our épargner Yamoussoukro de toutes surprises désagréables, œuvres des bandits de grands chemins pendant le saint sylvestre, la préfecture de police a déployé tous les moyens nécessaires.
102 éléments de la police, 60 de la gendarmerie nationale, tous sous la supervision de 10 officiers issus des deux corps, ont bouclé la ville de Yamoussoukro pendant la fête de fin d’année 2009. Pour maîtriser le terrain, le préfet de police de Yamoussoukro, le commissaire divisionnaire Gnepa Kola a garni l’effectif des agents de sécurité existant déjà aux trois corridors de la ville, avec des instructions fermes et claires quant à la sécurisation de toute la cité.’’ Vous devez rester soudés et vigilants à vos postes respectifs durant toute la nuitée .Votre mission est grande, et tachez de l’exercer selon les consignes données. Nous comptons sur vous » leur- a-t- il recommandé. Pour donner un cachet spécial à cette importante mesure de sécurité, le premier responsable de la police était entouré pour la circonstance de ses plus proches collaborateurs, entre autres, le Chef du district, les commissaires du premier et deuxième arrondissement de police, et enfin, du porte parole, le commissaire Samouka Diomandé. Profitant de cette occasion, le préfet de police a touché du doigt les difficultés auxquelles sont confrontés aujourd’hui ses services à Yamoussoukro. A en croire Gnépa, le manque de matériel roulant est un véritable handicap qui doit être rapidement corrigé pour lui permettre de multiplier d’effort dans le domaine de la sécurité qui doit répondre aux attentes de la population grandissante. La force note de la nuitée est que le véhicule de commandement du commissaire divisionnaire l’a lâché en pleine activité, au moment même où il tentait de se rendre dans les autres localités relevant de sa compétence .La bâchée du 2ème arrondissement qui conduisait la presse n’a pas pu arriver à destination, et l’a abandonnée en cours de chemin quelque part vers la fondation Félix Boigny Houphouët. Ces deux cas précis illustrent bien le calvaire de nos forces de sécurité avant, pendant et après le service. Vivement que quelque chose soit faite pour la police de Yamoussoukro qui ne mérite pas du tout cela. Que le transfert de la capitale soit effectif dans tous ses volets pour le bonheur de la population.
SAHI AUGUSTIN à Yamoussoukro
102 éléments de la police, 60 de la gendarmerie nationale, tous sous la supervision de 10 officiers issus des deux corps, ont bouclé la ville de Yamoussoukro pendant la fête de fin d’année 2009. Pour maîtriser le terrain, le préfet de police de Yamoussoukro, le commissaire divisionnaire Gnepa Kola a garni l’effectif des agents de sécurité existant déjà aux trois corridors de la ville, avec des instructions fermes et claires quant à la sécurisation de toute la cité.’’ Vous devez rester soudés et vigilants à vos postes respectifs durant toute la nuitée .Votre mission est grande, et tachez de l’exercer selon les consignes données. Nous comptons sur vous » leur- a-t- il recommandé. Pour donner un cachet spécial à cette importante mesure de sécurité, le premier responsable de la police était entouré pour la circonstance de ses plus proches collaborateurs, entre autres, le Chef du district, les commissaires du premier et deuxième arrondissement de police, et enfin, du porte parole, le commissaire Samouka Diomandé. Profitant de cette occasion, le préfet de police a touché du doigt les difficultés auxquelles sont confrontés aujourd’hui ses services à Yamoussoukro. A en croire Gnépa, le manque de matériel roulant est un véritable handicap qui doit être rapidement corrigé pour lui permettre de multiplier d’effort dans le domaine de la sécurité qui doit répondre aux attentes de la population grandissante. La force note de la nuitée est que le véhicule de commandement du commissaire divisionnaire l’a lâché en pleine activité, au moment même où il tentait de se rendre dans les autres localités relevant de sa compétence .La bâchée du 2ème arrondissement qui conduisait la presse n’a pas pu arriver à destination, et l’a abandonnée en cours de chemin quelque part vers la fondation Félix Boigny Houphouët. Ces deux cas précis illustrent bien le calvaire de nos forces de sécurité avant, pendant et après le service. Vivement que quelque chose soit faite pour la police de Yamoussoukro qui ne mérite pas du tout cela. Que le transfert de la capitale soit effectif dans tous ses volets pour le bonheur de la population.
SAHI AUGUSTIN à Yamoussoukro