Après son sacre comme meilleur journaliste de Côte d’Ivoire, Jean-Roche Kouamé a été fêté, hier, par les siens. Ses collègues de L’Expression, mais aussi toute la famille de la presse nationale lui ont rendu hommage au Cercle du rail au Plateau.
Heureux qui, comme Jean-Roche Kouamé, reçoit les honneurs de ses pairs après son sacre lors de la 12ème Nuit de la Communication / Soirée des Ebony le 14 novembre comme meilleur journaliste de Côte d’Ivoire. Ils étaient tous là, hier, au Cercle du rail au Plateau, des plus illustres aux plus modestes, pour prendre part à cette fête offerte par la rédaction de L’Expression. Ibrahim Sy Savané, ministre de la Communication, l’ancien ministre Anaky Kobena, président du Mouvement des forces d’avenir(Mfa), Eugène Dié Kacou, président du Conseil national de la presse, N’Guilissi François, vice-président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), Criwa Zéli, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Mohamed Salamé, chairman de Comium Koz’, Hien Solo, tous les membres de la grande famille de la presse, pour donner plus d’éclat et de solennité à cette manifestation. Devant des convives triés sur le volet, la présidente du comité d’organisation a planté le décor de ce rassemblement et en a rappelé les raisons, même si elles étaient déjà sues par la plupart des invités. « Nous sommes ici pour célébrer Jean-Roche Kouamé, Ebony Presse Ecrite et Super Ebony », a-t-elle assuré. Avant de déclarer, un brin émue, que cette performance, qui intervient « après seulement quatre mois d’existence, (…) mérite d’être fêtée ». Une fête à laquelle les invités se sont donné à cœur joie. Dans une ambiance des plus conviviales, rehaussée par des prestations d’artistes et dont la touche humoristique a été apportée par Djimy Danger, Jean-Roche Kouamé, le Super Ebony, l’homme du jour a goûté aux joies, belles et pleines qui découlent de la reconnaissance du travail bien fait. Il n’a d’ailleurs pas manqué de traduire toute sa « gratitude aux membres de l’Unjci et aux membres du jury » qui ont porté sur sa personne « cette reconnaissance exceptionnelle ». Il dira à ce sujet que « ces prestigieux Prix sont (…) pour la jeune équipe de L’Expression, un appel à plus de persévérance ». Pour lui, ces Prix, loin de constituer une fin en soi, portent un message fort : la perpétuelle remise en cause pour produire encore et toujours des travaux de qualité. Ce à quoi le directeur de publication de L’Expression, Dembélé Al Séni répondra à l’unisson : « la tentation est grande de croire en la consécration. Les hommes et les femmes de cette entreprise, qui ont la tête sur les épaules, savent cependant qu’il n’en est rien. Ces Prix constituent une lourde responsabilité pour le groupe qui n’a plus droit à l’erreur. De ce point de vue, les trophées sont un appel à davantage de professionnalisme pour un travail de qualité et d’excellence ». Le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, parrain de la cérémonie, a relevé les grandes qualités professionnelles et humaines du Super Ebony. « Je connais Jean-Roche Kouamé, je connais son humilité. Le plus important, c’est le regard des autres, mais aussi la volonté d’avancer », lui dira-t-il. Ce rassemblement de journalistes a été saisi par le premier responsable de la communication en Côte d’Ivoire pour appeler les journalistes à travailler davantage pour assurer la bonne santé des entreprises de presse, « étant entendu qu’aucune reforme structurelle ne peut faire avancer une mauvaise entreprise de presse ». L’occasion était alors belle pour lui d’inviter les journalistes au respect de l’éthique et de la déontologie qui fondent leur métier. « L’éthique et la déontologie s’imposent à tous », a-t-il conclu, non sans prononcer des vœux de succès à l’endroit de L’Expression.
M’Bah Aboubakar
Heureux qui, comme Jean-Roche Kouamé, reçoit les honneurs de ses pairs après son sacre lors de la 12ème Nuit de la Communication / Soirée des Ebony le 14 novembre comme meilleur journaliste de Côte d’Ivoire. Ils étaient tous là, hier, au Cercle du rail au Plateau, des plus illustres aux plus modestes, pour prendre part à cette fête offerte par la rédaction de L’Expression. Ibrahim Sy Savané, ministre de la Communication, l’ancien ministre Anaky Kobena, président du Mouvement des forces d’avenir(Mfa), Eugène Dié Kacou, président du Conseil national de la presse, N’Guilissi François, vice-président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), Criwa Zéli, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Mohamed Salamé, chairman de Comium Koz’, Hien Solo, tous les membres de la grande famille de la presse, pour donner plus d’éclat et de solennité à cette manifestation. Devant des convives triés sur le volet, la présidente du comité d’organisation a planté le décor de ce rassemblement et en a rappelé les raisons, même si elles étaient déjà sues par la plupart des invités. « Nous sommes ici pour célébrer Jean-Roche Kouamé, Ebony Presse Ecrite et Super Ebony », a-t-elle assuré. Avant de déclarer, un brin émue, que cette performance, qui intervient « après seulement quatre mois d’existence, (…) mérite d’être fêtée ». Une fête à laquelle les invités se sont donné à cœur joie. Dans une ambiance des plus conviviales, rehaussée par des prestations d’artistes et dont la touche humoristique a été apportée par Djimy Danger, Jean-Roche Kouamé, le Super Ebony, l’homme du jour a goûté aux joies, belles et pleines qui découlent de la reconnaissance du travail bien fait. Il n’a d’ailleurs pas manqué de traduire toute sa « gratitude aux membres de l’Unjci et aux membres du jury » qui ont porté sur sa personne « cette reconnaissance exceptionnelle ». Il dira à ce sujet que « ces prestigieux Prix sont (…) pour la jeune équipe de L’Expression, un appel à plus de persévérance ». Pour lui, ces Prix, loin de constituer une fin en soi, portent un message fort : la perpétuelle remise en cause pour produire encore et toujours des travaux de qualité. Ce à quoi le directeur de publication de L’Expression, Dembélé Al Séni répondra à l’unisson : « la tentation est grande de croire en la consécration. Les hommes et les femmes de cette entreprise, qui ont la tête sur les épaules, savent cependant qu’il n’en est rien. Ces Prix constituent une lourde responsabilité pour le groupe qui n’a plus droit à l’erreur. De ce point de vue, les trophées sont un appel à davantage de professionnalisme pour un travail de qualité et d’excellence ». Le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, parrain de la cérémonie, a relevé les grandes qualités professionnelles et humaines du Super Ebony. « Je connais Jean-Roche Kouamé, je connais son humilité. Le plus important, c’est le regard des autres, mais aussi la volonté d’avancer », lui dira-t-il. Ce rassemblement de journalistes a été saisi par le premier responsable de la communication en Côte d’Ivoire pour appeler les journalistes à travailler davantage pour assurer la bonne santé des entreprises de presse, « étant entendu qu’aucune reforme structurelle ne peut faire avancer une mauvaise entreprise de presse ». L’occasion était alors belle pour lui d’inviter les journalistes au respect de l’éthique et de la déontologie qui fondent leur métier. « L’éthique et la déontologie s’imposent à tous », a-t-il conclu, non sans prononcer des vœux de succès à l’endroit de L’Expression.
M’Bah Aboubakar
