Pour préparer la relance économique post-crise, le gouvernement rendra bientôt publique son plan à la bonne gouvernance.
Mettre à niveau son cadre macro-économique et permettre de respecter les standards en matière de gestion des ressources publiques, tel est le contenu du plan de bonne gouvernance que la Côte d’Ivoire s’apprête à présenter. La gouvernance est un concept qui revêt de multiples significations et prête à de nombreux usages. Ce terme est utilisé dans des domaines aussi divers que la politique, l’économie, l’administration publique, le développement durable et les relations internationales. Face donc aux nombreux défis de l’après- crise, le gouvernement, avec à sa tête le président Laurent Gbagbo a décidé d’éditer une sorte de charte de la bonne gouvernance. Une boussole qui doit guider tous les responsables de l’administration publique dans la gestion quotidienne des affaires de l’Etat. Ce plan qui sera présenté dans quelques semaines à la communauté nationale et internationale, est l’ensemble des mesures, des règles, des organes de décision, d’information et de surveillance qui permettront d’assurer le bon fonctionnement et le contrôle de l’Etat, d’une institution ou d’une organisation, qu’elle soit publique ou privée, régionale, nationale ou internationale. La gouvernance, qui est devenue dans le monde entier le principe qui guide tous les Etats civilisés , a pour but de fournir l’orientation stratégique, de s’assurer que les objectifs sont atteints, que les risques sont gérés comme il faut et que les ressources sont utilisées dans un esprit responsable. Le plan de gouvernance du gouvernement Ivoirien repose sur quatre principes fondamentaux. Notamment, la responsabilité, la transparence, l’Etat de droit et la participation. Il s’agit de la promotion de l’Etat de droit et de la démocratie qui se traduisent par le respect scrupuleux des règles édictées; Au plan économique, ce concept induit la transparence de la gestion de l’ensemble des ressources ; au plan social, il indique la promotion de l’éthique et de l’égalité, et suppose une implication effective des différents acteurs de la société. Les objectifs recherchés par ce plan de la bonne gouvernance sont de doter la société de ressources humaines qualifiées et compétentes et d’un cadre institutionnel d’action transparente, efficiente où tous les acteurs du développement jouent pleinement leur rôle pour atteindre les objectifs .Ce concept apparaît donc comme un instrument majeur de conduite efficace des programmes de développement.
JC KORE
Mettre à niveau son cadre macro-économique et permettre de respecter les standards en matière de gestion des ressources publiques, tel est le contenu du plan de bonne gouvernance que la Côte d’Ivoire s’apprête à présenter. La gouvernance est un concept qui revêt de multiples significations et prête à de nombreux usages. Ce terme est utilisé dans des domaines aussi divers que la politique, l’économie, l’administration publique, le développement durable et les relations internationales. Face donc aux nombreux défis de l’après- crise, le gouvernement, avec à sa tête le président Laurent Gbagbo a décidé d’éditer une sorte de charte de la bonne gouvernance. Une boussole qui doit guider tous les responsables de l’administration publique dans la gestion quotidienne des affaires de l’Etat. Ce plan qui sera présenté dans quelques semaines à la communauté nationale et internationale, est l’ensemble des mesures, des règles, des organes de décision, d’information et de surveillance qui permettront d’assurer le bon fonctionnement et le contrôle de l’Etat, d’une institution ou d’une organisation, qu’elle soit publique ou privée, régionale, nationale ou internationale. La gouvernance, qui est devenue dans le monde entier le principe qui guide tous les Etats civilisés , a pour but de fournir l’orientation stratégique, de s’assurer que les objectifs sont atteints, que les risques sont gérés comme il faut et que les ressources sont utilisées dans un esprit responsable. Le plan de gouvernance du gouvernement Ivoirien repose sur quatre principes fondamentaux. Notamment, la responsabilité, la transparence, l’Etat de droit et la participation. Il s’agit de la promotion de l’Etat de droit et de la démocratie qui se traduisent par le respect scrupuleux des règles édictées; Au plan économique, ce concept induit la transparence de la gestion de l’ensemble des ressources ; au plan social, il indique la promotion de l’éthique et de l’égalité, et suppose une implication effective des différents acteurs de la société. Les objectifs recherchés par ce plan de la bonne gouvernance sont de doter la société de ressources humaines qualifiées et compétentes et d’un cadre institutionnel d’action transparente, efficiente où tous les acteurs du développement jouent pleinement leur rôle pour atteindre les objectifs .Ce concept apparaît donc comme un instrument majeur de conduite efficace des programmes de développement.
JC KORE
