La Première Dame de Côte d’Ivoire, Simone Ehivet Gbagbo a inauguré le vendredi 20 novembre 2009, la première agence de la micro-finance CICE (Caisse ivoirienne de crédit et d’épargne) de la ville de Bonoua. Elle s’est exprimée sur l’importance de la micro-finance dans le développement d’un pays.
La Première Dame a salué l’initiative de l’implantation d’une micro-finance dans la ville de Bonoua. A cet effet, l’épouse du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, a sollicité une implication plus accrue du ministère de l’Economie et des Finances dans la promotion de ce type de financement. « Proposez de l’argent aux populations ! Comme ça, les ‘’margouillats’’ vont dormir un peu », a-t-elle dit. Avant de s’ériger en avocate des jeunes qui ploient sous le poids de la pauvreté. C’est pourquoi, dira-t-elle : « Dans notre pays, avant la crise, il y avait le chômage des jeunes. Les banques qui existent ne nous donnent pas encore de satisfaction. Les fondateurs de micro-finance ont fermé leurs portes parce qu’il n’y a pas de financement. La micro-finance et le microcrédit sont une formule incontournable dans notre pays. Il faut soutenir les gens et les jeunes qui ont pris le financement. ‘’Tchoco tchoco abenan gnan’’, ça va réussir ». A l’endroit des jeunes en quête de financement, Simone Ehivet Gbagbo n’a épargné personne. A l’en croire, le développement économique de la Côte d’Ivoire passe par un volontarisme et une culture de l’entreprenariat. «Le développement de notre pays dépend de nous-mêmes. Ce ne sont ni les blancs ni les partenaires au développent mais, c’est nous-mêmes. Pour réussir, il faut des projets pour régler les problèmes de notre société. Les moyens viennent quand il y a un projet sérieux », a conseillé Simone Ehivet Gbagbo à la jeunesse. Fort de cela, la Première Dame a demandé aux jeunes d’arrêter de tendre la main. Pour elle, il faut créer des projets pour régler les problèmes de chômage et d’emplois. Pour clore son propos, Simone Ehivet Gbagbo a donné un véritable enseignement sur les notions de ‘’pauvreté et de richesse’’. « Le pauvre est celui qui n’a pas d’idées, pas de détermination et pas d’intelligence. Parce que si tu as de l’argent que tu te laisses séduire par les femmes, tu deviendras pauvre. Le riche, quant à lui, est celui qui a de la suite dans les idées et qui sait entreprendre », a clarifié la Première Dame. Selon Madame Appia Ehouman Marthe, Dg de la CICE, le challenge de cette structure est de démontrer que la micro-finance peut être un vecteur de développement en Côte d’Ivoire comme c’est le cas dans les pays asiatiques.
K.Patrick
La Première Dame a salué l’initiative de l’implantation d’une micro-finance dans la ville de Bonoua. A cet effet, l’épouse du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, a sollicité une implication plus accrue du ministère de l’Economie et des Finances dans la promotion de ce type de financement. « Proposez de l’argent aux populations ! Comme ça, les ‘’margouillats’’ vont dormir un peu », a-t-elle dit. Avant de s’ériger en avocate des jeunes qui ploient sous le poids de la pauvreté. C’est pourquoi, dira-t-elle : « Dans notre pays, avant la crise, il y avait le chômage des jeunes. Les banques qui existent ne nous donnent pas encore de satisfaction. Les fondateurs de micro-finance ont fermé leurs portes parce qu’il n’y a pas de financement. La micro-finance et le microcrédit sont une formule incontournable dans notre pays. Il faut soutenir les gens et les jeunes qui ont pris le financement. ‘’Tchoco tchoco abenan gnan’’, ça va réussir ». A l’endroit des jeunes en quête de financement, Simone Ehivet Gbagbo n’a épargné personne. A l’en croire, le développement économique de la Côte d’Ivoire passe par un volontarisme et une culture de l’entreprenariat. «Le développement de notre pays dépend de nous-mêmes. Ce ne sont ni les blancs ni les partenaires au développent mais, c’est nous-mêmes. Pour réussir, il faut des projets pour régler les problèmes de notre société. Les moyens viennent quand il y a un projet sérieux », a conseillé Simone Ehivet Gbagbo à la jeunesse. Fort de cela, la Première Dame a demandé aux jeunes d’arrêter de tendre la main. Pour elle, il faut créer des projets pour régler les problèmes de chômage et d’emplois. Pour clore son propos, Simone Ehivet Gbagbo a donné un véritable enseignement sur les notions de ‘’pauvreté et de richesse’’. « Le pauvre est celui qui n’a pas d’idées, pas de détermination et pas d’intelligence. Parce que si tu as de l’argent que tu te laisses séduire par les femmes, tu deviendras pauvre. Le riche, quant à lui, est celui qui a de la suite dans les idées et qui sait entreprendre », a clarifié la Première Dame. Selon Madame Appia Ehouman Marthe, Dg de la CICE, le challenge de cette structure est de démontrer que la micro-finance peut être un vecteur de développement en Côte d’Ivoire comme c’est le cas dans les pays asiatiques.
K.Patrick