Le Mouvement pour la Valorisation de la Médecine traditionnelle (MVMT) a procédé, le samedi dernier, à l’espace ZATA, sis à Cocody- Angré Les manguiers, à la présentation officielle de son bureau à la presse nationale et internationale, dont TV5 Monde qui a promis produire un documentaire sur les activités du mouvement.
D’entrée, M. Didier Kouayé, spiritualiste et naturothérapeute, le président du MVMT, a tenu préciser qu’il ne s’agit pas d’une sortie officielle mais, d’une présentation du mouvement qui entend maintenant donner de la voix. Après quoi, il a fait l’historique du mouvement.
« Le MVMT existe depuis 1996. L’idée de sa création est partie de Divo où j’exerçais comme tradi- médecin. C’est après cela que le mouvement a gagné Abidjan où nous avons approché les médecins traditionnels et ceux qui pouvaient nous aider à nous organiser. Tout de suite, nous avons demandé aux tradipraticiens qui prétendaient guérir 60 maladies de se ressaisir. Parce que c’est difficile et peu crédible», a indiqué Didier Kouayé Poursuivant sur sa lancée, le président du MVMT a ajouté que le chemin parcouru a été long.
«Dieu merci, nous sommes reconnus par le département du ministère de la santé qui s’occupe de la médecine traditionnelle et le ministère de l’Intérieur. Et nous avons un siège à la 8è Tranche», a-t-il ajouté. Avant de révéler les objectifs du MVMT.
«Nous avons plusieurs objectifs. D’abord, prendre notre place dans les soins de santé primaire, valoriser le statut de bon médecin traditionnel et faire comprendre à nos membres qu’ils peuvent en vivre, les recenser et les exhorter à sortir de l’ombre, car beaucoup ont peur quand ils pensent à des histoires similaires à celles de Drogbo II...
Bisbilles avec le CNCA
Avant de clore ses propos le président du MVMT a lancé un appel au Chef de l’Etat qu’il dit ne pas trop sentir quand il s’agit de la médecine traditionnelle et fait cas de petits problèmes avec le CNCA.
«Le CNCA ne veut pas que nous passions à la télé. De notre côté, nous avons établies des attestations pour ceux de nos membres qui sont recensés et donc bien localisée. Curieusement, certains de ceux-là sont refoulés, tandis que ceux dont on ne connaît même pas le lieu de résidence en cas de problèmes, passent sur les antennes », a-t-il déploré.
Y. F. T.
D’entrée, M. Didier Kouayé, spiritualiste et naturothérapeute, le président du MVMT, a tenu préciser qu’il ne s’agit pas d’une sortie officielle mais, d’une présentation du mouvement qui entend maintenant donner de la voix. Après quoi, il a fait l’historique du mouvement.
« Le MVMT existe depuis 1996. L’idée de sa création est partie de Divo où j’exerçais comme tradi- médecin. C’est après cela que le mouvement a gagné Abidjan où nous avons approché les médecins traditionnels et ceux qui pouvaient nous aider à nous organiser. Tout de suite, nous avons demandé aux tradipraticiens qui prétendaient guérir 60 maladies de se ressaisir. Parce que c’est difficile et peu crédible», a indiqué Didier Kouayé Poursuivant sur sa lancée, le président du MVMT a ajouté que le chemin parcouru a été long.
«Dieu merci, nous sommes reconnus par le département du ministère de la santé qui s’occupe de la médecine traditionnelle et le ministère de l’Intérieur. Et nous avons un siège à la 8è Tranche», a-t-il ajouté. Avant de révéler les objectifs du MVMT.
«Nous avons plusieurs objectifs. D’abord, prendre notre place dans les soins de santé primaire, valoriser le statut de bon médecin traditionnel et faire comprendre à nos membres qu’ils peuvent en vivre, les recenser et les exhorter à sortir de l’ombre, car beaucoup ont peur quand ils pensent à des histoires similaires à celles de Drogbo II...
Bisbilles avec le CNCA
Avant de clore ses propos le président du MVMT a lancé un appel au Chef de l’Etat qu’il dit ne pas trop sentir quand il s’agit de la médecine traditionnelle et fait cas de petits problèmes avec le CNCA.
«Le CNCA ne veut pas que nous passions à la télé. De notre côté, nous avons établies des attestations pour ceux de nos membres qui sont recensés et donc bien localisée. Curieusement, certains de ceux-là sont refoulés, tandis que ceux dont on ne connaît même pas le lieu de résidence en cas de problèmes, passent sur les antennes », a-t-il déploré.
Y. F. T.