Les femmes du Rhdp (Pdci-Rda, Rdr, Udpci et Mfa) manifestent, lundi, devant le siège de l’Onuci à Attécoubé pour réclamer la publication de la liste électorale provisoire et la libération des médias d’Etat (Rti) pris en otage, selon elles, par le camp présidentiel.
Bédié parle à Angré, ce matin
Sur invitation de l’Ong « Groupe action servir la Côte d’Ivoire », le président du Pdci-Rda sera ce matin à Cocody-Angré. Bédié vient remettre, officiellement, des bons de réduction d’une valeur de 50 millions Fcfa aux élèves et étudiants. Le candidat du parti doyen profitera de son passage au stade d’Angré pour entretenir la population sur le processus électoral, notamment l’attente de la publication de la liste électorale provisoire.
Droit au but : Droit de casse !
Parce qu’un article ne leur a pas fait plaisir, ils ont débarqué. Comme une furie, ils ont tout cassé après avoir violenté les journalistes et le personnel. Eux, ce sont des étudiants. Se réclamant de l’Unesci, une association syndicale du milieu universitaire, ces étudiants n’ont pas dérogé aux pratiques désormais bien encrées chez ceux qui sont censés être l’élite du pays dans l’avenir immédiat. Quand ils ne sont pas contents, ils arrivent et dévastent. Au besoin, ils peuvent tuer, détruire les biens et repartir le plus tranquillement du monde. La Côte d’Ivoire connait, c’est une lapalissade, une plongée dans le gouffre de la violence et de la barbarie. Le plus triste dans ce qui prévaut, c’est que la jeunesse, en soit à ce point adepte de la brutalité. Tout se règle aux muscles, à la machette et très souvent par armes à feu. Cette tendance est valable dans les villages comme les villes. Chez les déscolarisés comme les élèves et étudiants. Ces derniers sont les plus inquiétants. Entre eux, les contradictions les plus infimes donnent lieu à des bagarres et des rodéos dignes du far West. L’intolérance, l’incapacité à soutenir la contradiction, la volonté de régner en seigneur ne laissent pas la place aux débats d’idées et à la confrontation de projets. Les espaces scolaires et universitaires ont ainsi connu des monstruosités comme les meurtres et les viols. Avec pour auteurs et victimes des étudiants de tendances opposées. Entre les étudiants et le reste de la société, les relations ne sont guère reluisantes. Et ce qui s’est passé jeudi dernier au siège de « Le Nouveau Réveil » mis à sac par les éléments se disant de l’Unesci prouve que les étudiants d’ici sont, pour une proportion en tout cas, englués dans la terreur. Il faut agir énergiquement et vite pour enrayer cette dérive.
D. Al Seni
Bédié parle à Angré, ce matin
Sur invitation de l’Ong « Groupe action servir la Côte d’Ivoire », le président du Pdci-Rda sera ce matin à Cocody-Angré. Bédié vient remettre, officiellement, des bons de réduction d’une valeur de 50 millions Fcfa aux élèves et étudiants. Le candidat du parti doyen profitera de son passage au stade d’Angré pour entretenir la population sur le processus électoral, notamment l’attente de la publication de la liste électorale provisoire.
Droit au but : Droit de casse !
Parce qu’un article ne leur a pas fait plaisir, ils ont débarqué. Comme une furie, ils ont tout cassé après avoir violenté les journalistes et le personnel. Eux, ce sont des étudiants. Se réclamant de l’Unesci, une association syndicale du milieu universitaire, ces étudiants n’ont pas dérogé aux pratiques désormais bien encrées chez ceux qui sont censés être l’élite du pays dans l’avenir immédiat. Quand ils ne sont pas contents, ils arrivent et dévastent. Au besoin, ils peuvent tuer, détruire les biens et repartir le plus tranquillement du monde. La Côte d’Ivoire connait, c’est une lapalissade, une plongée dans le gouffre de la violence et de la barbarie. Le plus triste dans ce qui prévaut, c’est que la jeunesse, en soit à ce point adepte de la brutalité. Tout se règle aux muscles, à la machette et très souvent par armes à feu. Cette tendance est valable dans les villages comme les villes. Chez les déscolarisés comme les élèves et étudiants. Ces derniers sont les plus inquiétants. Entre eux, les contradictions les plus infimes donnent lieu à des bagarres et des rodéos dignes du far West. L’intolérance, l’incapacité à soutenir la contradiction, la volonté de régner en seigneur ne laissent pas la place aux débats d’idées et à la confrontation de projets. Les espaces scolaires et universitaires ont ainsi connu des monstruosités comme les meurtres et les viols. Avec pour auteurs et victimes des étudiants de tendances opposées. Entre les étudiants et le reste de la société, les relations ne sont guère reluisantes. Et ce qui s’est passé jeudi dernier au siège de « Le Nouveau Réveil » mis à sac par les éléments se disant de l’Unesci prouve que les étudiants d’ici sont, pour une proportion en tout cas, englués dans la terreur. Il faut agir énergiquement et vite pour enrayer cette dérive.
D. Al Seni