Le Président de la République, Sem. Laurent Gbagbo, a achevé, hier, la visite d'Etat qu'il effectue dans la région du Worodougou, depuis le 16 novembre 2009, par un giga meeting au stade Losséni Fofana de Séguéla. Les populations sont sorties très nombreuses pour l'écouter.
Quelle marrée humaine, observée, hier au stade Losséni Fofana. Dans l'histoire de cette région, c'est le deuxième événement qui a pu drainer autant de monde. Le premier grand événement étant la célébration de la fête de l'Indépendance de Côte d'Ivoire, en 1978. Les peuples malinké et sénoufo et leurs alliés ont répondu à l'appel de la République. Ils sont venus de Massala, de Kani, de Djibrosso, de Morondo, de Diarabana et autres grands villages de la région pour venir manifester leur appartenance à la République. Surtout, pour célébrer le retour gagnant de l'Etat dans cette zone sinistrée du fait de la guerre. Le stade Losséni Fofana a été pris d'assaut très tôt par de milliers de personnes. Les deux tribunes dont dispose ce stade ont affiché plein. La pelouse a été entièrement occupée par les populations. En tout cas, les Koyaka, Sénoufo, Koro et les autres communautés ivoiriennes se sont donné rendez-vous sur ce terrain de football, sport roi pour donner un coup d'accélérateur à la paix. Ils sont venus avec tout ce qu'ils possèdent culturellement. Séguéla, carrefour de rencontre des peuples de la savane et de la forêt, ne pouvait pas faillir à cette réalité. Séguéla s'est mobilisé, en dépit de quelques campagnes d'intoxication et de découragement orchestrées par le maire Amadou Soumahoro, pour dire non à l'insubordination contre la république. Le peuple de Séguéla avait cette grande envie de retrouver l'Etat et demander sa part de "gâteau" de développement. Parce que les filles et fils de cette région ont compris que leur salut et celui de leur département sont aux côtés des Institutions de l'Etat. Et par ailleurs, le Président de la République, Sem. Laurent Gbagbo et son premier ministre Guillaume Soro symbolisaient cette nation. Parce qu'ils savent que les visites d'Etat sont aussi le rendez- vous du donner et du recevoir. Le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, leur a apporté la paix et le développement. Occasion pour les populations d'exposer leurs préoccupations à l'aîné social qu'est le Président de la République. Le seul à répondre favorablement à leurs doléances. Et à tenir parole. Ce ne sont pas les populations de Bouandougou, de Kani qui nous diront le contraire. Elles fêtent aujourd'hui, la parole donnée de Laurent Gbagbo lors de son passage dans ces deux localités en 1993. Leur rêve caressé depuis belle lurette est devenu réalité grâce à la vision du chef de l'Etat. Bouandougou et Kani, chefs-lieux de département. En tout cas, Laurent Gbagbo aura apporté le développement et la joie aux populations de trois départements du Worodougou. Les jeunes et les femmes représentaient 80% des populations qui étaient, ce 19 novembre 2009, au stade Losséni Fofana pour communier avec le Président Gbagbo. Lorsque celui prend corps avec la pelouse du stade, c'était époustouflant. Il a été accueilli par des danses et chants. Les femmes trainaient à terre à la vue de Gbagbo, expression qu'elles avaient une grande nostalgie de voir leur Président. Voir et toucher, celui qui aura été durant les moments chauds de la guerre, au centre de tous les débats et conversations dans les foyers et autres " grains ", dans cette région. Que n'a-t-on pas entendu, que n'a-t-on pas raconté sur le compte du Président de la République. Des insanités et des mensonges de tout genre. Ce 19 novembre 2009, était le jour lumineux qui allait définitivement scellé le sort de ces colporteurs des calomnies à l'égard de Laurent Gbagbo. Ce meeting de Séguéla était donc pour une bonne frange de la population, le jour de la vérité et de délivrance des griffes de ces menteurs, ennemis de la paix et de la Côte d'Ivoire. Elles ont été servies par le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. Qui leur a servi la République, la paix et la réunification du pays. Les populations sont reparties désenvoûtées et revêtues de nouveaux habits tissés du seau de la République. Durant quatre jours, Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, véritable tandem de la paix, ont servi cette denrée rare et primordiale à tout développement aux populations du Worodougou. Partout où ils sont passés, les Koyaka, Sénoufo et Malinké ont manifesté leur désir de retrouver l'Etat.
Zéré de Mahi
Envoyé spécial à Séguéla
Quelle marrée humaine, observée, hier au stade Losséni Fofana. Dans l'histoire de cette région, c'est le deuxième événement qui a pu drainer autant de monde. Le premier grand événement étant la célébration de la fête de l'Indépendance de Côte d'Ivoire, en 1978. Les peuples malinké et sénoufo et leurs alliés ont répondu à l'appel de la République. Ils sont venus de Massala, de Kani, de Djibrosso, de Morondo, de Diarabana et autres grands villages de la région pour venir manifester leur appartenance à la République. Surtout, pour célébrer le retour gagnant de l'Etat dans cette zone sinistrée du fait de la guerre. Le stade Losséni Fofana a été pris d'assaut très tôt par de milliers de personnes. Les deux tribunes dont dispose ce stade ont affiché plein. La pelouse a été entièrement occupée par les populations. En tout cas, les Koyaka, Sénoufo, Koro et les autres communautés ivoiriennes se sont donné rendez-vous sur ce terrain de football, sport roi pour donner un coup d'accélérateur à la paix. Ils sont venus avec tout ce qu'ils possèdent culturellement. Séguéla, carrefour de rencontre des peuples de la savane et de la forêt, ne pouvait pas faillir à cette réalité. Séguéla s'est mobilisé, en dépit de quelques campagnes d'intoxication et de découragement orchestrées par le maire Amadou Soumahoro, pour dire non à l'insubordination contre la république. Le peuple de Séguéla avait cette grande envie de retrouver l'Etat et demander sa part de "gâteau" de développement. Parce que les filles et fils de cette région ont compris que leur salut et celui de leur département sont aux côtés des Institutions de l'Etat. Et par ailleurs, le Président de la République, Sem. Laurent Gbagbo et son premier ministre Guillaume Soro symbolisaient cette nation. Parce qu'ils savent que les visites d'Etat sont aussi le rendez- vous du donner et du recevoir. Le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, leur a apporté la paix et le développement. Occasion pour les populations d'exposer leurs préoccupations à l'aîné social qu'est le Président de la République. Le seul à répondre favorablement à leurs doléances. Et à tenir parole. Ce ne sont pas les populations de Bouandougou, de Kani qui nous diront le contraire. Elles fêtent aujourd'hui, la parole donnée de Laurent Gbagbo lors de son passage dans ces deux localités en 1993. Leur rêve caressé depuis belle lurette est devenu réalité grâce à la vision du chef de l'Etat. Bouandougou et Kani, chefs-lieux de département. En tout cas, Laurent Gbagbo aura apporté le développement et la joie aux populations de trois départements du Worodougou. Les jeunes et les femmes représentaient 80% des populations qui étaient, ce 19 novembre 2009, au stade Losséni Fofana pour communier avec le Président Gbagbo. Lorsque celui prend corps avec la pelouse du stade, c'était époustouflant. Il a été accueilli par des danses et chants. Les femmes trainaient à terre à la vue de Gbagbo, expression qu'elles avaient une grande nostalgie de voir leur Président. Voir et toucher, celui qui aura été durant les moments chauds de la guerre, au centre de tous les débats et conversations dans les foyers et autres " grains ", dans cette région. Que n'a-t-on pas entendu, que n'a-t-on pas raconté sur le compte du Président de la République. Des insanités et des mensonges de tout genre. Ce 19 novembre 2009, était le jour lumineux qui allait définitivement scellé le sort de ces colporteurs des calomnies à l'égard de Laurent Gbagbo. Ce meeting de Séguéla était donc pour une bonne frange de la population, le jour de la vérité et de délivrance des griffes de ces menteurs, ennemis de la paix et de la Côte d'Ivoire. Elles ont été servies par le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. Qui leur a servi la République, la paix et la réunification du pays. Les populations sont reparties désenvoûtées et revêtues de nouveaux habits tissés du seau de la République. Durant quatre jours, Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, véritable tandem de la paix, ont servi cette denrée rare et primordiale à tout développement aux populations du Worodougou. Partout où ils sont passés, les Koyaka, Sénoufo et Malinké ont manifesté leur désir de retrouver l'Etat.
Zéré de Mahi
Envoyé spécial à Séguéla
