Le président de l’Africa Sport d’Abidjan, Kuyo Téa Narcisse ne sait plus à quel saint se vouer pour mettre fin à la vague de contestation dont il fait l’objet depuis des mois. Son principal problème reste à n’en point douter la détermination des Amazones (irréductibles dames supporters du club), qui mettent à nu chaque jour sa mauvaise gestion du navire vert et rouge.
C’est désormais un secret de polichinelle. L’Africa Sport d’Abidjan est à la rue. Normal, puisque les enfants vert et rouge se comportent en véritables enfants de la rue. Injures, calomnies, propos mensongers, bagarres et mêmes soupçons d’escroquerie et de vols demeurent leurs lots quotidiens. Que dire des piques ? Elles sont l’apanage des Amazones conduites par Mme Logbo Bernadette et Zouané Geneviève. Ces dernières ne ratent plus une occasion pour fustiger la mauvaise gestion du président Kuyo Téa Narcisse.
L’entrée en lice des Amazones
Au sein de l’establishment vert et rouge, les Amazones constituent un maillon essentiel pour qui veut diriger l’Africa Sport d’Abidjan. Ces dames de fer, la trentaine révolue, excellent dans la déstabilisation de tout dirigeant qui ne fait pas l’affaire du club. « Si on a fait tomber le grand baobab, ce n’est pas un papayer qui pourra faire obstacle », avait confié Mme Logbo, parlant bien sûr de Simplice Zinsou (le grand baobab) et Kuyo Téa Narcisse (le papayer). Quel pouvoir ont-elles ces Amazones ? En véritables guerrières, elles sont passées maîtres dans l’art de critiquer la gestion des dirigeants du club vert et rouge. « Ces dames ont toutes les informations mêmes secrètes. Au fait, ce sont les potentiels présidents qui leur donnent tous les sons », a fait savoir Narcisse. Avant de noter « qu’elles dérangent véritablement. Les négliger, c’est signer son arrêt de mort. Je peux vous dire qu’elles fragilisent beaucoup le président Kuyo Téa Narcisse ».
Ce sont elles qui animent avec brio l’actuelle crise qui secoue le club. Présentes au stade lors des rencontres de l’Africa Sport d’Abidjan, elles trouvent le culot de défier les pro-Kuyo en chantant des chansons hostiles à ce dernier. « On veut du sang nouveau », était leur refrain hebdomadaire durant le championnat national Ligue 1). Mieux, Mme Logbo Bernadette et ses camarades animaient des conférences de presse pour dénoncer la mauvaise gestion de leur mentor, Kuyo Téa Narcisse. Leur dernière conférence date du samedi 31 octobre 2009. Au cours de cette rencontre au Café de la Paix de Yopougon, Mme Logbo Bernadette, Zouané Geneviève et les autres ont tancé une fois de plus Kuyo Téa Narcisse. « Le président Kuyo Téa Narcisse continue de mentir encore à propos du siège de l’Africa qui se trouve à Angré. Il n’a jamais mis les pieds dans le local qui se trouve à Angré 7e tranche. C’est un honnête opérateur économique qui avait fait louer le local », a fait remarqué la conférencière, Mme Logbo. Elle ne s’est pas arrêtée là. L’Amazone a révélé qu’un car du club a été vendu à un supporter de l’Asec Mimosas en l’occurrence le Maréchal Bassolé. « Il n’y a jamais eu 6 tonnes d’équipement mais 600 kg qui ont été retirés et dont on a aucune trace. Le club a deux jeux de maillots et quelques maillots », a-t-elle martelé. Pour montrer leur bonne foi, Mme Logbo Bernadette et ses équipières ont demandé pardon aux journalistes agressés lors des matches de leur club. « Quand des individus agissent maladroitement au nom du président Kuyo Téa Narcisse, il lui appartient d’intervenir et s’il ne le fait pas, c’est qu’il y a une complicité passive », a-t-elle conclu en invitant la FIF et le ministre des Sports à prendre dorénavant des mesures idoines pour prévenir tout acte de vandalisme. Pour les Amazones, Kuyo Téa Narcisse n’est plus l’homme de la situation de leur formation qui n’existe désormais que de nom. Au regard de leurs agissements, on est tenté de se poser la question de savoir qui se cache derrière ces Amazones ? Des voix soupçonnent Bahi Antoine et Vagba Alexis mais les Amazones répondent sans ambages : « Nous agissons en notre propre nom. Nous ne voulons plus de Kuyo Téa Narcisse. Même sa brigade sans visage ne nous fera rien. Il partira. Si Bahi Antoine voulait prendre le club, il ne serait pas allé chercher Kuyo Téa avec Vagba Alexis ». Vrai ou faux ? En tout cas, à l’Africa Sport d’Abidjan, la division est perceptible et la paix ne semble pas pour demain. Kuyo Téa Narcisse, partira, partira pas. Le feuilleton se poursuit avec pour actrices principales les Amazones. C’est vraiment l’émancipation chez les vert et rouge où les femmes défont les hommes.
Dablemon Tasman
C’est désormais un secret de polichinelle. L’Africa Sport d’Abidjan est à la rue. Normal, puisque les enfants vert et rouge se comportent en véritables enfants de la rue. Injures, calomnies, propos mensongers, bagarres et mêmes soupçons d’escroquerie et de vols demeurent leurs lots quotidiens. Que dire des piques ? Elles sont l’apanage des Amazones conduites par Mme Logbo Bernadette et Zouané Geneviève. Ces dernières ne ratent plus une occasion pour fustiger la mauvaise gestion du président Kuyo Téa Narcisse.
L’entrée en lice des Amazones
Au sein de l’establishment vert et rouge, les Amazones constituent un maillon essentiel pour qui veut diriger l’Africa Sport d’Abidjan. Ces dames de fer, la trentaine révolue, excellent dans la déstabilisation de tout dirigeant qui ne fait pas l’affaire du club. « Si on a fait tomber le grand baobab, ce n’est pas un papayer qui pourra faire obstacle », avait confié Mme Logbo, parlant bien sûr de Simplice Zinsou (le grand baobab) et Kuyo Téa Narcisse (le papayer). Quel pouvoir ont-elles ces Amazones ? En véritables guerrières, elles sont passées maîtres dans l’art de critiquer la gestion des dirigeants du club vert et rouge. « Ces dames ont toutes les informations mêmes secrètes. Au fait, ce sont les potentiels présidents qui leur donnent tous les sons », a fait savoir Narcisse. Avant de noter « qu’elles dérangent véritablement. Les négliger, c’est signer son arrêt de mort. Je peux vous dire qu’elles fragilisent beaucoup le président Kuyo Téa Narcisse ».
Ce sont elles qui animent avec brio l’actuelle crise qui secoue le club. Présentes au stade lors des rencontres de l’Africa Sport d’Abidjan, elles trouvent le culot de défier les pro-Kuyo en chantant des chansons hostiles à ce dernier. « On veut du sang nouveau », était leur refrain hebdomadaire durant le championnat national Ligue 1). Mieux, Mme Logbo Bernadette et ses camarades animaient des conférences de presse pour dénoncer la mauvaise gestion de leur mentor, Kuyo Téa Narcisse. Leur dernière conférence date du samedi 31 octobre 2009. Au cours de cette rencontre au Café de la Paix de Yopougon, Mme Logbo Bernadette, Zouané Geneviève et les autres ont tancé une fois de plus Kuyo Téa Narcisse. « Le président Kuyo Téa Narcisse continue de mentir encore à propos du siège de l’Africa qui se trouve à Angré. Il n’a jamais mis les pieds dans le local qui se trouve à Angré 7e tranche. C’est un honnête opérateur économique qui avait fait louer le local », a fait remarqué la conférencière, Mme Logbo. Elle ne s’est pas arrêtée là. L’Amazone a révélé qu’un car du club a été vendu à un supporter de l’Asec Mimosas en l’occurrence le Maréchal Bassolé. « Il n’y a jamais eu 6 tonnes d’équipement mais 600 kg qui ont été retirés et dont on a aucune trace. Le club a deux jeux de maillots et quelques maillots », a-t-elle martelé. Pour montrer leur bonne foi, Mme Logbo Bernadette et ses équipières ont demandé pardon aux journalistes agressés lors des matches de leur club. « Quand des individus agissent maladroitement au nom du président Kuyo Téa Narcisse, il lui appartient d’intervenir et s’il ne le fait pas, c’est qu’il y a une complicité passive », a-t-elle conclu en invitant la FIF et le ministre des Sports à prendre dorénavant des mesures idoines pour prévenir tout acte de vandalisme. Pour les Amazones, Kuyo Téa Narcisse n’est plus l’homme de la situation de leur formation qui n’existe désormais que de nom. Au regard de leurs agissements, on est tenté de se poser la question de savoir qui se cache derrière ces Amazones ? Des voix soupçonnent Bahi Antoine et Vagba Alexis mais les Amazones répondent sans ambages : « Nous agissons en notre propre nom. Nous ne voulons plus de Kuyo Téa Narcisse. Même sa brigade sans visage ne nous fera rien. Il partira. Si Bahi Antoine voulait prendre le club, il ne serait pas allé chercher Kuyo Téa avec Vagba Alexis ». Vrai ou faux ? En tout cas, à l’Africa Sport d’Abidjan, la division est perceptible et la paix ne semble pas pour demain. Kuyo Téa Narcisse, partira, partira pas. Le feuilleton se poursuit avec pour actrices principales les Amazones. C’est vraiment l’émancipation chez les vert et rouge où les femmes défont les hommes.
Dablemon Tasman
