Vers la constitution d’un organe de décision
Le président Sud Africain Jacob Zuma a pris part, le lundi 26 octobre 2009, à l’ouverture officielle de la première session ordinaire de la deuxième législature du parlement panafricain dont le siège est à Midrand en Afrique du sud.
Faire du parlement panafricain une institution forte au service du développement et de la bonne gouvernance en Afrique. C’est la mission que s’est assignée le nouveau bureau, élu au mois de mai dernier, de cet organe de l’Union Africaine. Le Tchadien, Dr Moussa Idriss N’dele, président du Parlement Panafricain (PAP) l’a clairement exprimé hier à l’ouverture officielle des travaux de la première session de la deuxième législature de cette Assemblée continentale, au siège du parlement à Midrand en Afrique du Sud. A l’en croire, cette session inaugure une nouvelle page dans l’histoire du parlement panafricain. Celle de sa transformation en un organe législatif, prévu pour 2011. Afin de permettre à l’Afrique d’entrer dans la dynamique du développement. « L’Afrique a besoin d’un parlement fort pour une croissance durable », a estimé le Dr Moussa Idriss N’dele, en présence du président Sud Africain Jacob Zuma, de Jean Ping, président de la commission de l’UA et de représentants de pays membres du NEPAD.
Selon le premier responsable de l’Assemblée continentale, en plus d’être un gendarme du développement, le parlement devra également être celui de la bonne gouvernance. Ceci, par l’éradication de maux comme les guerres, les conflits, la prise du pouvoir par la force, le manque de démocratie, qui plongent la plupart des pays africains dans une paupérisation croissante et sont un frein au développement. « Le parlement panafricain doit faire en sorte que tous les gouvernements lui rendent compte » a-t-il d’ailleurs déclaré. Avant lui, c’est l’honorable Sizulu, président du parlement Sud Africain qui a appelé « le parlement panafricain à mettre en exergue la responsabilité que lui confère l’ensemble des pays africains ». Et à l’en croire, « l’Afrique du Sud veut pleinement coopérer avec les autres peuples d’Afrique », pour faire de cette assemblée continentale une institution forte. La journée d’ouverture officielle des travaux, a également été l’occasion pour les nouveaux membres du parlement de prêter serment.
La session qui se tient jusqu’au 5 novembre prochain va également statuer sur des questions que sont entre autres, la révision du protocole du traité instituant la communauté économique africaine, l’impact du changement climatique et l’évaluation institutionnelle, politique, financière et administrative du Parlement panafricain.
Le président Sud Africain Jacob Zuma a pris part, le lundi 26 octobre 2009, à l’ouverture officielle de la première session ordinaire de la deuxième législature du parlement panafricain dont le siège est à Midrand en Afrique du sud.
Faire du parlement panafricain une institution forte au service du développement et de la bonne gouvernance en Afrique. C’est la mission que s’est assignée le nouveau bureau, élu au mois de mai dernier, de cet organe de l’Union Africaine. Le Tchadien, Dr Moussa Idriss N’dele, président du Parlement Panafricain (PAP) l’a clairement exprimé hier à l’ouverture officielle des travaux de la première session de la deuxième législature de cette Assemblée continentale, au siège du parlement à Midrand en Afrique du Sud. A l’en croire, cette session inaugure une nouvelle page dans l’histoire du parlement panafricain. Celle de sa transformation en un organe législatif, prévu pour 2011. Afin de permettre à l’Afrique d’entrer dans la dynamique du développement. « L’Afrique a besoin d’un parlement fort pour une croissance durable », a estimé le Dr Moussa Idriss N’dele, en présence du président Sud Africain Jacob Zuma, de Jean Ping, président de la commission de l’UA et de représentants de pays membres du NEPAD.
Selon le premier responsable de l’Assemblée continentale, en plus d’être un gendarme du développement, le parlement devra également être celui de la bonne gouvernance. Ceci, par l’éradication de maux comme les guerres, les conflits, la prise du pouvoir par la force, le manque de démocratie, qui plongent la plupart des pays africains dans une paupérisation croissante et sont un frein au développement. « Le parlement panafricain doit faire en sorte que tous les gouvernements lui rendent compte » a-t-il d’ailleurs déclaré. Avant lui, c’est l’honorable Sizulu, président du parlement Sud Africain qui a appelé « le parlement panafricain à mettre en exergue la responsabilité que lui confère l’ensemble des pays africains ». Et à l’en croire, « l’Afrique du Sud veut pleinement coopérer avec les autres peuples d’Afrique », pour faire de cette assemblée continentale une institution forte. La journée d’ouverture officielle des travaux, a également été l’occasion pour les nouveaux membres du parlement de prêter serment.
La session qui se tient jusqu’au 5 novembre prochain va également statuer sur des questions que sont entre autres, la révision du protocole du traité instituant la communauté économique africaine, l’impact du changement climatique et l’évaluation institutionnelle, politique, financière et administrative du Parlement panafricain.