L’Ipnetp a abrité hier, la cérémonie d’ouverture de l’atelier de sensibilisation des formateurs à la pratique de l’Approche par compétences (Apc), le nouveau modèle de gestion de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire. A cette occasion, le ministre Dosso Moussa a situé les enjeux de la nouvelle orientation adoptée par son département, l’Approche par compétences. Pour lui, en effet, il est important, au sortir de la crise, pour un Etat jeune comme la Côte d’Ivoire de saisir les opportunités du changement de paradigme. En se fondant sur le répertoire des métiers, il faut rapprocher les programmes et curricula des réalités propres à chaque métier.
En recadrant et ciblant les éléments clés qui feront, par exemple, du comptable un excellent technicien de la pratique de son métier. Il s’agira donc, selon le ministre, d’étendre l’exemple en interne. Pour que l’enseignement technique connaisse du succès dans les métiers à proposer dans le cadre de la sortie de crise. « Nous sommes en train de travailler sur des référentiels des métiers. Il est important que nous ayons des catalogues que nous proposerons aux jeunes étudiants et élèves pour que véritablement, on s’attelle à donner des emplois aux jeunes ivoiriens » a-t-il insisté.
M. Paul Gomis, coordonnateur et chef du bureau du Programme régional d’éducation pour les urgences et la reconstruction à l’Unesco/Peer, a partagé l’expérience de l’approche par compétences mise en œuvre avec succès dans des pays tels que la Guinée Bissau, la République démocratique du Congo, l’Ouganda et le Kenya. Il a relevé, comme leçon apprise des crises, que l’essentiel des ressources va aux besoins de première nécessité au détriment de l’éducation. Son mandat est d’inverser cette tendance.
En apportant des solutions pratiques qui tiennent compte des spécificités environnementales et socioculturelles, une mise en relation avec la situation du pays. L’intervention s’achèvera, en fin janvier. Cet atelier qui vise a impulser le changement concerne les directeurs et sous-directeurs.
Autre expérience réussie, c’est la sélection de jeunes leaders que l’on forme à des emplois, ou à l’auto emploi. Dans 60 ou 70% des cas, a souligné M. Paul Gomis, l’objectif escompté a été atteint.
Cissé Mamadou
En recadrant et ciblant les éléments clés qui feront, par exemple, du comptable un excellent technicien de la pratique de son métier. Il s’agira donc, selon le ministre, d’étendre l’exemple en interne. Pour que l’enseignement technique connaisse du succès dans les métiers à proposer dans le cadre de la sortie de crise. « Nous sommes en train de travailler sur des référentiels des métiers. Il est important que nous ayons des catalogues que nous proposerons aux jeunes étudiants et élèves pour que véritablement, on s’attelle à donner des emplois aux jeunes ivoiriens » a-t-il insisté.
M. Paul Gomis, coordonnateur et chef du bureau du Programme régional d’éducation pour les urgences et la reconstruction à l’Unesco/Peer, a partagé l’expérience de l’approche par compétences mise en œuvre avec succès dans des pays tels que la Guinée Bissau, la République démocratique du Congo, l’Ouganda et le Kenya. Il a relevé, comme leçon apprise des crises, que l’essentiel des ressources va aux besoins de première nécessité au détriment de l’éducation. Son mandat est d’inverser cette tendance.
En apportant des solutions pratiques qui tiennent compte des spécificités environnementales et socioculturelles, une mise en relation avec la situation du pays. L’intervention s’achèvera, en fin janvier. Cet atelier qui vise a impulser le changement concerne les directeurs et sous-directeurs.
Autre expérience réussie, c’est la sélection de jeunes leaders que l’on forme à des emplois, ou à l’auto emploi. Dans 60 ou 70% des cas, a souligné M. Paul Gomis, l’objectif escompté a été atteint.
Cissé Mamadou