Combien étaient-ils ? 50 mille comme l’a dit l’animatrice Konian ? ou plus ? Oui, combien étaient-ils ce samedi au complexe sportif de Yopougon, tous ces jeunes venus de tous les horizons écouter le message d’espoir de leur champion ? On ne saurait le dire. Une chose est cependant sûre, il y avait foule. Un véritable déferlement humain. Une marée humaine. Ils sont venus chantant et dansant pour communier avec leur candidat. Et la grand’messe a eu lieu dans une communion totale. Gbagbo et son peuple ont fait un, comme à l’accoutumée. Ils ont chanté, dansé, sauté. Ils se sont parlé et se sont compris. Le peuple a démontré une fois de plus qu’il fait corps avec son président. Dès 6h, le complexe est pris d’assaut. Impossible de se frayer un passage. Les mouvements sont limités. Il n’y a pas d’espace. C’est la bousculade, chacun voulant se frayer un passage pour avoir accès à l’enceinte du complexe qui refuse déjà du monde.
Les forces de l’ordre déployées en nombre impressionnant ont du mal à contenir la foule. Quelqu’un lance une boutade dans ce tohu-bohu : “Le complexe va prendre drap aujourd’hui, tellement il sera gbé”. Dans les maquis qui jouxtent le complexe, on prend un pot, le temps de se désaltérer et se remettre dans le rang. “Nous n’avons pas pu avoir de place dedans. Alors nous avons pris nos quartiers ici. Nous sommes en communion parfaite”, lancent des jeunes assis autour d’une table. La Rue des princes est bondée de monde. Ismaël Koné, tout excité, lance : “C’est lui le vrai champion. C’est le vrai mentor. L’autre n’est qu’une photocopie de la photocopie”. Sur les axes Complexe-Sapeur pompier et complexe-Nouveau quartier les rues sont noires de monde. La circulation, même humaine, est quasi impossible. “Ils n’ont encore rien vu. Ils vont prendre drap, ces vieux roublards. Ils n’ont pas dit qu’ils veulent faire politique, ils pensent que c’est payer militants pour venir faire meeting qui fait qu’on est politicien. Ils ne représentent rien dans ce pays. C’est Gbagbo que le peuple veut. Parce qu’il aime son peuple, et son peuple l’aime. Il connaît son peuple et son peuple le connaît. Entre lui et nous c’est une longue histoire.
On est collé-serré”, fait remarquer un jeune répondant au nom de Serges Séry. Pour lui et ses camarades, Gbagbo est le bon berger qui connaît ses brebis et que ses brebis connaissent ainsi que le dit la Sainte Bible. Nous réussissons enfin à pénétrer dans le stade. Stupéfaction. “Sont-ils des hommes tous ceux là ?”, lâche étonné, un confrère qui s’attelle à entrer en possession de son badge. “C’est une véritable marée humaine”, lui répond-on. Les groupes de wôyo et d’autres groupes d’ambiance de fortune rivalisent avec la pléiade d’artistes pour tenir le public en haleine avant l’arrivée du “messie”. Il est 11h45mm, quand le “général” directeur national de campagne chargé de la jeunesse, Charles Blé Goudé, foule le sol du complexe, accompagné de ses lieutenants. C’est le délire. Cette ambiance surchauffée va atteindre son paroxysme quand il monte sur le podium à 11h 52 min, pour saluer le bouillant public. A 12h07, Dr Malick Coulibaly, directeur national de campagne du champion est accueilli avec ferveur. Il est 12h43min, quand le candidat Gbagbo, espoir de la jeunesse, qui a fait le trajet à pied depuis la station Royal, foule le sol du complexe de Yopougon. L’animateur au micro l’annonce. Des salves interminables de cris de joie éclatent, l’accueillent et l’accompagnent avec des scènes exceptionnelles. Le public n’arrive plus à contenir sa joie de voir son champion devant lui et avec lui. L’ambiance devient électrique. Le champion est bel et bien là. Le Woody de Mama est dans la place. Son arrivée donne du fil à retordre aux agents de sécurité. Tout le monde veut le voir, le toucher.
La grand’messe commence dans une communion totale lorsque le candidat fait le tour d’honneur pour saluer les siens. On ne peut pas supporter l’excès de joie. On tombe en syncope. Les pompiers et les secouristes de la Croix rouge sont mis à rude contribution. Plus de peur que de mal. Gbagbo et les jeunes se sont parlé. Il leur a délivré son message d’espoir et fait siennes leurs préoccupations. Il a pris un engagement avec eux. Et ce, sans tomber dans le ridicule, les injures gratuites, le mensonge, la délation, la calomnie et la déformation de l’histoire. Il est resté égal à lui-même. Une fois de plus, Laurent Gbagbo a démontré qu’il est le candidat du peuple, qu’il est en parfaite harmonie avec son peuple. Il a montré combien la jeunesse a du prix à ses yeux. Le peuple a montré aussi à la face du monde que son champion c’est Gbagbo. Qu’il fait corps avec lui. Qu’il est debout avec lui et prêt pour lui.
Les forces de l’ordre déployées en nombre impressionnant ont du mal à contenir la foule. Quelqu’un lance une boutade dans ce tohu-bohu : “Le complexe va prendre drap aujourd’hui, tellement il sera gbé”. Dans les maquis qui jouxtent le complexe, on prend un pot, le temps de se désaltérer et se remettre dans le rang. “Nous n’avons pas pu avoir de place dedans. Alors nous avons pris nos quartiers ici. Nous sommes en communion parfaite”, lancent des jeunes assis autour d’une table. La Rue des princes est bondée de monde. Ismaël Koné, tout excité, lance : “C’est lui le vrai champion. C’est le vrai mentor. L’autre n’est qu’une photocopie de la photocopie”. Sur les axes Complexe-Sapeur pompier et complexe-Nouveau quartier les rues sont noires de monde. La circulation, même humaine, est quasi impossible. “Ils n’ont encore rien vu. Ils vont prendre drap, ces vieux roublards. Ils n’ont pas dit qu’ils veulent faire politique, ils pensent que c’est payer militants pour venir faire meeting qui fait qu’on est politicien. Ils ne représentent rien dans ce pays. C’est Gbagbo que le peuple veut. Parce qu’il aime son peuple, et son peuple l’aime. Il connaît son peuple et son peuple le connaît. Entre lui et nous c’est une longue histoire.
On est collé-serré”, fait remarquer un jeune répondant au nom de Serges Séry. Pour lui et ses camarades, Gbagbo est le bon berger qui connaît ses brebis et que ses brebis connaissent ainsi que le dit la Sainte Bible. Nous réussissons enfin à pénétrer dans le stade. Stupéfaction. “Sont-ils des hommes tous ceux là ?”, lâche étonné, un confrère qui s’attelle à entrer en possession de son badge. “C’est une véritable marée humaine”, lui répond-on. Les groupes de wôyo et d’autres groupes d’ambiance de fortune rivalisent avec la pléiade d’artistes pour tenir le public en haleine avant l’arrivée du “messie”. Il est 11h45mm, quand le “général” directeur national de campagne chargé de la jeunesse, Charles Blé Goudé, foule le sol du complexe, accompagné de ses lieutenants. C’est le délire. Cette ambiance surchauffée va atteindre son paroxysme quand il monte sur le podium à 11h 52 min, pour saluer le bouillant public. A 12h07, Dr Malick Coulibaly, directeur national de campagne du champion est accueilli avec ferveur. Il est 12h43min, quand le candidat Gbagbo, espoir de la jeunesse, qui a fait le trajet à pied depuis la station Royal, foule le sol du complexe de Yopougon. L’animateur au micro l’annonce. Des salves interminables de cris de joie éclatent, l’accueillent et l’accompagnent avec des scènes exceptionnelles. Le public n’arrive plus à contenir sa joie de voir son champion devant lui et avec lui. L’ambiance devient électrique. Le champion est bel et bien là. Le Woody de Mama est dans la place. Son arrivée donne du fil à retordre aux agents de sécurité. Tout le monde veut le voir, le toucher.
La grand’messe commence dans une communion totale lorsque le candidat fait le tour d’honneur pour saluer les siens. On ne peut pas supporter l’excès de joie. On tombe en syncope. Les pompiers et les secouristes de la Croix rouge sont mis à rude contribution. Plus de peur que de mal. Gbagbo et les jeunes se sont parlé. Il leur a délivré son message d’espoir et fait siennes leurs préoccupations. Il a pris un engagement avec eux. Et ce, sans tomber dans le ridicule, les injures gratuites, le mensonge, la délation, la calomnie et la déformation de l’histoire. Il est resté égal à lui-même. Une fois de plus, Laurent Gbagbo a démontré qu’il est le candidat du peuple, qu’il est en parfaite harmonie avec son peuple. Il a montré combien la jeunesse a du prix à ses yeux. Le peuple a montré aussi à la face du monde que son champion c’est Gbagbo. Qu’il fait corps avec lui. Qu’il est debout avec lui et prêt pour lui.