C’est depuis l’aéroport de Bucarest (Hongrie) où il a évolué hier en Ligue des champions avec le Fc Séville contre Urziceni que N’Dri Koffi Romaric a accepté de se confier à Nord-Sud Quotidien. Il juge la poule des Eléphants et reste persuadé que pour remporter la Can, ses coéquipiers et lui doivent tout balayer sur leur passage.
Quel est votre sentiment après le tirage au sort de la Can 2010 ?
C’est une poule relevée avec le Burkina Faso, le Ghana et le Togo. Je dirais même qu’elle est difficile. Mais, nous avons les moyens de franchir cet obstacle. Tout dépendra de nous. Si nous évoluons avec nos qualités, nos forces, c’est sûr que nous n’aurons pas de problème. Nous sommes surtout conscients d’une chose : pour gagner la Can, il faudra gagner tous nos matches. Tout gagner…
Vous retrouvez le Burkina Faso…
(Rires) Oui. Et nous commencerons par ce pays. Ce premier match va surtout déterminer la suite. Nous ne devrons pas faire de faux pas. C’est important pour nous de bien commencer.
Comment appréhendez-vous le fait de jouer dans le Cabinda ?
Nous avons intérêt à nous adapter à n’importe quelle situation. Jouer à Lubango, à Luanda ou à Benguela n’a pas d’importance pour nous. Nous connaissons la chanson. Mes coéquipiers et moi devrons nous adapter à toutes sortes de difficultés. La victoire finale passera par là.
Personnellement, vous disputerez votre troisième Coupe d’Afrique des nations. Peut-on affirmer qu’il s’agira de la Can de la maturité ?
Je dirai qu’il s’agira de la Can où nous avons intérêt à remporter le trophée. Assurément, il est grand temps que notre génération gagne quelque chose.
Qu’est-ce qui fera la différence lors de cette 27è édition de la Can en Angola ?
Le groupe devra être uni. Nous sommes conscients que notre palmarès est encore vierge et que pour gagner quelque chose, il nous faut faire des sacrifices. La rigueur et la discipline seront donc très importantes.
Vahid Halilhodzic a-t-il apporté un plus au groupe ?
Oui. Il nous a apporté beaucoup de rigueur. Regardez, cette année, nous n’avons pas perdu de rencontre aussi bien en match amical qu’en match officiel. Avec Vahid Halilhodzic, nous avons désormais un bloc équipe, un équilibre entre les lignes et une organisation de jeu claire. Désormais, nous évoluons beaucoup en équipe. Le collectif prime plus sur l’individualisme comme cela se faisait par le passé. En plus, nous sommes tous prêts à faire les efforts nécessaires sur le terrain.
Regrettez-vous votre absence en Allemagne lors du match amical contre la Mannschaft (2-2) ?
Oui. Je souffrais d’une diarrhée et je n’ai pu voyager avec mes coéquipiers. Certains ont interprété cela autrement. Mais de loin, j’étais de tout cœur avec eux. A présent, il faut songer à effectuer une bonne préparation pour ne pas décevoir les Ivoiriens à la Can.
Disputer la Ligue des champions européenne reste un privilège. Etes-vous surpris par le rythme ?
Je ne suis pas surpris par le niveau. Je prends même du plaisir à disputer cette prestigieuse compétition. J’espère surtout que le Fc Séville ira loin.
Avez-vous des nouvelles d’Arouna Koné ?
Il est auprès de sa fille à Bruxelles… On le soutient. On l’appelle pour avoir des nouvelles. On espère surtout que tout va bien se passer.
Entretien réalisé au téléphone par Guy-Florentin Yaméogo
Quel est votre sentiment après le tirage au sort de la Can 2010 ?
C’est une poule relevée avec le Burkina Faso, le Ghana et le Togo. Je dirais même qu’elle est difficile. Mais, nous avons les moyens de franchir cet obstacle. Tout dépendra de nous. Si nous évoluons avec nos qualités, nos forces, c’est sûr que nous n’aurons pas de problème. Nous sommes surtout conscients d’une chose : pour gagner la Can, il faudra gagner tous nos matches. Tout gagner…
Vous retrouvez le Burkina Faso…
(Rires) Oui. Et nous commencerons par ce pays. Ce premier match va surtout déterminer la suite. Nous ne devrons pas faire de faux pas. C’est important pour nous de bien commencer.
Comment appréhendez-vous le fait de jouer dans le Cabinda ?
Nous avons intérêt à nous adapter à n’importe quelle situation. Jouer à Lubango, à Luanda ou à Benguela n’a pas d’importance pour nous. Nous connaissons la chanson. Mes coéquipiers et moi devrons nous adapter à toutes sortes de difficultés. La victoire finale passera par là.
Personnellement, vous disputerez votre troisième Coupe d’Afrique des nations. Peut-on affirmer qu’il s’agira de la Can de la maturité ?
Je dirai qu’il s’agira de la Can où nous avons intérêt à remporter le trophée. Assurément, il est grand temps que notre génération gagne quelque chose.
Qu’est-ce qui fera la différence lors de cette 27è édition de la Can en Angola ?
Le groupe devra être uni. Nous sommes conscients que notre palmarès est encore vierge et que pour gagner quelque chose, il nous faut faire des sacrifices. La rigueur et la discipline seront donc très importantes.
Vahid Halilhodzic a-t-il apporté un plus au groupe ?
Oui. Il nous a apporté beaucoup de rigueur. Regardez, cette année, nous n’avons pas perdu de rencontre aussi bien en match amical qu’en match officiel. Avec Vahid Halilhodzic, nous avons désormais un bloc équipe, un équilibre entre les lignes et une organisation de jeu claire. Désormais, nous évoluons beaucoup en équipe. Le collectif prime plus sur l’individualisme comme cela se faisait par le passé. En plus, nous sommes tous prêts à faire les efforts nécessaires sur le terrain.
Regrettez-vous votre absence en Allemagne lors du match amical contre la Mannschaft (2-2) ?
Oui. Je souffrais d’une diarrhée et je n’ai pu voyager avec mes coéquipiers. Certains ont interprété cela autrement. Mais de loin, j’étais de tout cœur avec eux. A présent, il faut songer à effectuer une bonne préparation pour ne pas décevoir les Ivoiriens à la Can.
Disputer la Ligue des champions européenne reste un privilège. Etes-vous surpris par le rythme ?
Je ne suis pas surpris par le niveau. Je prends même du plaisir à disputer cette prestigieuse compétition. J’espère surtout que le Fc Séville ira loin.
Avez-vous des nouvelles d’Arouna Koné ?
Il est auprès de sa fille à Bruxelles… On le soutient. On l’appelle pour avoir des nouvelles. On espère surtout que tout va bien se passer.
Entretien réalisé au téléphone par Guy-Florentin Yaméogo