Le Sida vaincu, la vérité en marche». Tel est le titre de l’ouvrage du Sénégalais Jack Diop, conseil d’un tradipraticien, inventeur d’un remède contre le sida. Selon l’auteur, sa découverte implique un ensemble de faits, d’intrigues à relents économiques et politiques. A l’en croire, ce traitement découvert en 2000 par Ld (c’est ainsi qu’il a nommé l’inventeur), est une composition à base de 4 plantes, aux vertus curatives.
Informé, le ministre de la Santé d’alors de son pays, avait ordonné, en 2002, des essais pré cliniques et cliniques. Il raconte plus loin que le traitement a été testé sur une vingtaine de malades. De l’avis du prof. Emmanuel Bassené, chef de service du laboratoire de pharmacognosie et botanique de la faculté de médecine et de pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, «ce remède a soulagé au moins une vingtaine de personnes vivantes avec le Vih Sida (Pv/vih Sida)». Or pour l’auteur, «le traitement n’a pas que soulagé la vingtaine de PV/vih Sida, mais il a complètement éradiqué le mal. Toutes ces personnes traitées sont aujourd’hui cliniquement saines et ont repris le cours normal de leur vie». Mieux, il annonce également que ce remède dispose d’une base scientifique solide (clinique, biologie, chimique), avec deux thèses de doctorat en pharmacie soutenues depuis 2004 et qui garantissent notamment sa non toxicité. Pour Jack Diop, ce remède naturel ferait perdre au marché de l’industrie pharmaceutique 400 milliards d’euros par an. «Commencent alors les tractations, relève-t-il, pour subtiliser à Ld sa découverte afin de la vendre aux industries pharmaceutiques dont une avait avancé plusieurs milliards aux dirigeants, y compris à l’inventeur qui n’a jamais reçu un pécule». L’auteur, dans sa quête des voies et moyens pour permettre aux Pv/vih sida qu’il estime pris en otage par les politiciens de son pays de bénéficier de cette aubaine, s’interroge d’une part : «Comment faire accepter au monde occidental et scientifique, avec tous ses préjugés sur l’Afrique, qu’un Nègre de Cheikh Anta Diop, formé à l’école coranique, a découvert la solution à un problème irrésolu par eux-mêmes depuis plus de vingt ans ?».
Et d’autre part : «Comment était-il possible d’affronter les lobbies pharmaceutiques qui doivent rentabiliser leurs investissements ?».
L’auteur termine son ouvrage par un appel aux Africains afin que ceux-ci s’unissent autour de ce remède, «cette ressource de la nature et dont l’exploitation peut-être valorisable pour servir au développement et au bien-être des peuples».
On peut dire, à la lecture de cet ouvrage dont la parution a été accueillie par l’omerta, selon l’auteur, que le Sénégal, à l’instar du Ghana, a son Drobo II.
Jack Diop est titulaire d’une maîtrise de droit privé, d’une maîtrise de droit des Affaires, option gestion financière et d’un Dea en études africaines. Il est également diplômé d’études supérieures en gestion des entreprises. Ce livre est structuré en 15 chapitres et comprend 240 pages.
Marie Chantal Obindé
Informé, le ministre de la Santé d’alors de son pays, avait ordonné, en 2002, des essais pré cliniques et cliniques. Il raconte plus loin que le traitement a été testé sur une vingtaine de malades. De l’avis du prof. Emmanuel Bassené, chef de service du laboratoire de pharmacognosie et botanique de la faculté de médecine et de pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, «ce remède a soulagé au moins une vingtaine de personnes vivantes avec le Vih Sida (Pv/vih Sida)». Or pour l’auteur, «le traitement n’a pas que soulagé la vingtaine de PV/vih Sida, mais il a complètement éradiqué le mal. Toutes ces personnes traitées sont aujourd’hui cliniquement saines et ont repris le cours normal de leur vie». Mieux, il annonce également que ce remède dispose d’une base scientifique solide (clinique, biologie, chimique), avec deux thèses de doctorat en pharmacie soutenues depuis 2004 et qui garantissent notamment sa non toxicité. Pour Jack Diop, ce remède naturel ferait perdre au marché de l’industrie pharmaceutique 400 milliards d’euros par an. «Commencent alors les tractations, relève-t-il, pour subtiliser à Ld sa découverte afin de la vendre aux industries pharmaceutiques dont une avait avancé plusieurs milliards aux dirigeants, y compris à l’inventeur qui n’a jamais reçu un pécule». L’auteur, dans sa quête des voies et moyens pour permettre aux Pv/vih sida qu’il estime pris en otage par les politiciens de son pays de bénéficier de cette aubaine, s’interroge d’une part : «Comment faire accepter au monde occidental et scientifique, avec tous ses préjugés sur l’Afrique, qu’un Nègre de Cheikh Anta Diop, formé à l’école coranique, a découvert la solution à un problème irrésolu par eux-mêmes depuis plus de vingt ans ?».
Et d’autre part : «Comment était-il possible d’affronter les lobbies pharmaceutiques qui doivent rentabiliser leurs investissements ?».
L’auteur termine son ouvrage par un appel aux Africains afin que ceux-ci s’unissent autour de ce remède, «cette ressource de la nature et dont l’exploitation peut-être valorisable pour servir au développement et au bien-être des peuples».
On peut dire, à la lecture de cet ouvrage dont la parution a été accueillie par l’omerta, selon l’auteur, que le Sénégal, à l’instar du Ghana, a son Drobo II.
Jack Diop est titulaire d’une maîtrise de droit privé, d’une maîtrise de droit des Affaires, option gestion financière et d’un Dea en études africaines. Il est également diplômé d’études supérieures en gestion des entreprises. Ce livre est structuré en 15 chapitres et comprend 240 pages.
Marie Chantal Obindé