Le Fonds de développement et de soutien à la presse (Fdsp) a organisé à l’intention des comptables des entreprises de presse et des organisations professionnelles, un séminaire de formation du 8 au 11 décembre, à la tour C de la cité administrative au Plateau. Pendant donc trois jours, le consultant, Saouré Brou Gaston, a enseigné aux apprenants l’élaboration des plans d’affaires (business plan). Outre cela, ils ont appris les rudiments pour maîtriser la conception, la présentation et la gestion de leurs entreprises. Le formateur a indiqué que le «business plan» constitue le document technique qui permet de prouver la faisabilité d’un projet, la faisabilité commerciale et financière de toute entreprise qu’on envisage de monter.
En d’autres termes, il est question de démontrer, selon M. Saouré, que l’entreprise ou le projet envisagé est rentable ou pas. Pour ce faire, les participants ont planché sur les aspects commerciaux du projet ou de la culture d’entreprise par la mise en évidence des marchés et donc d’une clientèle susceptible d’absorber le produit, c’est-à-dire le journal. Le consultant a également insisté dans son enseignement sur la spécificité de l’entreprise de presse, car le contenu du journal diffère d’un jour à l’autre.
C’est à ce titre, a-t-il poursuivi, que l’entreprise de presse demande des compétences en termes de ressources humaines et d’innovations. Il a toutefois noté que les participants se sont heurtés au problème des la connaissance des coûts de production interne du journal. Avant de dire que les apprenants ont insisté sur le monopole d’Edipresse. Tout en appréciant la qualité de l’enseignement dispensé, Mme N’Guessan Bernise, directeur exécutif du Fonds de développement et de soutien à la presse, a assuré que l’objectif du séminaire est de permettre aux professionnels de médias de pouvoir présenter un projet pour tout organisme de financement.
I.T. Yéo
En d’autres termes, il est question de démontrer, selon M. Saouré, que l’entreprise ou le projet envisagé est rentable ou pas. Pour ce faire, les participants ont planché sur les aspects commerciaux du projet ou de la culture d’entreprise par la mise en évidence des marchés et donc d’une clientèle susceptible d’absorber le produit, c’est-à-dire le journal. Le consultant a également insisté dans son enseignement sur la spécificité de l’entreprise de presse, car le contenu du journal diffère d’un jour à l’autre.
C’est à ce titre, a-t-il poursuivi, que l’entreprise de presse demande des compétences en termes de ressources humaines et d’innovations. Il a toutefois noté que les participants se sont heurtés au problème des la connaissance des coûts de production interne du journal. Avant de dire que les apprenants ont insisté sur le monopole d’Edipresse. Tout en appréciant la qualité de l’enseignement dispensé, Mme N’Guessan Bernise, directeur exécutif du Fonds de développement et de soutien à la presse, a assuré que l’objectif du séminaire est de permettre aux professionnels de médias de pouvoir présenter un projet pour tout organisme de financement.
I.T. Yéo
