Depuis quelques jours, certaines personnes, particulièrement connues pour leur insatiabilité, ont décidé de trainer le nom du Directeur général du Port Autonome d’Abidjan (PAA) dans la boue.
Ces personnes en quête de publicité n’ont trouvé aucun autre argument que celui d’être menacées de mort par M. Marcel Gossio, cet honorable et digne serviteur de la Nation. Il y a des gens qu’on ne sait plus où classer dans notre Eburnie. Tantôt proches du pouvoir quand cela les enchante, tantôt vilipendeurs No 1 de ce même pouvoir qu’ils disent pourtant prêts à défendre.
Comme des sorciers, ils tentent quotidiennement à détruire l’essence même de ce pouvoir. Qu’a bien pu faire Marcel Gossio, Directeur Général du port autonome d’Abidjan pour que son épouse, ses plus proches collaborateurs et lui-même soient ainsi traités ? Le dimanche 03 janvier dernier, lorsque nous bouclions tranquillement le journal du peuple, un message aussi long que curieux viendra nous importuner. Dans ce message l’on pouvait lire entre autres : ‘’Gossio, en présence du général Guiai Bi Poin, m’a séquestré avant de me menacer de mort avec une arme à feu’’. Le journal du peuple est donc invité à titrer ces accusations aussi graves contre un cadre de la République sans aucune vérification. ‘’Notre Défi’’, toujours en quête du professionnalisme irréprochable, essaie alors de mener sa petite enquête. Malheureusement, nous nous sommes très vite rendu compte qu’il s’agissait d’une mise en scène grotesque d’un individu aux abois qui s’est volontairement contredit dans l’espoir de recevoir quelques billets de banque. En effet, dans l’une de ses rares parutions, celui qu’on ne sait plus comment appeler a traité de tous les noms de singe celui qui, malgré la guerre imposée à la Côte d’Ivoire, a pris son bâton de pèlerin pour ramener tous les opérateurs économiques des pays voisins qui avaient tourné le dos au PAA.
Dans ses diatribes précédés de messages de menaces, ‘’le Jocker tout partout’’ n’aura pas hésité à lancer des piques à cette innocente Dame qui n’est autre que l’épouse de M. Marcel Gossio.
Qu’avait-elle à avoir dans une affaire de chantage? (‘’si tu ne me donnes pas de l’argent, j’écris contre toi’’). Un message adressé à son époux. Dans ce pays, nous avons tous été témoins des imprimeries qui ont imprimé les billets qui ont conduit aux tristes évènements du stade Félix Houphouët Boigny. Nulle part, nous n’avions entendu le nom de Madame Gossio. Les mêmes qui avaient mené une campagne d’intoxication qui a conduit à l’incendie de la villa du couple Gossio, ne semblent pas avoir dit leur dernier mot. Après la villa, ils estiment désormais nécessaire de mettre la vie de cette paisible Dame en danger, en lui prêtant des faits qui sont loin de la réalité.
C’est pour se faire comprendre que le président de la communauté portuaire d’Abidjan, Commandeur dans l’ordre national, dont les mérites sont reconnues au-delà de la Lagune Ebrié, aurait, selon des sources concordantes, invité celui qu’il croyait son frère, en présence du général Guiai Bi Poin. Une fois à son bureau, le DG du poumon économique de Côte d’Ivoire lui aurait posé juste une question. Selon notre source digne de foi, Marcel Gossio aurait demandé à son interlocuteur de lui expliquer ce que son épouse a bien pu lui faire au point de l’exposer à la vindicte populaire. Et pourtant M. Gossio avait financé son mariage. L’homme restera muet quelques instants avant de déclarer qu’il n’est pas l’auteur des écrits et qu’il ne contrôlerait même plus son périodique. Il promettra ensuite de mettre tout en œuvre pour que l’erreur soit corrigée.
Retourné chez lui, l’homme a appelé M. Marcel Gossio pour lui annoncer que la correction a été déjà faite. ‘’Tant mieux’’, lui aurait rétorqué celui dont l’épouse a été vilipendée. Malheureusement pour cette histoire qui semble bien finie, l’éternel insatiable réclamera une enveloppe kaki à celui dont la photo n’a jamais manqué dans le canard lorsqu’il a la possibilité de paraître quelque fois.
Gossio ne mange hélas pas à cette sauce. ‘’Après m’avoir insulté comme un malpropre, imaginé des faits sur mon épouse, tu veux que je te donne de l’argent pour aller te soigner en France ? Je suis sincèrement désolé. Je ne le ferai jamais’’, aurait répondu celui qui a réussi le pari de la certification du PAA au code ISPS en 2004 et ISO 9001 en 2008 et qui est aussi récipiendaire du grand prix de l’intégration africaine décerné par la radio “Africa N°1”. Son interlocuteur la bouclera jusqu’aux bords de la Seine. De là-bas, il réactionne ses hommes qui publient des tracts sur ‘’Abidjan. Net’’. C’est le lieu d’interpeller les responsables ‘’d’Abidjan. Net’’ afin que leur noble mission ne soit pas ternie par des nageurs en eau trouble. Avant de mettre des articles sur leur portail, il faudrait qu’ils se rassurent de la présence effective du journal sur le marché. En tout cas, tous ces gens pour qui la vie est une facilité, ont encore échoué. Car Marcel Gossio a vraiment plus important à faire que de tirer sur…
Youssouf Tampiri
Ces personnes en quête de publicité n’ont trouvé aucun autre argument que celui d’être menacées de mort par M. Marcel Gossio, cet honorable et digne serviteur de la Nation. Il y a des gens qu’on ne sait plus où classer dans notre Eburnie. Tantôt proches du pouvoir quand cela les enchante, tantôt vilipendeurs No 1 de ce même pouvoir qu’ils disent pourtant prêts à défendre.
Comme des sorciers, ils tentent quotidiennement à détruire l’essence même de ce pouvoir. Qu’a bien pu faire Marcel Gossio, Directeur Général du port autonome d’Abidjan pour que son épouse, ses plus proches collaborateurs et lui-même soient ainsi traités ? Le dimanche 03 janvier dernier, lorsque nous bouclions tranquillement le journal du peuple, un message aussi long que curieux viendra nous importuner. Dans ce message l’on pouvait lire entre autres : ‘’Gossio, en présence du général Guiai Bi Poin, m’a séquestré avant de me menacer de mort avec une arme à feu’’. Le journal du peuple est donc invité à titrer ces accusations aussi graves contre un cadre de la République sans aucune vérification. ‘’Notre Défi’’, toujours en quête du professionnalisme irréprochable, essaie alors de mener sa petite enquête. Malheureusement, nous nous sommes très vite rendu compte qu’il s’agissait d’une mise en scène grotesque d’un individu aux abois qui s’est volontairement contredit dans l’espoir de recevoir quelques billets de banque. En effet, dans l’une de ses rares parutions, celui qu’on ne sait plus comment appeler a traité de tous les noms de singe celui qui, malgré la guerre imposée à la Côte d’Ivoire, a pris son bâton de pèlerin pour ramener tous les opérateurs économiques des pays voisins qui avaient tourné le dos au PAA.
Dans ses diatribes précédés de messages de menaces, ‘’le Jocker tout partout’’ n’aura pas hésité à lancer des piques à cette innocente Dame qui n’est autre que l’épouse de M. Marcel Gossio.
Qu’avait-elle à avoir dans une affaire de chantage? (‘’si tu ne me donnes pas de l’argent, j’écris contre toi’’). Un message adressé à son époux. Dans ce pays, nous avons tous été témoins des imprimeries qui ont imprimé les billets qui ont conduit aux tristes évènements du stade Félix Houphouët Boigny. Nulle part, nous n’avions entendu le nom de Madame Gossio. Les mêmes qui avaient mené une campagne d’intoxication qui a conduit à l’incendie de la villa du couple Gossio, ne semblent pas avoir dit leur dernier mot. Après la villa, ils estiment désormais nécessaire de mettre la vie de cette paisible Dame en danger, en lui prêtant des faits qui sont loin de la réalité.
C’est pour se faire comprendre que le président de la communauté portuaire d’Abidjan, Commandeur dans l’ordre national, dont les mérites sont reconnues au-delà de la Lagune Ebrié, aurait, selon des sources concordantes, invité celui qu’il croyait son frère, en présence du général Guiai Bi Poin. Une fois à son bureau, le DG du poumon économique de Côte d’Ivoire lui aurait posé juste une question. Selon notre source digne de foi, Marcel Gossio aurait demandé à son interlocuteur de lui expliquer ce que son épouse a bien pu lui faire au point de l’exposer à la vindicte populaire. Et pourtant M. Gossio avait financé son mariage. L’homme restera muet quelques instants avant de déclarer qu’il n’est pas l’auteur des écrits et qu’il ne contrôlerait même plus son périodique. Il promettra ensuite de mettre tout en œuvre pour que l’erreur soit corrigée.
Retourné chez lui, l’homme a appelé M. Marcel Gossio pour lui annoncer que la correction a été déjà faite. ‘’Tant mieux’’, lui aurait rétorqué celui dont l’épouse a été vilipendée. Malheureusement pour cette histoire qui semble bien finie, l’éternel insatiable réclamera une enveloppe kaki à celui dont la photo n’a jamais manqué dans le canard lorsqu’il a la possibilité de paraître quelque fois.
Gossio ne mange hélas pas à cette sauce. ‘’Après m’avoir insulté comme un malpropre, imaginé des faits sur mon épouse, tu veux que je te donne de l’argent pour aller te soigner en France ? Je suis sincèrement désolé. Je ne le ferai jamais’’, aurait répondu celui qui a réussi le pari de la certification du PAA au code ISPS en 2004 et ISO 9001 en 2008 et qui est aussi récipiendaire du grand prix de l’intégration africaine décerné par la radio “Africa N°1”. Son interlocuteur la bouclera jusqu’aux bords de la Seine. De là-bas, il réactionne ses hommes qui publient des tracts sur ‘’Abidjan. Net’’. C’est le lieu d’interpeller les responsables ‘’d’Abidjan. Net’’ afin que leur noble mission ne soit pas ternie par des nageurs en eau trouble. Avant de mettre des articles sur leur portail, il faudrait qu’ils se rassurent de la présence effective du journal sur le marché. En tout cas, tous ces gens pour qui la vie est une facilité, ont encore échoué. Car Marcel Gossio a vraiment plus important à faire que de tirer sur…
Youssouf Tampiri