PARIS - Le bilan d'une intoxication au monoxyde de carbonne à Pantin (Seine-saint-Denis) lors d'un réveillon de nouvel an était toujours vendredi matin de 65 blessés dont six graves, a indiqué la préfecture de police (PP).
Selon le directeur de cabinet du maire de Pantin, Philippe Bon, qui s'est rendu sur place, l'intoxication s'est produite dans un bâtiment appartenant à la Chambre des métiers de la Seine-Saint-Denis. Le réveillon était organisé par une association regroupant des Ivoiriens, le Rassemblement des Monterois
de France.
L'intoxication s'est produite à 02H10, a indiqué la PP. Au total 250 personnes ont été secourues. Les 65 blessés, 59 légers et 6 graves, ont été répartis entre plusieurs hôpitaux.
Entre 30 et 40 ambulances et 13 casernes de pompiers sont intervenues, selon M. Bon.
Les circonstances exactes de cette intoxication collective restaient à déterminer vendredi matin, selon la PP.
Pour Philippe Bon, "l'intoxication s'est certainement produite à cause d'un chauffage défectueux ou de la salle mal aérée". "Mais ce sera à l'enquête en cours de déterminer les circonstances" des faits, a-t-il ajouté.
Le bâtiment, sur le point d'être vendu, était vide. "Il faisait très froid et les participants ont allumé des chauffages loués. Au bout d'un moment, il y a eu des malaises", a rapporté M. Bon.
Selon le directeur de cabinet du maire de Pantin, Philippe Bon, qui s'est rendu sur place, l'intoxication s'est produite dans un bâtiment appartenant à la Chambre des métiers de la Seine-Saint-Denis. Le réveillon était organisé par une association regroupant des Ivoiriens, le Rassemblement des Monterois
de France.
L'intoxication s'est produite à 02H10, a indiqué la PP. Au total 250 personnes ont été secourues. Les 65 blessés, 59 légers et 6 graves, ont été répartis entre plusieurs hôpitaux.
Entre 30 et 40 ambulances et 13 casernes de pompiers sont intervenues, selon M. Bon.
Les circonstances exactes de cette intoxication collective restaient à déterminer vendredi matin, selon la PP.
Pour Philippe Bon, "l'intoxication s'est certainement produite à cause d'un chauffage défectueux ou de la salle mal aérée". "Mais ce sera à l'enquête en cours de déterminer les circonstances" des faits, a-t-il ajouté.
Le bâtiment, sur le point d'être vendu, était vide. "Il faisait très froid et les participants ont allumé des chauffages loués. Au bout d'un moment, il y a eu des malaises", a rapporté M. Bon.