L’année 2009 vient de s’éteindre. Elle fut comme les précédentes, sombre et difficile pour la majorité des Ivoiriens : les hôpitaux publics, mal équipés, n’ont pu, malgré la bonne volonté du personnel soignant, donner en toutes circonstances, les soins appropriés à des populations de plus en plus pauvres, de plus en plus fragilisées par des déchets toxiques ; l’école, en crise, a fonctionné en dessous de la normale ; l’emploi, devenu rare ou introuvable, la plupart des diplômés sont condamnés au chômage ou à l’oisiveté ; le front social, refusant la misère, était toujours en ébullition…
Rien de tout cela n’est dû au manque de ressources. Au contraire, notre pays a des potentialités énormes. La situation ci-dessus dépeinte procède d’une absence de bonne gouvernance.
L’élection présidentielle, donnée comme le remède à la crise et aux maux dont souffrent les Ivoiriens, n’a pu, à la manière des années précédentes, se tenir ; la faute, comme vous le savez, en est imputable à ceux qui détiennent le pouvoir et qui, par toutes sortes de manœuvres, ont agi et continuent d’agir négativement sur le processus électoral, prolongeant indûment la souffrance des populations.
Une année nouvelle est là : elle peut être la continuation des années qui viennent de s’écouler ; elle peut, au contraire, s’en détracter et être porteuse d’espoirs et d’espérance. Il nous appartient de faire en sorte qu’elle soit ce qu’elle doit être. Je me tiens, pour ma part, à la disposition des Ivoiriens pour prendre part à cette tâche de rénovation et de régénérescence de notre pays.
Un peuple libre ne meurt jamais ; Il peut s’affaisser ; mais, il se relève toujours ; la Côte d’Ivoire, notre pays, notre seul pays, peut et doit se relever par notre volonté, commune.
Puissions-nous le vouloir et marcher ensemble vers ce but.
Bonne et heureuse année 2010 à toutes et à tous !
Francis Wodié
Président du P.I.T.
Candidat à l’élection
présidentielle.
Rien de tout cela n’est dû au manque de ressources. Au contraire, notre pays a des potentialités énormes. La situation ci-dessus dépeinte procède d’une absence de bonne gouvernance.
L’élection présidentielle, donnée comme le remède à la crise et aux maux dont souffrent les Ivoiriens, n’a pu, à la manière des années précédentes, se tenir ; la faute, comme vous le savez, en est imputable à ceux qui détiennent le pouvoir et qui, par toutes sortes de manœuvres, ont agi et continuent d’agir négativement sur le processus électoral, prolongeant indûment la souffrance des populations.
Une année nouvelle est là : elle peut être la continuation des années qui viennent de s’écouler ; elle peut, au contraire, s’en détracter et être porteuse d’espoirs et d’espérance. Il nous appartient de faire en sorte qu’elle soit ce qu’elle doit être. Je me tiens, pour ma part, à la disposition des Ivoiriens pour prendre part à cette tâche de rénovation et de régénérescence de notre pays.
Un peuple libre ne meurt jamais ; Il peut s’affaisser ; mais, il se relève toujours ; la Côte d’Ivoire, notre pays, notre seul pays, peut et doit se relever par notre volonté, commune.
Puissions-nous le vouloir et marcher ensemble vers ce but.
Bonne et heureuse année 2010 à toutes et à tous !
Francis Wodié
Président du P.I.T.
Candidat à l’élection
présidentielle.