Le ministre de la Défense, Amani N’guessan Michel, a rencontré, hier, la branche militaire des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn) élargie au grand commandement à leur état-major à Bouaké. Au cours de cette séance de travail, il a été essentiellement question de la signature des décrets portant sur l’harmonisation des grades le 16 novembre dernier à Mankono par le Président Laurent Gbagbo, lors de sa récente visite d’Etat dans la région du Worodougou. Selon le ministre Amani N’guessan Michel, cet échange visait à faire ensemble une même lecture des contenus des décrets et voir si tous les contentieux ont été vidés ou bien s’il en restait encore. “Nous avons fait le tour de la question, il y a un certain nombre de problèmes qui restent et qu’il faut régler. Nous nous sommes mis d’accord là-dessus et donc nous avons dégagé des perspectives”, a-t-il dit.
Pour lui, c’est une situation heureuse parce qu’ils sont tous d’accord pour que la Côte d’Ivoire puisse sortir de cette crise. Et comme ils ont adopté la négociation pour sortir de la crise, il n’y a aucun problème insoluble. Mais en tant que ministre de tutelle, il est chargé de rencontrer les deux parties pour qu’elles puissent aboutir à tous les consensus, même s’il convient que, pour le moment, il n’y a pas de blocage.
“C’est une question de rédaction des termes de décrets qui restent à prendre. Nous sommes tous d’accord que la Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation de crise et donner la paix à ce pays”, a-t-il ajouté. Abordant le chapitre de la sécurisation des élections, Amani N’guessan a mentionné que les parties ont techniquement retenu les commissions mixtes de sécurisation des élections.
“Par rapport aux élections, sur l’ensemble du territoire national, nous aurons les compagnies mixtes de sécurisation des élections. Donc il n’y a pas de problème au niveau des militaires ; nous nous comprenons très bien, les concepts sont clairs et nous sommes en train de mettre en œuvre l’accord politique de Ouagadougou”, a-t-il conclu.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional
Pour lui, c’est une situation heureuse parce qu’ils sont tous d’accord pour que la Côte d’Ivoire puisse sortir de cette crise. Et comme ils ont adopté la négociation pour sortir de la crise, il n’y a aucun problème insoluble. Mais en tant que ministre de tutelle, il est chargé de rencontrer les deux parties pour qu’elles puissent aboutir à tous les consensus, même s’il convient que, pour le moment, il n’y a pas de blocage.
“C’est une question de rédaction des termes de décrets qui restent à prendre. Nous sommes tous d’accord que la Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation de crise et donner la paix à ce pays”, a-t-il ajouté. Abordant le chapitre de la sécurisation des élections, Amani N’guessan a mentionné que les parties ont techniquement retenu les commissions mixtes de sécurisation des élections.
“Par rapport aux élections, sur l’ensemble du territoire national, nous aurons les compagnies mixtes de sécurisation des élections. Donc il n’y a pas de problème au niveau des militaires ; nous nous comprenons très bien, les concepts sont clairs et nous sommes en train de mettre en œuvre l’accord politique de Ouagadougou”, a-t-il conclu.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional