Minutepolitique.net - Depuis 2005, les mois de novembre sont vécus avec beaucoup d’émotions et de recueillement par les patriotes ivoiriens. En effet, le 19 septembre 2002 au petit matin les ivoiriens se sont réveillés sous les crépitements d`armes, nul ne sachant qui agressait la République, ni l’étendue de cette agression.
Le premier Responsable du pays, GBAGBO Laurent en Italie, dans le cadre d’une visite officielle rentre précipitamment en Côte d’Ivoire pendant que ses adversaires politiques fuyaient se refugier en France.
Assaillants, rebelles, Forces Nouvelles que de dénominations pour identifier les faux vrais auteurs de ce coup d’Etat avorté (s’en était vraiment un). Les ivoiriens dans leur grande majorité se sont mobilisés pour défendre la patrie et les institutions de la République.
Les ivoiriens de toute couche sociale ont démontré à la face du monde que le patriotisme n’a pas d’âge et qu’il se trouve dans le cœur.
En démocratie, l’avis du peuple compte et il faut s’en soucier. Chaque Nation a son histoire et écrit sa propre histoire. Les ivoiriens ont dans le sang et la sueur écrit une nouvelle page de leur histoire avec Laurent GBAGBO, le courageux.
Dans la perspective des échéances électorales, nous devons pardonner mais ne pas oublier. Comme l’a dit un grand auteur : « Sachons faire le deuil de ce que nous avons perdu, et profitons de ce qui reste et de ce qui vient ». Ce qui reste, c’est la Côte d’Ivoire et ce qui vient, c’est le bonheur de la Côte d’Ivoire avec la réélection du président Laurent GBAGBO. Aujourd’hui, certain leaders politique du RHDP, parcourent le pays en toute tranquillité pour déverser leur rancune et puante méchanceté sur le candidat de la Côte d’Ivoire. Peut-être que chacun de nous a sa manière d’être ou de se sentir ivoirien, mais il est inconcevable que ceux qui ont endeuillé la Nation, attaqué le régime démocratiquement élu de GBAGBO puissent faire preuve de tant de mauvaise foi avec l’arrogance la plus abjecte, à l’endroit de celui qui a tout donné pour ne pas que la Côte d’Ivoire sombre par la faute de certains de ses enfants, dans le chaos total, tel un véritable rempart pour la République.
Ces politiciens qui se promènent à la conquête d’électorat oublient que la crise est encore fraiche dans nos mémoires ; ils agissent comme s’ils n’avaient rien à voir avec la crise armée qu’a connue le pays.
Vraiment la Côte d’Ivoire est un pays exceptionnel et nous avons en Laurent GBAGBO un magnifique Président vraiment bon, trop bon.
Ce que je crois Monsieur le Président de la République, c’est que votre bon cœur et la grandeur de votre âme, pourraient finir par agacer vos partisans.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que votre idéal d’enracinement de la démocratie et votre ferme volonté de voir les « imbéciles heureux » changer pourraient rester vains.
Ce que je crois Monsieur le Président, vos loyaux concitoyens sont fatigués de votre trop grande générosité et tolérance à l’endroit de vos adversaires politiques qui ne veulent que votre chute et le malheur du peuple.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que vous devez sonner la fin de la récréation et passer à l’offensive. Il ne s’agit plus d’observer le dos du nageur, il faut taper sur ce dos.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que vous êtes trop bon et à force de l’être, « ils » pourraient vous trouver « trop doux comme bonbon ».
Ce que je crois Monsieur le Président, il faut terminer le combat en « achevant » l’adversaire. Quel est ce Président de la République si bon, si généreux qui comble ses adversaires politiques et même les engraisse ; Woody, tu es extraordinaire !!!
La démocratie c’est bon, mais nous voulons vivre en sécurité et dans la sérénité dans notre propre pays. C’est vous que les ivoiriens connaissent et c’est vous que les ivoiriens veulent comme Président pour leur pays après cette crise.
Nous ne voulons pas de Président importés. Vous êtes le candidat de la Côte d’Ivoire. Nous attendons que vous gagniez les élections proprement et que vous vous dotiez d’une majorité parlementaire claire et mettiez en place un gouvernement homogène débarrassé des crapauds, lézards et autres souris pour redonner le sourire aux ivoiriens.
Monsieur le Président, nous ne supportons plus d’entendre des bruits en provenance de vos adversaires politiques, les bourreaux du peuple ivoirien. Ils continuent sans vergogne de nous narguer impunément, de rire de nos malheurs et de jouer aux innocents dans leurs tournées politiques, en vous accusant de tous les péchés d’Israël.
Certains même poussent la mauvaise foi à son comble en niant d’être les géniteurs du concept de l’ivoirité (eh Dieu !), quand d’autres parlant de réconciliation, ne reconnaissent pas être les vrais auteurs de la rébellion.
Prési, nous ne supportons pas un parti, mais nous avons un parti pris, c’est la Côte d’ivoire avec vous à sa tête.
Vous êtes le seul à pouvoir nous convaincre sur les thématiques de liberté, de justice sociale et de progrès économique. La Côte d’Ivoire à besoin d’un Chef humble, cultivé, intelligent et plein de bravoure, et vous l’êtes. Nous ne voulons pas lâcher la proie pour l’ombre et faire le choix de la destruction, de l’aliénation et de la désolation.
GBAGBO sauve nous pour que le jeu politique en Côte d’Ivoire retrouve ses lettres de noblesse et que les ivoiriens puissent vaquer à leurs occupations quotidiennes sans être sur le qui-vive. La vie ne se limite pas exclusivement à la politique.
Prési, nous n’accepterons plus que toi, la victime, soit cyniquement présentée par tes adversaires politiques comme le bourreau.
Communicateurs bénévoles
Le premier Responsable du pays, GBAGBO Laurent en Italie, dans le cadre d’une visite officielle rentre précipitamment en Côte d’Ivoire pendant que ses adversaires politiques fuyaient se refugier en France.
Assaillants, rebelles, Forces Nouvelles que de dénominations pour identifier les faux vrais auteurs de ce coup d’Etat avorté (s’en était vraiment un). Les ivoiriens dans leur grande majorité se sont mobilisés pour défendre la patrie et les institutions de la République.
Les ivoiriens de toute couche sociale ont démontré à la face du monde que le patriotisme n’a pas d’âge et qu’il se trouve dans le cœur.
En démocratie, l’avis du peuple compte et il faut s’en soucier. Chaque Nation a son histoire et écrit sa propre histoire. Les ivoiriens ont dans le sang et la sueur écrit une nouvelle page de leur histoire avec Laurent GBAGBO, le courageux.
Dans la perspective des échéances électorales, nous devons pardonner mais ne pas oublier. Comme l’a dit un grand auteur : « Sachons faire le deuil de ce que nous avons perdu, et profitons de ce qui reste et de ce qui vient ». Ce qui reste, c’est la Côte d’Ivoire et ce qui vient, c’est le bonheur de la Côte d’Ivoire avec la réélection du président Laurent GBAGBO. Aujourd’hui, certain leaders politique du RHDP, parcourent le pays en toute tranquillité pour déverser leur rancune et puante méchanceté sur le candidat de la Côte d’Ivoire. Peut-être que chacun de nous a sa manière d’être ou de se sentir ivoirien, mais il est inconcevable que ceux qui ont endeuillé la Nation, attaqué le régime démocratiquement élu de GBAGBO puissent faire preuve de tant de mauvaise foi avec l’arrogance la plus abjecte, à l’endroit de celui qui a tout donné pour ne pas que la Côte d’Ivoire sombre par la faute de certains de ses enfants, dans le chaos total, tel un véritable rempart pour la République.
Ces politiciens qui se promènent à la conquête d’électorat oublient que la crise est encore fraiche dans nos mémoires ; ils agissent comme s’ils n’avaient rien à voir avec la crise armée qu’a connue le pays.
Vraiment la Côte d’Ivoire est un pays exceptionnel et nous avons en Laurent GBAGBO un magnifique Président vraiment bon, trop bon.
Ce que je crois Monsieur le Président de la République, c’est que votre bon cœur et la grandeur de votre âme, pourraient finir par agacer vos partisans.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que votre idéal d’enracinement de la démocratie et votre ferme volonté de voir les « imbéciles heureux » changer pourraient rester vains.
Ce que je crois Monsieur le Président, vos loyaux concitoyens sont fatigués de votre trop grande générosité et tolérance à l’endroit de vos adversaires politiques qui ne veulent que votre chute et le malheur du peuple.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que vous devez sonner la fin de la récréation et passer à l’offensive. Il ne s’agit plus d’observer le dos du nageur, il faut taper sur ce dos.
Ce que je crois Monsieur le Président, c’est que vous êtes trop bon et à force de l’être, « ils » pourraient vous trouver « trop doux comme bonbon ».
Ce que je crois Monsieur le Président, il faut terminer le combat en « achevant » l’adversaire. Quel est ce Président de la République si bon, si généreux qui comble ses adversaires politiques et même les engraisse ; Woody, tu es extraordinaire !!!
La démocratie c’est bon, mais nous voulons vivre en sécurité et dans la sérénité dans notre propre pays. C’est vous que les ivoiriens connaissent et c’est vous que les ivoiriens veulent comme Président pour leur pays après cette crise.
Nous ne voulons pas de Président importés. Vous êtes le candidat de la Côte d’Ivoire. Nous attendons que vous gagniez les élections proprement et que vous vous dotiez d’une majorité parlementaire claire et mettiez en place un gouvernement homogène débarrassé des crapauds, lézards et autres souris pour redonner le sourire aux ivoiriens.
Monsieur le Président, nous ne supportons plus d’entendre des bruits en provenance de vos adversaires politiques, les bourreaux du peuple ivoirien. Ils continuent sans vergogne de nous narguer impunément, de rire de nos malheurs et de jouer aux innocents dans leurs tournées politiques, en vous accusant de tous les péchés d’Israël.
Certains même poussent la mauvaise foi à son comble en niant d’être les géniteurs du concept de l’ivoirité (eh Dieu !), quand d’autres parlant de réconciliation, ne reconnaissent pas être les vrais auteurs de la rébellion.
Prési, nous ne supportons pas un parti, mais nous avons un parti pris, c’est la Côte d’ivoire avec vous à sa tête.
Vous êtes le seul à pouvoir nous convaincre sur les thématiques de liberté, de justice sociale et de progrès économique. La Côte d’Ivoire à besoin d’un Chef humble, cultivé, intelligent et plein de bravoure, et vous l’êtes. Nous ne voulons pas lâcher la proie pour l’ombre et faire le choix de la destruction, de l’aliénation et de la désolation.
GBAGBO sauve nous pour que le jeu politique en Côte d’Ivoire retrouve ses lettres de noblesse et que les ivoiriens puissent vaquer à leurs occupations quotidiennes sans être sur le qui-vive. La vie ne se limite pas exclusivement à la politique.
Prési, nous n’accepterons plus que toi, la victime, soit cyniquement présentée par tes adversaires politiques comme le bourreau.
Communicateurs bénévoles