Trois interventions bien inspirées. Malisha Noufé Loukou Jeannot et Franck Djéni ont successivement, de façon claire et précise, exposé les angoisses et difficiles auxquelles sont confrontés les jeunes Ivoiriens depuis l’avènement du FPI au pouvoir, il y a de cela près d’une décennie. C’était le samedi dernier au stade Seny Fofana de Port-Bouët, à l’occasion de la cérémonie d’investiture du mouvement « ADO boys and girls ».
Pour Malisha Noufé, secrétaire général du mouvement des jeunes filles « choco », l’heure est grave. En effet, déplore-t-elle, depuis qu’il est au pouvoir, le FPI ne cesse de faire la promotion de la médiocrité et du gain facile pour la jeunesse, surtout féminine. «Avec Gbagbo et son parti, le seul métier certain pour les jeunes filles et bien sûr la prostitution. Aujourd’hui, le régime FPI a amené les jeunes filles à penser que c’est quand on est belle qu’on gagne du travail et de l’argent », a amèrement dénoncé Mlle Noufé. Abondant dans le même sens, le président des élèves et étudiants de Marcory, Loukou Jeannot, lui n’a pas manqué à plusieurs reprises de prendre au mot l’actuel locataire du palais présidentiel du Plateau. «Que n’a-t-on pas entendu lorsque Laurent Gbagbo et ses camarades étaient dans l’opposition ? Mais aujourd’hui, qu’ont-ils fait ? Rien du tout, à part conduire la Côte d’Ivoire dans le désastre et les Ivoiriens dans une souffrance catastrophique », n’a cessé de regretter le jeune Loukou Jeannot. Quant à Franck Djéni, en bon héritier de son père, feu Georges Djéni Kobina, fondateur et premier secrétaire général du RDR, il a relevé la volonté et la détermination de la jeunesse ivoirienne à mettre fin à la spirale de la médiocrité qu’incarne, selon lui, le régime de la refondation.
Pour tous ces jeunes, point besoin pour la jeunesse ivoirienne de se laisser aller dans le désespoir. «Jeunes de Côte d’Ivoire, nous avons encore un espoir, c’est le Dr Alassane Dramane Ouattara », ont-ils lancé. Selon eux, le candidat du RDR a la prochaine élection présidentielle présente le meilleur profil pour sortir la Côte d’Ivoire de la situation actuelle. «Hier, en 1990, c’est notre sage, feu Félix Houphouët Boigny qui appelait ADO à venir nous sauver. Aujourd’hui, c’est nous, la jeunesse, qui t’appelons au secours. Tonton Alassane, pardon viens nous sauver, viens remettre ton pays sur le chemin du développement et du progrès », ont longuement insisté Malisha Noufé, Loukou Jeannot et Franck Djéni.
Diawara Samou
Pour Malisha Noufé, secrétaire général du mouvement des jeunes filles « choco », l’heure est grave. En effet, déplore-t-elle, depuis qu’il est au pouvoir, le FPI ne cesse de faire la promotion de la médiocrité et du gain facile pour la jeunesse, surtout féminine. «Avec Gbagbo et son parti, le seul métier certain pour les jeunes filles et bien sûr la prostitution. Aujourd’hui, le régime FPI a amené les jeunes filles à penser que c’est quand on est belle qu’on gagne du travail et de l’argent », a amèrement dénoncé Mlle Noufé. Abondant dans le même sens, le président des élèves et étudiants de Marcory, Loukou Jeannot, lui n’a pas manqué à plusieurs reprises de prendre au mot l’actuel locataire du palais présidentiel du Plateau. «Que n’a-t-on pas entendu lorsque Laurent Gbagbo et ses camarades étaient dans l’opposition ? Mais aujourd’hui, qu’ont-ils fait ? Rien du tout, à part conduire la Côte d’Ivoire dans le désastre et les Ivoiriens dans une souffrance catastrophique », n’a cessé de regretter le jeune Loukou Jeannot. Quant à Franck Djéni, en bon héritier de son père, feu Georges Djéni Kobina, fondateur et premier secrétaire général du RDR, il a relevé la volonté et la détermination de la jeunesse ivoirienne à mettre fin à la spirale de la médiocrité qu’incarne, selon lui, le régime de la refondation.
Pour tous ces jeunes, point besoin pour la jeunesse ivoirienne de se laisser aller dans le désespoir. «Jeunes de Côte d’Ivoire, nous avons encore un espoir, c’est le Dr Alassane Dramane Ouattara », ont-ils lancé. Selon eux, le candidat du RDR a la prochaine élection présidentielle présente le meilleur profil pour sortir la Côte d’Ivoire de la situation actuelle. «Hier, en 1990, c’est notre sage, feu Félix Houphouët Boigny qui appelait ADO à venir nous sauver. Aujourd’hui, c’est nous, la jeunesse, qui t’appelons au secours. Tonton Alassane, pardon viens nous sauver, viens remettre ton pays sur le chemin du développement et du progrès », ont longuement insisté Malisha Noufé, Loukou Jeannot et Franck Djéni.
Diawara Samou