Les experts ivoiriens auront à débattre sur les questions liées aux problèmes des cellules souches et à l'euthanasie.
Un colloque sur les cellules souches embryonnaires, l'Euthanasie et soins palliatifs se tiendra du 16 au 17 décembre 2009, dans les locaux de l'Assemblée nationale sis à Abidjan. Les scientifiques auront à débattre sur les cellules souches dans un temps. Ils tenteront de démontrer par des communications et autres exposés, ce que représentent pour l'humanité les cellules souches. Le Pr. Yangni-Angate a soutenu que le terme cellule souches est générique. Il va plus loin pour enfin préciser qu'une cellule souche est capable de se multiplier en plusieurs types cellulaires différents. Le Pr. a soutenu que ces cellules existent chez l'embryon, le fœtus et son cordon ombilical, ou chez les adultes. Ces cellules souches possèdent selon les dires du conférencier, des vertus thérapeutiques qui permettent à présent de traiter certaines maladies jugées actuellement incurables. Cependant, l'utilisation abusive de ces cellules souches provenant des embryons est confrontée à des problèmes éthiques. Parce que, l'obtention de ces cellules souches passe par la destruction de l'embryon dont elle est issue. Cet état de fait relance et pose avec acuité l'éternel problème du statut juridique de l'embryon. Parce que, l'embryon humain se définit comme étant un être humain. Et qui dit manipulation de l'embryon, participe à la chosification de l'embryon humain. C'est pourquoi, le Pr ; Yangni-Angate plaide pour le respect de l'être humain. Le second volet du colloque a trait à l'euthanasie et soins palliatifs. Après avoir donné le sens étymologique de l'euthanasie qui signifie : " bonne mort, ou mort douce et sans souffrance", le Pr ; s'est insurgé sur la légitimation de l'euthanasie par les médecins traitants qu'il qualifie de complice meurtriers qui donnent la mort parce que défendu par le serment d'Hippocrate qui stipule : " Je n'administrerai jamais de médicament mortel à quelqu'un s'il me le demande et je ne donnerai jamais de conseil à cet égard ". Cet acte qui consiste à mettre fin de façon délibérée à la vie d'un patient est tout simplement immoral, a soutenu Pr. Yangni Angaté. Par ailleurs, il existe une alternative à l'euthanasie, a expliqué le Pr. Yangni Angaté. Il s'agit des soins palliatifs, donnés aux malades dont l'affection ne répond pas au traitement curatif. C'est de tout cela que les experts auront à débattre au cours de colloque.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
Un colloque sur les cellules souches embryonnaires, l'Euthanasie et soins palliatifs se tiendra du 16 au 17 décembre 2009, dans les locaux de l'Assemblée nationale sis à Abidjan. Les scientifiques auront à débattre sur les cellules souches dans un temps. Ils tenteront de démontrer par des communications et autres exposés, ce que représentent pour l'humanité les cellules souches. Le Pr. Yangni-Angate a soutenu que le terme cellule souches est générique. Il va plus loin pour enfin préciser qu'une cellule souche est capable de se multiplier en plusieurs types cellulaires différents. Le Pr. a soutenu que ces cellules existent chez l'embryon, le fœtus et son cordon ombilical, ou chez les adultes. Ces cellules souches possèdent selon les dires du conférencier, des vertus thérapeutiques qui permettent à présent de traiter certaines maladies jugées actuellement incurables. Cependant, l'utilisation abusive de ces cellules souches provenant des embryons est confrontée à des problèmes éthiques. Parce que, l'obtention de ces cellules souches passe par la destruction de l'embryon dont elle est issue. Cet état de fait relance et pose avec acuité l'éternel problème du statut juridique de l'embryon. Parce que, l'embryon humain se définit comme étant un être humain. Et qui dit manipulation de l'embryon, participe à la chosification de l'embryon humain. C'est pourquoi, le Pr ; Yangni-Angate plaide pour le respect de l'être humain. Le second volet du colloque a trait à l'euthanasie et soins palliatifs. Après avoir donné le sens étymologique de l'euthanasie qui signifie : " bonne mort, ou mort douce et sans souffrance", le Pr ; s'est insurgé sur la légitimation de l'euthanasie par les médecins traitants qu'il qualifie de complice meurtriers qui donnent la mort parce que défendu par le serment d'Hippocrate qui stipule : " Je n'administrerai jamais de médicament mortel à quelqu'un s'il me le demande et je ne donnerai jamais de conseil à cet égard ". Cet acte qui consiste à mettre fin de façon délibérée à la vie d'un patient est tout simplement immoral, a soutenu Pr. Yangni Angaté. Par ailleurs, il existe une alternative à l'euthanasie, a expliqué le Pr. Yangni Angaté. Il s'agit des soins palliatifs, donnés aux malades dont l'affection ne répond pas au traitement curatif. C'est de tout cela que les experts auront à débattre au cours de colloque.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com