Excellence, vous avez souligné que la France était loin d'être absente de la Côte d'Ivoire. Elle vient de le signifier de façon spectaculaire. Pouvez-vous nous en dire davantage ?
Nous avons un sentiment d'amitié très fort à l'égard de la Côte d'Ivoire. Un pays secoué par une longue période de crise et qu'il est en train de faire des efforts pour en sortir. Je crois qu'il était indispensable pour nous de marquer notre solidarité et notre attachement à ce pays en l'aidant à résoudre ses problèmes financiers, économiques et en lui permettant de se consacrer davantage à son développement. C'est vrai qu'en dépit de la crise, de nombreuses entreprises françaises sont demeurées présentes et en compte près de 700 en Côte d'Ivoire. Il y en a parmi les plus importantes comme de plus petites qui ont travaillé. C'est un tissu qui est resté vivace et qui a travaillé, donner de l'emploi, gagner de l'argent et payer des impôts. Donc, qui ont participé au développement de la Côte d'Ivoire. Il faut croire que demain, quand le pays sera sorti définitivement de la crise, ça sera un encouragement, pour de nouveaux des investissements et nous aurons avec l'annulation de la dette, qui s'annonce au moment du point d'achèvement, dans un an à dix-huit mois, nous aurons des possibilités de signer de gros contrats de désendettement. Donc, nous aurons à nous engager dans des projets pour des montants très importants. Le ministre des Finances a évoqué des projets de lutte contre la pauvreté et des infrastructures. Ce sont des pistes importantes sur lesquelles nous pouvons commencer à travailler.
Nous avons besoin de savoir un petit peu plus sur la notion de désendettement et de développement ?
Le créancier annule la dette d'un pays et en compensation de cette annulation, le pays bénéficiaire réalise un certain nombre de projets. C'est-à-dire qu'au lieu de rembourser sa dette, les sommes consacrées sont réservées à la mise en œuvre d'un projet de développement, d'informations, d'infrastructures socio-éducatives choisi de commun accord.
Ce contrat commence quand ?
Il sera signé quand la Côte d'Ivoire atteindra le Point d'Achèvement. C'est-à-dire d'ici 18 mois, je parle sous le contrôle du ministre de l'Economie et des Finances.
Propos recueillis par B.M.
Nous avons un sentiment d'amitié très fort à l'égard de la Côte d'Ivoire. Un pays secoué par une longue période de crise et qu'il est en train de faire des efforts pour en sortir. Je crois qu'il était indispensable pour nous de marquer notre solidarité et notre attachement à ce pays en l'aidant à résoudre ses problèmes financiers, économiques et en lui permettant de se consacrer davantage à son développement. C'est vrai qu'en dépit de la crise, de nombreuses entreprises françaises sont demeurées présentes et en compte près de 700 en Côte d'Ivoire. Il y en a parmi les plus importantes comme de plus petites qui ont travaillé. C'est un tissu qui est resté vivace et qui a travaillé, donner de l'emploi, gagner de l'argent et payer des impôts. Donc, qui ont participé au développement de la Côte d'Ivoire. Il faut croire que demain, quand le pays sera sorti définitivement de la crise, ça sera un encouragement, pour de nouveaux des investissements et nous aurons avec l'annulation de la dette, qui s'annonce au moment du point d'achèvement, dans un an à dix-huit mois, nous aurons des possibilités de signer de gros contrats de désendettement. Donc, nous aurons à nous engager dans des projets pour des montants très importants. Le ministre des Finances a évoqué des projets de lutte contre la pauvreté et des infrastructures. Ce sont des pistes importantes sur lesquelles nous pouvons commencer à travailler.
Nous avons besoin de savoir un petit peu plus sur la notion de désendettement et de développement ?
Le créancier annule la dette d'un pays et en compensation de cette annulation, le pays bénéficiaire réalise un certain nombre de projets. C'est-à-dire qu'au lieu de rembourser sa dette, les sommes consacrées sont réservées à la mise en œuvre d'un projet de développement, d'informations, d'infrastructures socio-éducatives choisi de commun accord.
Ce contrat commence quand ?
Il sera signé quand la Côte d'Ivoire atteindra le Point d'Achèvement. C'est-à-dire d'ici 18 mois, je parle sous le contrôle du ministre de l'Economie et des Finances.
Propos recueillis par B.M.