Réduire les risques liés aux soins des patients dans les établissements sanitaires en leur fournissant des prestations de qualité. C’est l’objectif que veut atteindre le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique en organisant depuis mardi à l’Institut national de santé publique à Adjamé, le 2è forum national sur la sécurité des patients.
C’est ce qu’a indiqué le Pr. Anongba Simplice, directeur général de la santé, représentant le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, le Dr. Allah Kouadio Rémi, parrain de l’événement. Il a également dit que cette rencontre a pour but de promouvoir non seulement la sécurité des patients, mais aussi d’attirer l’attention des décideurs, des prestataires et des usagers sur le rôle qu’ils doivent jouer. C’est pourquoi, il a fait savoir aux participants qu’il attend leurs recommandations suivies des plans de mise en œuvre.
La représentante des partenaires de la lutte contre le Vih/Sida (Pepfar/Retroci), Dr Anna Likos, a relevé la nécessité de renforcer et d’améliorer les capacités des structures sanitaires. Notamment, la qualité des soins et des produits. Aussi, a-t-elle souligné la nécessité d’une meilleure gestion des déchets produits dans ces structures.
Le représentant de l’Oms en Côte d’Ivoire, pour sa part, a salué le choix d’un tel sujet relatif au droit à la santé. Pour lui, le risque des soins de santé est « un problème à dimension mondiale ». Il est donc important de faire de la sécurité du patient, une partie intégrante des soins de qualité.
Ce forum dont les activités prennent fin le 12 novembre a pour thème : « Implication des patients et des familles dans les stratégies d’amélioration de la sécurité des soins dans les établissements de santé en Côte d’Ivoire ».
OUATTARA Minapa Germain
C’est ce qu’a indiqué le Pr. Anongba Simplice, directeur général de la santé, représentant le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, le Dr. Allah Kouadio Rémi, parrain de l’événement. Il a également dit que cette rencontre a pour but de promouvoir non seulement la sécurité des patients, mais aussi d’attirer l’attention des décideurs, des prestataires et des usagers sur le rôle qu’ils doivent jouer. C’est pourquoi, il a fait savoir aux participants qu’il attend leurs recommandations suivies des plans de mise en œuvre.
La représentante des partenaires de la lutte contre le Vih/Sida (Pepfar/Retroci), Dr Anna Likos, a relevé la nécessité de renforcer et d’améliorer les capacités des structures sanitaires. Notamment, la qualité des soins et des produits. Aussi, a-t-elle souligné la nécessité d’une meilleure gestion des déchets produits dans ces structures.
Le représentant de l’Oms en Côte d’Ivoire, pour sa part, a salué le choix d’un tel sujet relatif au droit à la santé. Pour lui, le risque des soins de santé est « un problème à dimension mondiale ». Il est donc important de faire de la sécurité du patient, une partie intégrante des soins de qualité.
Ce forum dont les activités prennent fin le 12 novembre a pour thème : « Implication des patients et des familles dans les stratégies d’amélioration de la sécurité des soins dans les établissements de santé en Côte d’Ivoire ».
OUATTARA Minapa Germain
