Depuis l’installation de Laurent Gbagbo à la tête de la Côte d’Ivoire, le palais présidentiel est régulièrement secoué par des scandales de tous ordres. Gros plan sur ces actes qui déshonorent la présidence de la république.
La présidence de la république, en sa qualité de la première et la plus importante institution de la république devrait rester le reflet du pays. Les prédécesseurs de l’actuel locataire ont réussi à conférer à cette institution tout son prestige. Mais malheureusement, avec l’avènement de Laurent Gbagbo dans ce palais, tout semble marcher sur la tête. Toutes les affaires sales dont des crimes, ont été déportées dans ces lieux. Des personnes employées au palais y sont allées avec leurs défauts auxquels ils ont laissé libre cours. Le cocktail était bien croustillant. Les crimes se sont succédé à un rythme effréné. L’affaire Guy André Kiffer dans laquelle la présidence serait impliquée, continue de défrayer la chronique. Selon certains témoignages, Kiffer aurait fait un tour dans le sous-sol du palais présidentiel avant de partir pour une destination jusque-là inconnue. De rebondissements en rebondissements avec en toile de fond, une bataille diplomatique franco-ivoirienne sans merci, la vérité dans cette affaire demeure un secret. Toute chose qui, en aucun cas, n’honore la plus importante des institutions de notre république. Et que dire de la rocambolesque histoire d’emplois fictifs qui avait, dans un passé très récent, éclaboussé le grand palais présidentiel où règne en grand Manitou, le grand chef frontiste socialiste réformiste ? Ses collaborateurs, dans une imagination particulièrement féconde, ont conçu des emplois affectés à des personnes fictives qui ne sont en réalité qu’eux-mêmes. Ainsi, ces personnes aux ambitions démesurées, recevaient chaque mois, les émoluments affectés à ces emplois. Il ya eu aussi l’affaire « escadron de la mort » qui a fait assez de victimes dans les rangs des ivoiriens et dont les racines se trouveraient dans les couloirs du palais présidentiel. Cette affaire jamais démentie par le palais, non seulement, comme une traînée de poudre, fait le tour du pays, mais aussi et surtout, elle ternit gravement l’image de celui-ci. Certaines indiscrétions affirment que la mort du journaliste Jean Helène serait du fait de cet escadron de la mort qu’entretiendrait le palais présidentiel. Vu le rythme auquel les scandales se succèdent au palais présidentiel, nous restons convaincus que cette institution n’a pas encore livré tous ses secrets. Au-delà même de ces faits, c’est la dévalorisation de cette institution de la république par ses actuels occupants qui pose problème. C’est l’image de toute la société ivoirienne sous la refondation qui est projetée à travers ces différents scandales du palais présidentiel. C’est certainement ça aussi l’une des nombreuses facettes de la refondation.
Détournement
« Les scandales financiers à la présidence ». Cette manchette pourrait être le titre d’un roman écrit en lettres d’or sous la refondation. Tous les détournements ont été multiples dans la cour du palais de la présidence de la république. Du bureau feutré du chef de file des frontistes à l’employé subalterne, les refondateurs se sont honteusement illustrés par le pillage des deniers publics. Les faits ont été mis au grand jour et le palais présidentiel est sous les feux de rampe. Individuellement, les uns et les autres se seraient servis. Mais les moins discrets et les plus gourmands se sont fait épingler. La secrétaire particulière de Laurent Gbagbo est l’une de ceux qui ont levé le voile sur ces malversations financières qui s’opèrent en toute impunité au palais présidentiel. Usant de sa position dans les bonnes grâces du chef, Madame Gnonhité a extorqué 65 millions de Fcfa à une maison de téléphonie mobile. Le pot aux roses découvert, le patron du palais, toute honte bue, se fera hara kiri en livrant à la justice sa plus proche collaboratrice. Mais ce qu’il convient d’appeler le « scandale de la secrétaire de Gbagbo », n’est ni le seul, ni le dernier commis à la présidence de la république. Une rétrospective sur les évènements qui se sont produits au palais de la présidence nous donne de faire un large inventaire des détournements dont se seraient rendus coupables, plusieurs des proches de Laurent Gbagbo : les 2 milliards de francs des planteurs déplacés de l’Ouest, auraient disparu dans les couloirs de la présidence. Les victimes des évènements de novembre 2004, continuent de pleurer leurs 50 millions de francs qui se sont volatilisés dans la nature, aux dires des bénéficiaires cette somme d’argent qui aurait été remise à des conseillers du mentor de la refondation. L’indemnisation des victimes de la triste et honteuse situation des déchets toxiques qui s’élevait à 100 milliards de franc, Cfa, a subi une gestion tripatouillée. Les vrais bénéficiaires se sont mordu le doigt, tandis que des ponces du pouvoir se la coulent douce avec ce pactole. Que dire des faux agents de la présidence qui se sont fait rémunérer sur les comptes de l’Etat ? Bref, l’atmosphère politique ces dernières années, a été alimentée par les détournements dans le camp des frontistes. C’est même une lapalissade de parler de pillage des revenus des planteurs dans la filière café-cacao. Outre, ces faits amoraux et d’une gravité extrême, le budget de souveraineté du patron du palais de la présidence, continue d’être un mystère pour le commun des ivoiriens. Les spéculations vont bon train sur le montant de ce budget. On se perd dans les calculs quand on l’évoque 50, 65, 75 milliards de francs, des chiffres que certaines personnes se hasardent à avancer. Sinon que, personne n’en sait le montant exact. Les détournements n’ont connu une telle ampleur sous nos tropiques et mêmes ailleurs. Mais l’insolence des scandales financiers que nous offrent les refondateurs est ahurissante. L’histoire suit son cours et les annales retiendront que sous Gbagbo, les faits marquants sont les scandales financiers dans son cabinet.
Le sexe au cœur du palais
Le Palais présidentiel de la république de Côte d’Ivoire, ce grand palais sous Feu Félix Houphouët Boigny et Henri Konan Bédié était entouré de tout un mystère. N’y mettait les pieds qui voulait à cette époque. Tous les ivoiriens avaient un très grand respect pour cet endroit qui faisait la fierté de tous les peuples de Côte d’Ivoire. Parfois, c’est avec la peur au ventre que des ivoiriens, de toutes classes sociales devraient passer à côté pour vaquer à leurs occupations. En somme, le palais de la présidence, en plein cœur du plateau, quartier des affaires de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, Abidjan était respecté de tous. Depuis l’an 2000, la refondation a tué ce mystère qui entoure cette bâtisse Gbagbo Laurent et ses camarades du front populaire ivoirien (Fpi) ont totalement terni l’image des bureaux des présidents de la république de Côte d’Ivoire. A l’heure arrivée au pouvoir, l’un des objectifs majeurs des refondateurs était de démystifier l’image qu’on connaît à ce palais. La démystification pouvait être négative à certains points peut-être. Mais avec les refondateurs, hélas ! La rue princesse de yopougon s’est carrément déportée dans les locaux qui abritent les bureaux du président Laurent Gbagbo. Les exemples vécus sont édifiants. Le lieutenant Mahé, très connu dans le milieu des frontistes et très proche des responsables du FPI a été accusé de pédophilie. La scène se serait même produite à la présidence. Au palais de la présidence, le sujet le plus débattu chaque jour sous le régime FPI est relatif au sexe. Il ne se passerait pas un jour où un ministre, un conseiller, un tel ou un autre ne s’est pas disputé avec un collègue ou quelqu’un d’autre pour une histoire de fesses. Il faut dire tout net, le palais présidentiel sous la FPI est pourri. Depuis 2000, personne ne peut nier le ballet des jeunes filles à la peau dépigmentée, dont l’âge varie entre 14 et 20 ans. Pour quoi faire ? Si ce n’est aller voir son refondateur ? Outre cette classe de filles, il faut mentionner les maîtresses de ces refondateurs qui, autrefois dans les véhicules 4X4 appelés Rav 4, débarquent en ce lieu à tout moment à bord aujourd’hui de la 4X4 appelé infiniti. Le Président de la république Koudou Laurent Gbagbo, qui voit et qui entend tous ces sales bruits qui n’honorent pas ses bureaux ne peut rien dire. Car, lui-même a transporté là-bas ses problèmes de foyer. Aujourd’hui au palais présidentiel, les partisans de madame Simone Ehivet Gbagbo, la première épouse et Nady Bamba la seconde épouse se livrent une bataille de leadership auprès du chef de l’état. Créant ainsi un désordre dans le bon fonctionnement des services dont regorge le palais présidentiel. Il faut que le palais retrouve son lustre d’antan pour que la Côte d’Ivoire reprenne sa place du pays le plus respecté de la sous-région. Seul le PDCI-RDA a les qualités pour le faire. Sinon avec le FPI, le palais présidentiel risque de s’écrouler tout seul un jour à force d’être témoin de vilaines choses.
Dossier réalisé par :
Rodolphe Flaha, Etienne Lemistic
Jérôme N’dri (stagiaire)
La présidence de la république, en sa qualité de la première et la plus importante institution de la république devrait rester le reflet du pays. Les prédécesseurs de l’actuel locataire ont réussi à conférer à cette institution tout son prestige. Mais malheureusement, avec l’avènement de Laurent Gbagbo dans ce palais, tout semble marcher sur la tête. Toutes les affaires sales dont des crimes, ont été déportées dans ces lieux. Des personnes employées au palais y sont allées avec leurs défauts auxquels ils ont laissé libre cours. Le cocktail était bien croustillant. Les crimes se sont succédé à un rythme effréné. L’affaire Guy André Kiffer dans laquelle la présidence serait impliquée, continue de défrayer la chronique. Selon certains témoignages, Kiffer aurait fait un tour dans le sous-sol du palais présidentiel avant de partir pour une destination jusque-là inconnue. De rebondissements en rebondissements avec en toile de fond, une bataille diplomatique franco-ivoirienne sans merci, la vérité dans cette affaire demeure un secret. Toute chose qui, en aucun cas, n’honore la plus importante des institutions de notre république. Et que dire de la rocambolesque histoire d’emplois fictifs qui avait, dans un passé très récent, éclaboussé le grand palais présidentiel où règne en grand Manitou, le grand chef frontiste socialiste réformiste ? Ses collaborateurs, dans une imagination particulièrement féconde, ont conçu des emplois affectés à des personnes fictives qui ne sont en réalité qu’eux-mêmes. Ainsi, ces personnes aux ambitions démesurées, recevaient chaque mois, les émoluments affectés à ces emplois. Il ya eu aussi l’affaire « escadron de la mort » qui a fait assez de victimes dans les rangs des ivoiriens et dont les racines se trouveraient dans les couloirs du palais présidentiel. Cette affaire jamais démentie par le palais, non seulement, comme une traînée de poudre, fait le tour du pays, mais aussi et surtout, elle ternit gravement l’image de celui-ci. Certaines indiscrétions affirment que la mort du journaliste Jean Helène serait du fait de cet escadron de la mort qu’entretiendrait le palais présidentiel. Vu le rythme auquel les scandales se succèdent au palais présidentiel, nous restons convaincus que cette institution n’a pas encore livré tous ses secrets. Au-delà même de ces faits, c’est la dévalorisation de cette institution de la république par ses actuels occupants qui pose problème. C’est l’image de toute la société ivoirienne sous la refondation qui est projetée à travers ces différents scandales du palais présidentiel. C’est certainement ça aussi l’une des nombreuses facettes de la refondation.
Détournement
« Les scandales financiers à la présidence ». Cette manchette pourrait être le titre d’un roman écrit en lettres d’or sous la refondation. Tous les détournements ont été multiples dans la cour du palais de la présidence de la république. Du bureau feutré du chef de file des frontistes à l’employé subalterne, les refondateurs se sont honteusement illustrés par le pillage des deniers publics. Les faits ont été mis au grand jour et le palais présidentiel est sous les feux de rampe. Individuellement, les uns et les autres se seraient servis. Mais les moins discrets et les plus gourmands se sont fait épingler. La secrétaire particulière de Laurent Gbagbo est l’une de ceux qui ont levé le voile sur ces malversations financières qui s’opèrent en toute impunité au palais présidentiel. Usant de sa position dans les bonnes grâces du chef, Madame Gnonhité a extorqué 65 millions de Fcfa à une maison de téléphonie mobile. Le pot aux roses découvert, le patron du palais, toute honte bue, se fera hara kiri en livrant à la justice sa plus proche collaboratrice. Mais ce qu’il convient d’appeler le « scandale de la secrétaire de Gbagbo », n’est ni le seul, ni le dernier commis à la présidence de la république. Une rétrospective sur les évènements qui se sont produits au palais de la présidence nous donne de faire un large inventaire des détournements dont se seraient rendus coupables, plusieurs des proches de Laurent Gbagbo : les 2 milliards de francs des planteurs déplacés de l’Ouest, auraient disparu dans les couloirs de la présidence. Les victimes des évènements de novembre 2004, continuent de pleurer leurs 50 millions de francs qui se sont volatilisés dans la nature, aux dires des bénéficiaires cette somme d’argent qui aurait été remise à des conseillers du mentor de la refondation. L’indemnisation des victimes de la triste et honteuse situation des déchets toxiques qui s’élevait à 100 milliards de franc, Cfa, a subi une gestion tripatouillée. Les vrais bénéficiaires se sont mordu le doigt, tandis que des ponces du pouvoir se la coulent douce avec ce pactole. Que dire des faux agents de la présidence qui se sont fait rémunérer sur les comptes de l’Etat ? Bref, l’atmosphère politique ces dernières années, a été alimentée par les détournements dans le camp des frontistes. C’est même une lapalissade de parler de pillage des revenus des planteurs dans la filière café-cacao. Outre, ces faits amoraux et d’une gravité extrême, le budget de souveraineté du patron du palais de la présidence, continue d’être un mystère pour le commun des ivoiriens. Les spéculations vont bon train sur le montant de ce budget. On se perd dans les calculs quand on l’évoque 50, 65, 75 milliards de francs, des chiffres que certaines personnes se hasardent à avancer. Sinon que, personne n’en sait le montant exact. Les détournements n’ont connu une telle ampleur sous nos tropiques et mêmes ailleurs. Mais l’insolence des scandales financiers que nous offrent les refondateurs est ahurissante. L’histoire suit son cours et les annales retiendront que sous Gbagbo, les faits marquants sont les scandales financiers dans son cabinet.
Le sexe au cœur du palais
Le Palais présidentiel de la république de Côte d’Ivoire, ce grand palais sous Feu Félix Houphouët Boigny et Henri Konan Bédié était entouré de tout un mystère. N’y mettait les pieds qui voulait à cette époque. Tous les ivoiriens avaient un très grand respect pour cet endroit qui faisait la fierté de tous les peuples de Côte d’Ivoire. Parfois, c’est avec la peur au ventre que des ivoiriens, de toutes classes sociales devraient passer à côté pour vaquer à leurs occupations. En somme, le palais de la présidence, en plein cœur du plateau, quartier des affaires de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, Abidjan était respecté de tous. Depuis l’an 2000, la refondation a tué ce mystère qui entoure cette bâtisse Gbagbo Laurent et ses camarades du front populaire ivoirien (Fpi) ont totalement terni l’image des bureaux des présidents de la république de Côte d’Ivoire. A l’heure arrivée au pouvoir, l’un des objectifs majeurs des refondateurs était de démystifier l’image qu’on connaît à ce palais. La démystification pouvait être négative à certains points peut-être. Mais avec les refondateurs, hélas ! La rue princesse de yopougon s’est carrément déportée dans les locaux qui abritent les bureaux du président Laurent Gbagbo. Les exemples vécus sont édifiants. Le lieutenant Mahé, très connu dans le milieu des frontistes et très proche des responsables du FPI a été accusé de pédophilie. La scène se serait même produite à la présidence. Au palais de la présidence, le sujet le plus débattu chaque jour sous le régime FPI est relatif au sexe. Il ne se passerait pas un jour où un ministre, un conseiller, un tel ou un autre ne s’est pas disputé avec un collègue ou quelqu’un d’autre pour une histoire de fesses. Il faut dire tout net, le palais présidentiel sous la FPI est pourri. Depuis 2000, personne ne peut nier le ballet des jeunes filles à la peau dépigmentée, dont l’âge varie entre 14 et 20 ans. Pour quoi faire ? Si ce n’est aller voir son refondateur ? Outre cette classe de filles, il faut mentionner les maîtresses de ces refondateurs qui, autrefois dans les véhicules 4X4 appelés Rav 4, débarquent en ce lieu à tout moment à bord aujourd’hui de la 4X4 appelé infiniti. Le Président de la république Koudou Laurent Gbagbo, qui voit et qui entend tous ces sales bruits qui n’honorent pas ses bureaux ne peut rien dire. Car, lui-même a transporté là-bas ses problèmes de foyer. Aujourd’hui au palais présidentiel, les partisans de madame Simone Ehivet Gbagbo, la première épouse et Nady Bamba la seconde épouse se livrent une bataille de leadership auprès du chef de l’état. Créant ainsi un désordre dans le bon fonctionnement des services dont regorge le palais présidentiel. Il faut que le palais retrouve son lustre d’antan pour que la Côte d’Ivoire reprenne sa place du pays le plus respecté de la sous-région. Seul le PDCI-RDA a les qualités pour le faire. Sinon avec le FPI, le palais présidentiel risque de s’écrouler tout seul un jour à force d’être témoin de vilaines choses.
Dossier réalisé par :
Rodolphe Flaha, Etienne Lemistic
Jérôme N’dri (stagiaire)