Elles étaient là. Toutes ou presque. On les a vues. Elles sont arrivées des villages éloignés ou proches, des régions réputées jadis, impénétrables par le RDR. Elles sont arrivées, en masse, des quartiers d’Abidjan, déclarés hostiles, dans le temps, au président du RDR. Nombreuses, elles étaient. Il fallait le faire. De surcroit, un vendredi , jour ouvrable. Joyeuses, également. Elles sont venues rencontrer le président et candidat de leur nouveau parti, le RDR. Si elles sont là, explique l’une d’entre elles, c’est que ça chauffe. Comme des poissons, elles ont fui la montée des eaux chaudes qui envahissent les profondeurs des cours d’eau. Le pays est malade. La refondation a déçu. Les nouvelles électrices du RDR ont délivré leurs messages, confié leur destin à ADO, en bété, ébrié, gouro et baoulé. N’eut été la contrainte des temps impartis, elles auraient fait le tour de la soixantaine d’ethnies que compte la Côte d’Ivoire. Là où le pays est arrivé, confie une autre, ce n’est plus une affaire de région, d’ethnie, de frère ou de coreligionnaire. Il s’agit plutôt de la survie de tout un peuple, de l’avenir de nos enfants et de redressement national. Pourquoi donc ne pas donner à César ce qui lui revient de droit ? Ayant bonne mémoire, les nouvelles adhérentes du RDR se sont souvenues de ce que ce fils spirituel d’Houphouët-Bouigny, qui fut son unique Premier ministre, avait fait quand la patrie s’était retrouvée au bord du gouffre. Et comme c’est lui qui avait accompagné le père, il est mieux placé que quiconque pour aller chercher les plantes médicinales là où le père les avait cachées quand ils cheminaient ensemble. La Côte d’Ivoire a besoin de celui qui peut la guérir de ses maux.
Venues donc nombreuses, hier au Parc des sports, les nouvelles électrices du RDR ont fait tomber bien de clichés. Ceux qui, pour des raisons politiciennes ont toujours voulu confiner le président du RDR et son parti dans une région du pays, en ont eu pour leur frais. Leur ligne d’attaque, truffée de mensonges, a été détruite. Celles qui étaient hier à Treichville, pour la plupart, sont bien du sud, du centre, du centre-ouest, de l’est de l’ouest etc. Aux côtés de leurs sœurs des autres régions, elles ont tenu à démontrer que le RDR est ressenti comme étant bien proche de leurs préoccupations et surtout, que son candidat a bien les solutions à leurs problèmes et qu’il a bien la capacité de gérer le pays, pour le bonheur de tous et de toutes, sans exclusion.
Raoul Mapiéchon
Venues donc nombreuses, hier au Parc des sports, les nouvelles électrices du RDR ont fait tomber bien de clichés. Ceux qui, pour des raisons politiciennes ont toujours voulu confiner le président du RDR et son parti dans une région du pays, en ont eu pour leur frais. Leur ligne d’attaque, truffée de mensonges, a été détruite. Celles qui étaient hier à Treichville, pour la plupart, sont bien du sud, du centre, du centre-ouest, de l’est de l’ouest etc. Aux côtés de leurs sœurs des autres régions, elles ont tenu à démontrer que le RDR est ressenti comme étant bien proche de leurs préoccupations et surtout, que son candidat a bien les solutions à leurs problèmes et qu’il a bien la capacité de gérer le pays, pour le bonheur de tous et de toutes, sans exclusion.
Raoul Mapiéchon