A 48 heures de l’arrivée d’ADO à Grand-Lahou et à Dabou, nous avons interrogé le ministre Vincent Lohoues, Directeur régional de campagne d’Alassane Dramane Ouattara. C’était le samedi dernier à Dabou. Il nous fait ici le point des préparatifs.
LP: Monsieur le ministre, à quelques heures de l’arrivée d’ADO, où en êtes vous avec les préparatifs?
Vincent Lohoues: Merci d’être venu jusqu’à nous. Au niveau des préparatifs, je peux dire que tout se passe très bien. Nous attendons faire une grande fête pour honorer à la fois un homme d’Etat exceptionnel et un fils de la région des Lagunes. Fils de la région des Lagune parce que, Alassane Dramane Ouattara, né de père Dramane Ouattara qui a pris femme dans la région de Dabou, a pris pays chez nous. Parce qu’on dit qui prend femme a pris pays, donc Dramane Ouattara, le père d’Alassane a pris pays dans le Leboutou, en choisissant comme épouse, une native de Kossrou avec qui il a eu un fils qui s’appelle Youssouf Ouattara et qui vit encore à Kossrou.
LP. Monsieur le ministre, comment est ce que les populations attendent l’évènement?
VL: Les populations attendent cet évènement avec beaucoup d’espoir. Espoir de retrouver une nouvelle Côte d’Ivoire. Espoir de relancer l’économie nationale qui, par ricochet va entraîner un développement au bénéfice de tous. Comme vous le savez, la devise du RDR, c’est le «Vivre ensemble». Ce slogan ne doit pas être un vain mot, il doit être un comportement de tous les jours. Alassane veut rassembler les Ivoiriens. Il veut réconcilier les Ivoiriens entre eux-mêmes. Il veut enclencher le développement de la Côte d’Ivoire au profit de tous.
LP: Croyez-vous en l’homme?
VL: Je crois en lui. Sinon je ne serais pas avec lui. Depuis des années, je suis avec Alassane, d’abord parce que nous étions jeunes ici à Dabou et puis ensuite, il est revenu comme Premier ministre. J’ai apprécié la qualité de sa gestion des affaires d’Etat. On l’a souvent considéré tantôt comme un Burkinabé, un Mossi, tantôt comme un Américain tout simplement on dit qu’il est américain parce qu’il met de la rigueur dans ce qu’il fait. Mais aujourd’hui, tout le monde est convaincu que c’est un Ivoirien pur sang, de père et de mère. Alassane, c’est notre frère. C’est vrai, on ne choisit pas ses parents mais on choisit parfois ses amis. Moi, c’est un ami à moi. Aujourd’hui, nous avons dépassé ce stade de l’amitié pour devenir aujourd’hui frères. Alassane et moi, nous sommes des frères.
LP. Monsieur le ministre, on nous a dit que le meeting aura lieu au stade de la ville. Un défi, n’est-ce- pas? Pouvez vous faire le plein?
VL: On l’a déjà fait en 99. Aujourd’hui en 2009, nous sommes prêts à rééditer cet exploit. Nous allons faire une démonstration. Nous, nous voulons nous comparer à Bouaké, à Man. Voilà notre objectif. Alassane va avoir une belle fête ici. Les Adjoukrou se préparent à l’accueillir en vrai fils de la région du Leboutou.
Thiery Latt
LP: Monsieur le ministre, à quelques heures de l’arrivée d’ADO, où en êtes vous avec les préparatifs?
Vincent Lohoues: Merci d’être venu jusqu’à nous. Au niveau des préparatifs, je peux dire que tout se passe très bien. Nous attendons faire une grande fête pour honorer à la fois un homme d’Etat exceptionnel et un fils de la région des Lagunes. Fils de la région des Lagune parce que, Alassane Dramane Ouattara, né de père Dramane Ouattara qui a pris femme dans la région de Dabou, a pris pays chez nous. Parce qu’on dit qui prend femme a pris pays, donc Dramane Ouattara, le père d’Alassane a pris pays dans le Leboutou, en choisissant comme épouse, une native de Kossrou avec qui il a eu un fils qui s’appelle Youssouf Ouattara et qui vit encore à Kossrou.
LP. Monsieur le ministre, comment est ce que les populations attendent l’évènement?
VL: Les populations attendent cet évènement avec beaucoup d’espoir. Espoir de retrouver une nouvelle Côte d’Ivoire. Espoir de relancer l’économie nationale qui, par ricochet va entraîner un développement au bénéfice de tous. Comme vous le savez, la devise du RDR, c’est le «Vivre ensemble». Ce slogan ne doit pas être un vain mot, il doit être un comportement de tous les jours. Alassane veut rassembler les Ivoiriens. Il veut réconcilier les Ivoiriens entre eux-mêmes. Il veut enclencher le développement de la Côte d’Ivoire au profit de tous.
LP: Croyez-vous en l’homme?
VL: Je crois en lui. Sinon je ne serais pas avec lui. Depuis des années, je suis avec Alassane, d’abord parce que nous étions jeunes ici à Dabou et puis ensuite, il est revenu comme Premier ministre. J’ai apprécié la qualité de sa gestion des affaires d’Etat. On l’a souvent considéré tantôt comme un Burkinabé, un Mossi, tantôt comme un Américain tout simplement on dit qu’il est américain parce qu’il met de la rigueur dans ce qu’il fait. Mais aujourd’hui, tout le monde est convaincu que c’est un Ivoirien pur sang, de père et de mère. Alassane, c’est notre frère. C’est vrai, on ne choisit pas ses parents mais on choisit parfois ses amis. Moi, c’est un ami à moi. Aujourd’hui, nous avons dépassé ce stade de l’amitié pour devenir aujourd’hui frères. Alassane et moi, nous sommes des frères.
LP. Monsieur le ministre, on nous a dit que le meeting aura lieu au stade de la ville. Un défi, n’est-ce- pas? Pouvez vous faire le plein?
VL: On l’a déjà fait en 99. Aujourd’hui en 2009, nous sommes prêts à rééditer cet exploit. Nous allons faire une démonstration. Nous, nous voulons nous comparer à Bouaké, à Man. Voilà notre objectif. Alassane va avoir une belle fête ici. Les Adjoukrou se préparent à l’accueillir en vrai fils de la région du Leboutou.
Thiery Latt
