Cissé Daouda Salif (DDC) : Après quinze ans de lutte, la justice vient de triompher. La validation de la candidature du docteur Alassane Dramane Ouattara vient confirmer que le combat que nous avons mené est juste. Selon un proverbe: ‘’tant que vous n’avez pas arrêté de marcher, le balancement des bras continue’’. Cela veut dire que la lutte que nous avons engagée et dont nous venons de gagner la bataille, doit continuer. Car, il nous reste à gagner la guerre. Nous devons continuer à nous battre pour gagner la guerre qui est la victoire d’Alassane Ouattara à l’élection présidentielle. Dans les villages Agni, c’est la joie. Jamais, je n’ai imaginé une telle liesse populaire.
Béhibro Akissi Rita (Elève au Lycée Saint-Joseph) :
Je ne trouve pas d’inconvénient. Si l’élection d’Alassane Ouattara à la magistrature suprême, peut régler le problème des Ivoiriens, c’est de cela que nous avons besoin. Lorsqu’il est venu à Abengourou, il a promis beaucoup de choses. Par exemple : réaliser une université à Abengourou pour nous éviter d’aller à Abidjan. Ce sera une aubaine pour le Moyen Comoé. Si cela ne tenait qu’à moi, il faut le voter pour l’essayer. Si après cinq ans, il n’a pas tenu ses promesses, on prend quelqu’un d’autre.
Diarra Lansana (RER) :
Je crois que c’est une satisfaction nationale. Surtout que l’opinion nationale et internationale était focalisée sur la candidature d’Alassane Ouattara. En tout cas, cela donne du crédit à la nation ivoirienne. C’est également la preuve que la démocratie est réelle dans notre pays. C’est également une satisfaction, pas seulement pour les militants du RDR, mais pour toute la nation.
Bah Abdoulaye (RJR) :
C’est une joie pour nous militants du RDR. A cet effet, nous tenons à remercier la communauté internationale et tous les hommes épris de justice et d’équité, car notre candidat a beaucoup souffert de cette injustice. Nous félicitons également la CEI et le Conseil constitutionnel et nous osons croire qu’incessamment, nous irons à des élections claires et transparentes pour une sortie de crise réussie.
Moyé Kédjébô Blassonni (Correspondante)
Béhibro Akissi Rita (Elève au Lycée Saint-Joseph) :
Je ne trouve pas d’inconvénient. Si l’élection d’Alassane Ouattara à la magistrature suprême, peut régler le problème des Ivoiriens, c’est de cela que nous avons besoin. Lorsqu’il est venu à Abengourou, il a promis beaucoup de choses. Par exemple : réaliser une université à Abengourou pour nous éviter d’aller à Abidjan. Ce sera une aubaine pour le Moyen Comoé. Si cela ne tenait qu’à moi, il faut le voter pour l’essayer. Si après cinq ans, il n’a pas tenu ses promesses, on prend quelqu’un d’autre.
Diarra Lansana (RER) :
Je crois que c’est une satisfaction nationale. Surtout que l’opinion nationale et internationale était focalisée sur la candidature d’Alassane Ouattara. En tout cas, cela donne du crédit à la nation ivoirienne. C’est également la preuve que la démocratie est réelle dans notre pays. C’est également une satisfaction, pas seulement pour les militants du RDR, mais pour toute la nation.
Bah Abdoulaye (RJR) :
C’est une joie pour nous militants du RDR. A cet effet, nous tenons à remercier la communauté internationale et tous les hommes épris de justice et d’équité, car notre candidat a beaucoup souffert de cette injustice. Nous félicitons également la CEI et le Conseil constitutionnel et nous osons croire qu’incessamment, nous irons à des élections claires et transparentes pour une sortie de crise réussie.
Moyé Kédjébô Blassonni (Correspondante)