L’ancien milieu offensif du Sabé de Bouna, de l’Asec et du Stella (22 ans) a trouvé sa voie au Gabon. Là-bas depuis bientôt trois saisons, il a retrouvé la joie de jouer. Il vient d’ailleurs de s’engager avec le champion, le Stade Mandji, après avoir fait les beaux jours de l’Uso et du Fc 105 de Libreville.
Comment vous êtes vous retrouvé au Gabon ?
Tout est parti d’un contact que j’avais au moment où j’étais encore au Stella club. C’est comme cela que j’ai quitté le championnat ivoirien avec Kouadio Brou Donatien. Je me suis retrouvé au FC 105 où après ma première saison, j’ai été champion du Gabon. Ensuite, j’ai filé à l’Uso où j’ai évolué durant deux ans. Là, je suis en train d’être transféré au Stade Mandji, champion du Gabon 2009.
Visiblement vous vous plaisez dans le championnat gabonais…
Je m’éclate là-bas. Au départ, je pensais que ce championnat était facile. Mais sur place, je me suis ravisé. Personnellement, j’ai progressé. Ce qui est bien là-bas, c’est que les joueurs sont bien traités. Les dirigeants ne lésinent pas sur les moyens pour mettre à l’aise leurs joueurs. En retour, les joueurs donnent le meilleur d’eux-mêmes et tout cela rehausse le niveau du championnat. Ce pays me sert de tremplin pour avancer.
Voulez-vous dire que les joueurs gabonais sont mieux payés que ceux d’ici ?
(Hésitations) Je dirai que mon niveau sur le plan financier n’est plus le même. Il a beaucoup évolué. Les primes de matches oscillent entre 70.000 et 100.000 Fcfa. Et elles augmentent selon les challenges. Au niveau des salaires, les locaux tournent autour de 200.000 Fcfa. Les étrangers, eux, gagnent plus.
Quelles différences notables faites-vous entre les championnats gabonais et ivoirien ?
A l’époque où je jouais ici, le niveau était bon. Au Gabon, il y a des talents et il y a les moyens. Depuis mon retour à Abidjan, pour quelques jours de vacances, je me rends compte que le niveau a baissé.
Combien d’Ivoiriens êtes-vous au Gabon ?
Nous sommes trois. Il y a l’ex-attaquant de la Jcat, Doudou Privat, qui évolue à l’Uso et le milieu Zohi Valery de Manga Sports.
Avez-vous des contacts avec des clubs étrangers ?
Oui, notamment en Afrique du Sud. Mais pour des problèmes de papiers administratifs (passeport), le délai est passé. Une autre fois certainement. Là, je viens de m’engager avec le Stade Mandji. J’espère que j’aurai une autre opportunité.
Entretien réalisé par G.F.Y.
Comment vous êtes vous retrouvé au Gabon ?
Tout est parti d’un contact que j’avais au moment où j’étais encore au Stella club. C’est comme cela que j’ai quitté le championnat ivoirien avec Kouadio Brou Donatien. Je me suis retrouvé au FC 105 où après ma première saison, j’ai été champion du Gabon. Ensuite, j’ai filé à l’Uso où j’ai évolué durant deux ans. Là, je suis en train d’être transféré au Stade Mandji, champion du Gabon 2009.
Visiblement vous vous plaisez dans le championnat gabonais…
Je m’éclate là-bas. Au départ, je pensais que ce championnat était facile. Mais sur place, je me suis ravisé. Personnellement, j’ai progressé. Ce qui est bien là-bas, c’est que les joueurs sont bien traités. Les dirigeants ne lésinent pas sur les moyens pour mettre à l’aise leurs joueurs. En retour, les joueurs donnent le meilleur d’eux-mêmes et tout cela rehausse le niveau du championnat. Ce pays me sert de tremplin pour avancer.
Voulez-vous dire que les joueurs gabonais sont mieux payés que ceux d’ici ?
(Hésitations) Je dirai que mon niveau sur le plan financier n’est plus le même. Il a beaucoup évolué. Les primes de matches oscillent entre 70.000 et 100.000 Fcfa. Et elles augmentent selon les challenges. Au niveau des salaires, les locaux tournent autour de 200.000 Fcfa. Les étrangers, eux, gagnent plus.
Quelles différences notables faites-vous entre les championnats gabonais et ivoirien ?
A l’époque où je jouais ici, le niveau était bon. Au Gabon, il y a des talents et il y a les moyens. Depuis mon retour à Abidjan, pour quelques jours de vacances, je me rends compte que le niveau a baissé.
Combien d’Ivoiriens êtes-vous au Gabon ?
Nous sommes trois. Il y a l’ex-attaquant de la Jcat, Doudou Privat, qui évolue à l’Uso et le milieu Zohi Valery de Manga Sports.
Avez-vous des contacts avec des clubs étrangers ?
Oui, notamment en Afrique du Sud. Mais pour des problèmes de papiers administratifs (passeport), le délai est passé. Une autre fois certainement. Là, je viens de m’engager avec le Stade Mandji. J’espère que j’aurai une autre opportunité.
Entretien réalisé par G.F.Y.
