Presseburnie - Le directeur de la division de l’Ethique des sciences et des technologies à l’UNESCO (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) Henk ten Have et le président du Comité Consultatif National de Bioéthique (Ccnb) de la République de Côte d’Ivoire, le professeur Lazare Poamé, ont signé le 4 décembre 2009, dans la salle des plénières du Conseil économique et social au Plateau (Abidjan), un protocole d’accord pour une assistance technique et financière durable. Cet atelier est était placé sous le haut patronage du président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo, sous le parrainage du Président du Conseil économique et social, Augustin Laurent Dona Fologo et sous la présidence du ministre de l’éducation nationale, président de la Commission nationale ivoirienne pour l’Unesco, Gilbert Bleu Lainé.
Cette signature fait suite au premier atelier d’assistance aux comités de bioéthique organisé du 2 au 3 décembre 2009 au Golf Hôtel d’Abidjan. Cette rencontre didactique a enregistrée la présence de nombreux experts ivoiriens et ceux venus d’ailleurs. Il s’agit des Professeurs Christophe Dikenou, Université de Lomé, consultant Bureau de l’Unesco à Dakar (Sénégal), Henk ten Have Division de l’éthique des sciences et des technologies, Unesco Paris(France), Béatrice Godard, Université de Montréal (Canada), du Dr. Marie-Geneviève Pinsart, Université Libre de Bruxelles (Belgique). Avec eux, les présidents de comité de bioéthique de la Guinée du Gabon, Mali.
Cette formation est en effet, la première du genre organisée en Côte d’ivoire. Elle devrait s’imposer partout où se créent des comités de bioéthique et cela conformément aux textes internationaux de l’Unesco dont l’esprit structure le projet ACB (Assistance aux comités de bioéthique) initié par l’Unesco pour soutenir les Etats membres, souligne la note de presse du Ccnb. Certes, chaque comité doit pouvoir élaborer ses propres méthodes de travail et procédures. Les expériences pratiques et les meilleurs usages des comités ayant acquis de l’expérience peuvent faire l’objet de partages et de débats, de façon à ce que les comités récemment établis puissent apprendre des succès et des échecs des autres comités. C’est ce qui a justifié la tenue de cet atelier.
Il avait pour objectif de clarifier le rôle et la mission du comité. Développer des méthodes de travail claires. Elaborer des règles de procédure. Développer des méthodes pour l’élaboration des comptes-rendus, développer des méthodes pour l’information du public et développer des méthodes pour établir un réseau.
Notons qu’avant la signature du protocole d’accord entre l’Unesco et la Côte d’Ivoire, le 4 décembre 2009, le professeur Lazare Poamé, président du Ccnb a exprimé ses remerciements aux membres du comité consultatif national de bioéthique de Côte d’Ivoire, aux invités, à ses collègues de l’Université de Bouaké et de Cocody, et aux étudiants.
Il a noté que l’UNESCO depuis quelques années, a manifesté un intérêt particulier pour la Côte d’Ivoire au point d’envoyer une mission spéciale en 2008 pour apporter à la Côte d’Ivoire, un appui spécial post-conflit, un appui à la fois technique et financier qui a été évalué. Depuis cette date, l’UNESCO se fait très présente en Côte d’Ivoire pour nous apporter son soutien. Il n’a pas manqué de rappeler à cet effet, les nombreux ateliers qui se sont déroulés en Côte d’Ivoire.
Il a noté que cette assistance technique de l’UNESCO a des retombées économiques, financiers énormes. ‘’C’est pourquoi, je me plais souvent à dire que l’assistance technique de l’Unesco est à la fois symbolique et hyperbolique pour ses effets financiers. Qu’est-ce à dire ? Le symbolique, c’est que l’aide financière qu’apporte l’Unesco n’est pas énorme, parce que l’Unesco n’est pas comme une banque. Mais en même temps, lorsque vous avez la caution morale de l’Unesco, toutes les banques s’ouvrent, c’est là l’hyperbole. Nous voilà donc à une période importante, déterminante de notre histoire. L’histoire de la Côte d’Ivoire, l’histoire de nos relations avec cette organisation prestigieuse, l’Unesco(…) Nous sommes tout à fait heureux et fiers de voir l’Unesco venir en Côte d’Ivoire signer ce protocole, qui sera le premier du genre dans ce pays. Avec une formation que nous avons reçue et dont les membres du comité sont fiers. Ils voudraient par ma voix vous donner la garantie qu’il sauront faire fructifier ce savoir acquis en peu de temps pour rendre le comité plus opérationnel, plus efficace, plus performante’’ a indiqué le Professeur Lazare Poamé. Il a présenté à cette occasion ses hommages au Président du Conseil économique et social représenté par Touré Vacaba, qui a accepté d’accorder son parrainage à cet atelier. ‘’ Nous lui disons merci pour non seulement l’intérêt qu’il porte à la bioéthique, mais au comité consultatif national qu’il a déjà reçu à plusieurs reprises’’. Il a également remercié le président de l’Université de Bouaké, le professeur Komenan Aka Landry qui, depuis plus de 5 ans au moins à toujours déployé les efforts requis pour pouvoir répondre à l’appel du Ccnb.
Il a signifié à l’endroit de Henk ten have que la signature de ce protocole est le fruit du dynamisme qu’il a voulu impulsé à cette organisation, pour réveiller un peu l’Afrique, faire en sorte que l’Afrique puisse se faire valoir à partir d’une dimension qui est la plus valorisante dans les activités de l’humanité, c’est-à-dire l’éthique. Il a ajouté que le très dynamique, le professeur Christophe Dikenou a, à partir de Dakar insufflé à l’Afrique toute la dynamique bioéthicienne qui fut qu’aujourd’hui, des comités surgissent, des experts se forment à l’éthique et en bioéthique. Henk ten Have a déclaré pour sa part que : ‘’Le comité a trouvé une base efficace pour développer ses activités, pour le bien du pays. J’espère que le comité va nous démontrer à tous son utilité non seulement pour les décideurs politiques, le gouvernement dans le domaine de l’éthique, des sciences et des technologies, mais aussi, pour les scientifiques, les étudiants pour les populations. J’espère que le protocole d’accord sera le début d’une longue collaboration entre la Côte d’Ivoire et l’Unesco dans le domaine de la bioéthique’’. Le Président de l’Université de Bouaké, le professeur Komenan Aka Landry a remercié les experts pour leur apport surtout que les Universités sont inscrites en ce moment dans la perspective du nouveau système LMD.
P.K
Cette signature fait suite au premier atelier d’assistance aux comités de bioéthique organisé du 2 au 3 décembre 2009 au Golf Hôtel d’Abidjan. Cette rencontre didactique a enregistrée la présence de nombreux experts ivoiriens et ceux venus d’ailleurs. Il s’agit des Professeurs Christophe Dikenou, Université de Lomé, consultant Bureau de l’Unesco à Dakar (Sénégal), Henk ten Have Division de l’éthique des sciences et des technologies, Unesco Paris(France), Béatrice Godard, Université de Montréal (Canada), du Dr. Marie-Geneviève Pinsart, Université Libre de Bruxelles (Belgique). Avec eux, les présidents de comité de bioéthique de la Guinée du Gabon, Mali.
Cette formation est en effet, la première du genre organisée en Côte d’ivoire. Elle devrait s’imposer partout où se créent des comités de bioéthique et cela conformément aux textes internationaux de l’Unesco dont l’esprit structure le projet ACB (Assistance aux comités de bioéthique) initié par l’Unesco pour soutenir les Etats membres, souligne la note de presse du Ccnb. Certes, chaque comité doit pouvoir élaborer ses propres méthodes de travail et procédures. Les expériences pratiques et les meilleurs usages des comités ayant acquis de l’expérience peuvent faire l’objet de partages et de débats, de façon à ce que les comités récemment établis puissent apprendre des succès et des échecs des autres comités. C’est ce qui a justifié la tenue de cet atelier.
Il avait pour objectif de clarifier le rôle et la mission du comité. Développer des méthodes de travail claires. Elaborer des règles de procédure. Développer des méthodes pour l’élaboration des comptes-rendus, développer des méthodes pour l’information du public et développer des méthodes pour établir un réseau.
Notons qu’avant la signature du protocole d’accord entre l’Unesco et la Côte d’Ivoire, le 4 décembre 2009, le professeur Lazare Poamé, président du Ccnb a exprimé ses remerciements aux membres du comité consultatif national de bioéthique de Côte d’Ivoire, aux invités, à ses collègues de l’Université de Bouaké et de Cocody, et aux étudiants.
Il a noté que l’UNESCO depuis quelques années, a manifesté un intérêt particulier pour la Côte d’Ivoire au point d’envoyer une mission spéciale en 2008 pour apporter à la Côte d’Ivoire, un appui spécial post-conflit, un appui à la fois technique et financier qui a été évalué. Depuis cette date, l’UNESCO se fait très présente en Côte d’Ivoire pour nous apporter son soutien. Il n’a pas manqué de rappeler à cet effet, les nombreux ateliers qui se sont déroulés en Côte d’Ivoire.
Il a noté que cette assistance technique de l’UNESCO a des retombées économiques, financiers énormes. ‘’C’est pourquoi, je me plais souvent à dire que l’assistance technique de l’Unesco est à la fois symbolique et hyperbolique pour ses effets financiers. Qu’est-ce à dire ? Le symbolique, c’est que l’aide financière qu’apporte l’Unesco n’est pas énorme, parce que l’Unesco n’est pas comme une banque. Mais en même temps, lorsque vous avez la caution morale de l’Unesco, toutes les banques s’ouvrent, c’est là l’hyperbole. Nous voilà donc à une période importante, déterminante de notre histoire. L’histoire de la Côte d’Ivoire, l’histoire de nos relations avec cette organisation prestigieuse, l’Unesco(…) Nous sommes tout à fait heureux et fiers de voir l’Unesco venir en Côte d’Ivoire signer ce protocole, qui sera le premier du genre dans ce pays. Avec une formation que nous avons reçue et dont les membres du comité sont fiers. Ils voudraient par ma voix vous donner la garantie qu’il sauront faire fructifier ce savoir acquis en peu de temps pour rendre le comité plus opérationnel, plus efficace, plus performante’’ a indiqué le Professeur Lazare Poamé. Il a présenté à cette occasion ses hommages au Président du Conseil économique et social représenté par Touré Vacaba, qui a accepté d’accorder son parrainage à cet atelier. ‘’ Nous lui disons merci pour non seulement l’intérêt qu’il porte à la bioéthique, mais au comité consultatif national qu’il a déjà reçu à plusieurs reprises’’. Il a également remercié le président de l’Université de Bouaké, le professeur Komenan Aka Landry qui, depuis plus de 5 ans au moins à toujours déployé les efforts requis pour pouvoir répondre à l’appel du Ccnb.
Il a signifié à l’endroit de Henk ten have que la signature de ce protocole est le fruit du dynamisme qu’il a voulu impulsé à cette organisation, pour réveiller un peu l’Afrique, faire en sorte que l’Afrique puisse se faire valoir à partir d’une dimension qui est la plus valorisante dans les activités de l’humanité, c’est-à-dire l’éthique. Il a ajouté que le très dynamique, le professeur Christophe Dikenou a, à partir de Dakar insufflé à l’Afrique toute la dynamique bioéthicienne qui fut qu’aujourd’hui, des comités surgissent, des experts se forment à l’éthique et en bioéthique. Henk ten Have a déclaré pour sa part que : ‘’Le comité a trouvé une base efficace pour développer ses activités, pour le bien du pays. J’espère que le comité va nous démontrer à tous son utilité non seulement pour les décideurs politiques, le gouvernement dans le domaine de l’éthique, des sciences et des technologies, mais aussi, pour les scientifiques, les étudiants pour les populations. J’espère que le protocole d’accord sera le début d’une longue collaboration entre la Côte d’Ivoire et l’Unesco dans le domaine de la bioéthique’’. Le Président de l’Université de Bouaké, le professeur Komenan Aka Landry a remercié les experts pour leur apport surtout que les Universités sont inscrites en ce moment dans la perspective du nouveau système LMD.
P.K