des gens qui ont payé parce qu’ils ont leur passeport. Ce sont déjà des pèlerins. Maintenant, il leur reste des détails comme la visite médicale. Cela n’influence pas l’organisation générale puisque leurs dossiers sont déjà pratiquement acquis, ces candidats ayant déjà payé le droit d’inscription au Trésor. Ce sont ceux-là qu’on va retenir. Ce sont des questions d’ordre pratique. Ce n’est pas une question de report.
On annonce au moins 1.000 invités de la présidence de la République au pèlerinage 2009. Qu’en est-il ?
Il faut poser la question à la présidence. C’est elle qui invite 1.000 pèlerins. Comme je vous l’ai dit, je n’ai pas les chiffres. Mais, je sais que la présidence invite des pèlerins, c’est elle qui peut vous confirmer leur nombre.
L’arrêt des auditions pour l’acquisition du passeport biométrique a-t-il eu un impact sur le processus ?
Au contraire, il a plutôt clarifié les choses parce que si vous déposez un dossier incomplet, on vous dit qu’il est incomplet. Il est rejeté. Il n’y a pas d’impact quelque part. Il est plutôt conforme à la loi et au règlement en matière de délivrance. J’estime qu’il pouvait entretenir la confusion dans l’esprit des postulants. Il faut savoir que ces auditions ne s’appliquaient pas seulement aux postulants qui vont au hadj, mais à tous ceux qui demandaient un passeport biométrique. J’estime que c’était une pratique qui visait à aider un peu le pétitionnaire. Le ministre de l’Intérieur a remis les choses à leur place de sorte que vous connaissez les pièces que la loi vous demande pour obtenir le passeport.
Le programme des vols est-il maintenu ?
Il n’y a pas de cause à effet. Il y a un programme qui est établi et les pèlerins qui sont inscrits partent selon l’ordre établi. Le premier vol est prévu pour le 3 novembre. Il n’y a pas de relation entre le nombre d’inscrits et la date de départ des vols.
Entretien réalisé par Emmanuelle Kanga, Correspondante régionale
Combien de pèlerins se sont inscrits à la date du 20 octobre ?
Écoutez, je ne sais pas le chiffre exact. Le ministre de l’Intérieur, à l’issue de tout le processus, fera une déclaration sur le nombre d’inscrits, sur le dispositif. Il fera un bilan déjà de l’organisation que nous avons mise en place avant le 1er novembre. Ce que je puis vous dire aujourd’hui, c’est que nous avons placé la barre très haute pour éviter des débordements. Nous sommes toujours restés dans le mode de conseil. Mais, en revanche, comme nous avons le contrôle pré-pèlerinage, cela nous permet de vérifier la situation de santé des pèlerins. Et ceux dont on sait qu’ils ne sont pas vraiment aptes à y aller, on leur a conseillé de s’abstenir.
Est-ce que l’objectif des 4.000 pèlerins sera atteint ?
Les 4.000 pèlerins ce n’est pas un objectif. C’est plutôt une vision. On n’est pas obligé d’avoir 4.000 ou 5.000 pèlerins. On ne veut pas être dépassé dans nos procédures parce que c’est tout un ensemble, le hadj. Il faut penser à l’hébergement. Il faut mettre la barre très haute dès le départ pour ne pas être débordé. C’est ce que nous avons fait.
La date de clôture de l’inscription était le 20 octobre. Aujourd’hui, il y a des pèlerins qui veulent encore s’inscrire. Qu’est-ce qui est prévu pour eux ?
Les pèlerins devaient s’inscrire jusqu’à la date butoir, le 20 octobre. Maintenant, il y a des situations, je veux dire qu’il y a des gens qui ont payé parce qu’ils ont leur passeport. Ce sont déjà des pèlerins. Maintenant, il leur reste des détails comme la visite médicale. Cela n’influence pas l’organisation générale puisque leurs dossiers sont déjà pratiquement acquis, ces candidats ayant déjà payé le droit d’inscription au Trésor. Ce sont ceux-là qu’on va retenir. Ce sont des questions d’ordre pratique. Ce n’est pas une question de report.
On annonce au moins 1.000 invités de la présidence de la République au pèlerinage 2009. Qu’en est-il ?
Il faut poser la question à la présidence. C’est elle qui invite 1.000 pèlerins. Comme je vous l’ai dit, je n’ai pas les chiffres. Mais, je sais que la présidence invite des pèlerins, c’est elle qui peut vous confirmer leur nombre.
L’arrêt des auditions pour l’acquisition du passeport biométrique a-t-il eu un impact sur le processus ?
Au contraire, il a plutôt clarifié les choses parce que si vous déposez un dossier incomplet, on vous dit qu’il est incomplet. Il est rejeté. Il n’y a pas d’impact quelque part. Il est plutôt conforme à la loi et au règlement en matière de délivrance. J’estime qu’il pouvait entretenir la confusion dans l’esprit des postulants. Il faut savoir que ces auditions ne s’appliquaient pas seulement aux postulants qui vont au hadj, mais à tous ceux qui demandaient un passeport biométrique. J’estime que c’était une pratique qui visait à aider un peu le pétitionnaire. Le ministre de l’Intérieur a remis les choses à leur place de sorte que vous connaissez les pièces que la loi vous demande pour obtenir le passeport.
Le programme des vols est-il maintenu ?
Il n’y a pas de cause à effet. Il y a un programme qui est établi et les pèlerins qui sont inscrits partent selon l’ordre établi. Le premier vol est prévu pour le 3 novembre. Il n’y a pas de relation entre le nombre d’inscrits et la date de départ des vols.
Entretien réalisé par Emmanuelle Kanga, Correspondante régionale
