•Comment il a été pris en otage par les autorités sénégalaises
Depuis 2001, un remède contre le Sida a été découvert au Sénégal, mais plutôt que de bénéficier du soutien des autorités locales, ce produit a été littéralement utilisé comme un fonds d’escroquerie pour soutirer des rançons au réseau du ‘’Sida business’’. Dans cette œuvre de 240 pages, l’auteur retrace la chronologie de cette découverte, le ‘’PLD‘’. L’ambition de ce livre intitulé ‘’Le Sida vaincu, la vérité en marche’’, l’auteur entend sensibiliser l’opinion publique africaine sur les dessous de cette affaire qui subit une omerta de la part des autorités sénégalaises officiellement saisi de ce dossier depuis la première édition paru au mois de mars 2004. En dépit du débat autour de ce produit dont l’efficacité ne fait l’ombre d’aucun doute, il peine encore à se faire une place au soleil : « La charge virale du numéro 5 qui était de 85898 copies/ml, il y a plus d’une année avait chuté à 234 copies/ml bayer en moins d’un mois. C’était tout simplement inimaginable eu égard au traitement existant dans le marché du médicament, c’était une révolution dans le domaine du traitement thérapeutiques contre le sida. », p 31. Ainsi tous les patients qui ont été traités par LD (l’inventeur), vivent actuellement au Sénégal et se portent à merveille écrit-il dans son ouvrage. A ce propos, la méthodologie du chercheur exposé aux pages allant de la page 33 à 36 de cette œuvre, présente le degré d’efficacité de ce remède. « (…) Tout ce que vous venez de lire dans les diagnostics des malades était consigné dans le document reçu par Eva Coll Seck (ex ministre de la santé sénégalaise). En plus de sa qualité d’autorité de saisine en tant que ministre, elle est une scientifique rompue aux terminologies médicales que vous venez de parcourir » souligne t-il à la page 37. Pour justifier son engagement dans ce combat, l’auteur ajoute : « Notre garantie de réussite repose sur le secret autour des plantes utilisées. Le jour où celui-ci est découvert pour servir des intérêts malicieux, il s’en suivra sûrement une tentative de faire disparaître les troubles fête, en commençant par l’inventeur lui-même afin de s’attribuer tous les bénéfices de la découverte. », p 68. Conscient donc de ce que représente l’enjeu de cette découverte d’une part, mais surtout en se référant au passé relatif à l’affaire Nanan Kofi Drobo, ce ghanéen ayant inventé un remède contre cette pandémie et qui a avait trouvé la mort dans des conditions mystérieuses au Japon, cette fois, des dispositions de pérennisation du PLD ont été prises : « Cette fois-ci, l’expérience nous a donc poussé à poser des gardes fous pour sécuriser la découverte qui survivra à LD encore pendant des siècles. De plus, la nature même de la découverte du PLD constitue un piège à toute structure qui tenterait de détourner ou d’empêcher sa divulgation », p155. Le sida, on le sait, se manifeste par la défaillance totale du système immunitaire qui facilite la venue de toutes sortes de maladies. Si le PLD a vaincu le sida, cela veut dire que le remède est sensé combattre toutes ses maladies, l’industrie du médicament n’y trouve alors pas son intérêt. Par ailleurs et, comme par enchantement, c’est en ce moment où l’on s’active à la promotion de ce produit qu’un scandale de milliards éclate au Sénégal en 2004. Le scandale à milliards le plus célèbre est celui qui oppose le président Abdoulaye Wada et son premier ministre Idrissa Seck en avril 2004. Plus loin au chapitre 15 de ce livre ‘’Le roi et le butin’’, l’auteur fait la lumière sur la prise en otage et la demande de rançon auquel il faisait allusion plus haut. Jack Diop parle de cette affaire à travers un récit imagé présenté sous la forme d’un conte : « Ce qu’il faut retenir à travers ce livre c’est que le PLD n’est pas une affaire de gros sous. On n’a pas besoin de milliards pour l’exploiter, c’est un traitement fini sous forme de tisane qui est sans danger pour l’homme, il a été analysé par l’un des meilleurs biologistes, pharmacologiste du continent. Nous avons les moyens de l’exploiter pour les besoins de l’humanité », (p 213) a-t-il martelé. Pour la promotion de ce livre, et partant du PLD, l’auteur Jack Diop, jeune universitaire sénégalais titulaire d’une maîtrise de droit privé, et est en instance de thèse de doctorat. Il a entrepris depuis 2001 une série d’activités en initiant des cadres de rencontres et d’échanges à travers l’Afrique, l’Europe. Dans cette mouvance, Il a créé un facebook (diop.jack@gmail.com), et ouvert un blog lesidavaincu.blogspot.com pour véhiculer le message de la vérité qui doit rester constamment en marche. ‘’Le Sida vaincu, la vérité en marche’’ est depuis ce matin disponible en librairie.
Germain Dja K - Jack consulting
Depuis 2001, un remède contre le Sida a été découvert au Sénégal, mais plutôt que de bénéficier du soutien des autorités locales, ce produit a été littéralement utilisé comme un fonds d’escroquerie pour soutirer des rançons au réseau du ‘’Sida business’’. Dans cette œuvre de 240 pages, l’auteur retrace la chronologie de cette découverte, le ‘’PLD‘’. L’ambition de ce livre intitulé ‘’Le Sida vaincu, la vérité en marche’’, l’auteur entend sensibiliser l’opinion publique africaine sur les dessous de cette affaire qui subit une omerta de la part des autorités sénégalaises officiellement saisi de ce dossier depuis la première édition paru au mois de mars 2004. En dépit du débat autour de ce produit dont l’efficacité ne fait l’ombre d’aucun doute, il peine encore à se faire une place au soleil : « La charge virale du numéro 5 qui était de 85898 copies/ml, il y a plus d’une année avait chuté à 234 copies/ml bayer en moins d’un mois. C’était tout simplement inimaginable eu égard au traitement existant dans le marché du médicament, c’était une révolution dans le domaine du traitement thérapeutiques contre le sida. », p 31. Ainsi tous les patients qui ont été traités par LD (l’inventeur), vivent actuellement au Sénégal et se portent à merveille écrit-il dans son ouvrage. A ce propos, la méthodologie du chercheur exposé aux pages allant de la page 33 à 36 de cette œuvre, présente le degré d’efficacité de ce remède. « (…) Tout ce que vous venez de lire dans les diagnostics des malades était consigné dans le document reçu par Eva Coll Seck (ex ministre de la santé sénégalaise). En plus de sa qualité d’autorité de saisine en tant que ministre, elle est une scientifique rompue aux terminologies médicales que vous venez de parcourir » souligne t-il à la page 37. Pour justifier son engagement dans ce combat, l’auteur ajoute : « Notre garantie de réussite repose sur le secret autour des plantes utilisées. Le jour où celui-ci est découvert pour servir des intérêts malicieux, il s’en suivra sûrement une tentative de faire disparaître les troubles fête, en commençant par l’inventeur lui-même afin de s’attribuer tous les bénéfices de la découverte. », p 68. Conscient donc de ce que représente l’enjeu de cette découverte d’une part, mais surtout en se référant au passé relatif à l’affaire Nanan Kofi Drobo, ce ghanéen ayant inventé un remède contre cette pandémie et qui a avait trouvé la mort dans des conditions mystérieuses au Japon, cette fois, des dispositions de pérennisation du PLD ont été prises : « Cette fois-ci, l’expérience nous a donc poussé à poser des gardes fous pour sécuriser la découverte qui survivra à LD encore pendant des siècles. De plus, la nature même de la découverte du PLD constitue un piège à toute structure qui tenterait de détourner ou d’empêcher sa divulgation », p155. Le sida, on le sait, se manifeste par la défaillance totale du système immunitaire qui facilite la venue de toutes sortes de maladies. Si le PLD a vaincu le sida, cela veut dire que le remède est sensé combattre toutes ses maladies, l’industrie du médicament n’y trouve alors pas son intérêt. Par ailleurs et, comme par enchantement, c’est en ce moment où l’on s’active à la promotion de ce produit qu’un scandale de milliards éclate au Sénégal en 2004. Le scandale à milliards le plus célèbre est celui qui oppose le président Abdoulaye Wada et son premier ministre Idrissa Seck en avril 2004. Plus loin au chapitre 15 de ce livre ‘’Le roi et le butin’’, l’auteur fait la lumière sur la prise en otage et la demande de rançon auquel il faisait allusion plus haut. Jack Diop parle de cette affaire à travers un récit imagé présenté sous la forme d’un conte : « Ce qu’il faut retenir à travers ce livre c’est que le PLD n’est pas une affaire de gros sous. On n’a pas besoin de milliards pour l’exploiter, c’est un traitement fini sous forme de tisane qui est sans danger pour l’homme, il a été analysé par l’un des meilleurs biologistes, pharmacologiste du continent. Nous avons les moyens de l’exploiter pour les besoins de l’humanité », (p 213) a-t-il martelé. Pour la promotion de ce livre, et partant du PLD, l’auteur Jack Diop, jeune universitaire sénégalais titulaire d’une maîtrise de droit privé, et est en instance de thèse de doctorat. Il a entrepris depuis 2001 une série d’activités en initiant des cadres de rencontres et d’échanges à travers l’Afrique, l’Europe. Dans cette mouvance, Il a créé un facebook (diop.jack@gmail.com), et ouvert un blog lesidavaincu.blogspot.com pour véhiculer le message de la vérité qui doit rester constamment en marche. ‘’Le Sida vaincu, la vérité en marche’’ est depuis ce matin disponible en librairie.
Germain Dja K - Jack consulting
