Le mardi 29 décembre 2009, le candidat Laurent Gbagbo a procédé au lancement de son livre programme intitulé « Côte d’Ivoire, bâtir la paix sur la démocratie et la prospérité » paru aux éditions Nei-Ceda. Et depuis cette importante sortie de Laurent Gbagbo tous les observateurs nationaux et internationaux de la scène politique sont unanimes pour dire que l’opposition « est sonnée ».
C’est la réaction en faveur d’Alassane à travers tous les journaux de l’opposition qui a surpris tous les observateurs encore lucides et impartiaux de la scène politique ivoirienne. En effet, une seule phrase de l’auteur candidat a fait la manchette de tous les journaux de l’opposition et suscite encore des débats. A tort ou à raison ! Si Laurent Gbagbo lui-même rassure qu’il n’est pas encore en campagne en tout cas, dans le camp de l’opposition, c’est le branle-bas total avec la sortie du livre de l’historien Gbagbo qui marque le premier maillon de la chaine de sa stratégie de campagne. « J’appartiens à une école qui ne fait rien qui ne passe par l’écriture ; ou un prince ne livre jamais bataille sans dire pourquoi il se bat » peut-on lire en substance dans le livre. Laurent Gbagbo a parcouru les méandres de la politique ivoirienne et a fait l’histoire de l’économie de la Côte d’Ivoire. Il a même fait l’état de la gestion des régimes ivoiriens passés avant d’attirer l’attention des ivoiriens sur les politiciens vendeurs d’illusions entrés en campagne en promettant des milliards. « Moi, je poursuis ma politique de désendettement » a-t-il dit. L’auteur de « Côte d’Ivoire bâtir la paix sur la démocratie et la prospérité » a presque cloué le bec à tous ces vendeurs d’illusions qui promettent des milliards. « Tu n’es rien , tu n’as rien et tu dis : ‘’ donnez moi l’argent et je vais donner 100 milliards à Dabou et 200 milliards à tant’’… » En somme, cette déclaration a été le choux gras des journaux de l’opposition qui directement à travers leurs écrits ont confirmé que c’est de Alassane Ouattara qu’il s’agit. A dire vrai, c’est un vrai K.O debout contre le candidat du Rassemblement des républicains, Alassane Dramane ouattara. Car qui s’excuse, s’accuse, dit-on.
NGuessan Antoine
C’est la réaction en faveur d’Alassane à travers tous les journaux de l’opposition qui a surpris tous les observateurs encore lucides et impartiaux de la scène politique ivoirienne. En effet, une seule phrase de l’auteur candidat a fait la manchette de tous les journaux de l’opposition et suscite encore des débats. A tort ou à raison ! Si Laurent Gbagbo lui-même rassure qu’il n’est pas encore en campagne en tout cas, dans le camp de l’opposition, c’est le branle-bas total avec la sortie du livre de l’historien Gbagbo qui marque le premier maillon de la chaine de sa stratégie de campagne. « J’appartiens à une école qui ne fait rien qui ne passe par l’écriture ; ou un prince ne livre jamais bataille sans dire pourquoi il se bat » peut-on lire en substance dans le livre. Laurent Gbagbo a parcouru les méandres de la politique ivoirienne et a fait l’histoire de l’économie de la Côte d’Ivoire. Il a même fait l’état de la gestion des régimes ivoiriens passés avant d’attirer l’attention des ivoiriens sur les politiciens vendeurs d’illusions entrés en campagne en promettant des milliards. « Moi, je poursuis ma politique de désendettement » a-t-il dit. L’auteur de « Côte d’Ivoire bâtir la paix sur la démocratie et la prospérité » a presque cloué le bec à tous ces vendeurs d’illusions qui promettent des milliards. « Tu n’es rien , tu n’as rien et tu dis : ‘’ donnez moi l’argent et je vais donner 100 milliards à Dabou et 200 milliards à tant’’… » En somme, cette déclaration a été le choux gras des journaux de l’opposition qui directement à travers leurs écrits ont confirmé que c’est de Alassane Ouattara qu’il s’agit. A dire vrai, c’est un vrai K.O debout contre le candidat du Rassemblement des républicains, Alassane Dramane ouattara. Car qui s’excuse, s’accuse, dit-on.
NGuessan Antoine
