A moins d'une semaine de la Can 2010 en Angola, le président du Comité national de soutien aux Eléphants (Cnse) exprime ses inquiétudes.
Comment préparez-vous la Can 2010 qui aura lieu en Angola dans moins d'une semaine ?
Pour la Can 2010, on sait déjà que cela ne va pas être aisé étant donné que la destination Angola n'est pas facile d'accès. Il est plus facile de se rendre à Cabinda où nous jouons notre premier tour en passant par le Congo Brazzaville, plutôt que d'aller à Luanda. Il y a des difficultés de logements, des problèmes d'infrastructures. Il faut des allers et retours entre Pointe noire et Kabinda. A cela s'ajoute un coût de la vie extrêmement élevé. La nuitée dans les chambres d'hôtel coûte plusieurs centaines de dollars. Donc, on ne s'attend pas à une très grosse affluence.
Dans ces conditions, comment comptez-vous répondre aux besoins des supporters ivoiriens ?
Pour répondre aux besoins des Ivoiriens, le Cnse a prévu avec ses partenaires, d'animer des villages à Koumassi, à Yopougon, à Bouaké, à Korhogo et à Daloa.
Eu égard à ces difficultés que vous avez évoquées, il faut s'attendre à combien de supporters ivoiriens en Angola ?
L'année a été économiquement très difficile pour les Ivoiriens. Et le coût du voyage est très élevé. Il faut parler de plusieurs millions de francs Cfa si vous devez payer le billet d'avion aller-retour, le séjour selon le package que vous allez choisir. Mais nous allons nous organiser avec le ministère des Sports pour qu'il y ait un minimum de supporters présents pour soutenir notre équipe nationale.
Les premières missions du Cnse ont-elles déjà eu lieu en terre angolaise ?
Oui, il y a déjà eu des missions dans ce pays. On est en train de préparer maintenant des voyages pour l'Afrique du Sud.
Entretien réalisé par Cissé Cheick Ely
Comment préparez-vous la Can 2010 qui aura lieu en Angola dans moins d'une semaine ?
Pour la Can 2010, on sait déjà que cela ne va pas être aisé étant donné que la destination Angola n'est pas facile d'accès. Il est plus facile de se rendre à Cabinda où nous jouons notre premier tour en passant par le Congo Brazzaville, plutôt que d'aller à Luanda. Il y a des difficultés de logements, des problèmes d'infrastructures. Il faut des allers et retours entre Pointe noire et Kabinda. A cela s'ajoute un coût de la vie extrêmement élevé. La nuitée dans les chambres d'hôtel coûte plusieurs centaines de dollars. Donc, on ne s'attend pas à une très grosse affluence.
Dans ces conditions, comment comptez-vous répondre aux besoins des supporters ivoiriens ?
Pour répondre aux besoins des Ivoiriens, le Cnse a prévu avec ses partenaires, d'animer des villages à Koumassi, à Yopougon, à Bouaké, à Korhogo et à Daloa.
Eu égard à ces difficultés que vous avez évoquées, il faut s'attendre à combien de supporters ivoiriens en Angola ?
L'année a été économiquement très difficile pour les Ivoiriens. Et le coût du voyage est très élevé. Il faut parler de plusieurs millions de francs Cfa si vous devez payer le billet d'avion aller-retour, le séjour selon le package que vous allez choisir. Mais nous allons nous organiser avec le ministère des Sports pour qu'il y ait un minimum de supporters présents pour soutenir notre équipe nationale.
Les premières missions du Cnse ont-elles déjà eu lieu en terre angolaise ?
Oui, il y a déjà eu des missions dans ce pays. On est en train de préparer maintenant des voyages pour l'Afrique du Sud.
Entretien réalisé par Cissé Cheick Ely