Ils seront les plus visés, les plus chassés par les objectifs et caméras, les plus adulés par le public et surtout, les plus suivis de près par la planète football. Eux, ce sont les stars, les grosses vedettes du ballon rond qui marqueront, certainement de leur empreinte, cette 27ème édition de la CAN qui débute en Angola le 10 janvier prochain.
Drogba et Eto’o mènent le bal
Ce sont les deux plus grands acteurs du football africain en activité ces dernières années. L’Ivoirien Didier Drogba et le Camerounais sont les deux giga star du mondial qui animeront, chacun avec son pays cette compétition. Amis et adversaires et souvent opposés, Eto’o et Didier remettront, malgré eux au goût du jour la fameuse rivalité que leurs fans entretiennent dans leur esprit et dans les foyers et autres coins de causette.
Comme en 2006 et 2008, l’attaquant de Chelsea conduira la grande formation des Eléphants. Une équipe à l’allure galactique tant les individualités qui la composent forcent respect et admiration. Finaliste en Egypte et demi-finaliste au Ghana, la star ivoirienne n’aura qu’un seul rêve. Celui de soulever le trophée au soir du 31 janvier dans le stade du 11 novembre de Luanda. Pour cela, le ballon d’or africain de 2007 devra transmettre sa rage et sa fougue à ses coéquipiers. Vu l’entame de saison qu’il connaît avec les Blues, Didier qui pèse 41 buts sous les couleurs nationales risque de faire exploser cette CAN s’il est épargné par les blessures.
Que dire de Samuel Eto’o. Rien sinon qu’il tiendra son rang dans une équipe camerounaise qui revient de loin. Après des éliminatoires en dents de scie, les Lions indomptables se sont remis dans le bon sens pour composter leur ticket aussi bien pour le mondial que pour cette CAN. Et l’un des grands artisans de ce succès n’est autre que le sociétaire de l’Inter Milan. Le champion d’Europe en titre (avec le FC Barcelone) sera sous les feux des projecteurs et illuminera, sans aucun doute, cette compétition qu’il a déjà remportée à deux reprises (2000 et 2002).
Voila qui en rajoutera à la rivalité réelle ou supposée entre ces deux montres du football africain qui d’ailleurs sont encore en course pour le titre de meilleur joueur africain 2009.
Côte d’Ivoire et Mali : tanières de stars
Il est vrai que DD et Eto’o mènent le bal des vedettes de cette CAN angolaise mais il n’en demeure pas moins que d’autres joueurs tout aussi talentueux animeront ce grand rendez-vous. Et la Côte d’Ivoire, à ce niveau, mène la danse avec une pléiade de stars. A commencer par celui, qui assurément aura été le meilleur africain de 2009. L’international ivoirien du FC Barcelone, Touré Yaya Gnégnéri. Le Blaugrana qui a tout raflé sur la planète avec son club sera très attendu en Angola. Avec lui son frère ainé de Manchester City. Kolo Abib, le second capitaine des Eléphants est également une star mondiale qui donnera à la CAN angolaise une autre dimension. Que dire du Blue, Salomon Kalou, du Sevillan Didier Maestro Zokora, d’Aruna Dindane, Gervinho, Kader Kéita, Emmanuel Eboué d’Arsenal, Boka Arthur de Stuttgart, de Chico de Valenciennes…rien que de grandes pointures qui font de la Côte d’Ivoire une constellations de vedettes.
Mais, le Mali aussi peut se vanter d’avoir des grosses têtes du football dans ses rangs. Le Barcelonais Seydou Kéita, le madrilène Mahamadou Diarra, le Sevillan Frédéric Kanouté, le turinois Mohamed Cissoko attireront le plus les regards du monde footballistique. Le Cameroun, à un degré moindre, emboîte le pas à la Côte d’Ivoire et au Mali. En plus de Samuel Eto’o, Rigobert Song, Jeremy Njitap, Womé, Alexandre Song et Jean II Makoun ne passeront pas inaperçus.
Les autres vedettes
La CAN angolaise manquera de tout sauf de grands noms du football. Il est vrai que des blessures ont barré la route de l’ancienne colonie portugaise à des talents comme Abou Treka, Amr Zaki, Adama Police, Mensah… et certains pays avec de grands noms n’ont pu se qualifier mais il est également vrai que des talents confirmés feront la fête sur les stades de Luanda, Cabinda, Lubango et Benguela. L’Algérie pourra compter sur son maître à jouer, Karim Ziani de Wolfsburg et de son dribleur fou, Rafik Saïfi qui évolue au Qatar. Stéphane Sessegnon, le parisien animera le jeu des Ecureuils du Benin quand chez son voisin togolais, le Citizen, Emmanuel Adebayor mènera les Eperviers. Chez les Blacks stars, le londonien, Michael Essien sera la véritable grosse star de son groupe. Il souffrira certainement de l’absence de son copain et star intériste, Sulley Muntari (non convoqué pour cause d’indiscipline). Mais il ne sera pas tout à fait orphelin. Son équipier de Chelsea, Obi John Mikel sera bien présent avec les Super Eagles du Nigeria. Le milieu défensif des Blues sera au rendez-vous avec des têtes plus que connues que sont Kanu, Martins, Yakubu Aiyegbeni et Peter Odemwingie.
A tous ces noms, s’ajoutent les jeunes poussent qui attendent d’exploser pour se faire une place au soleil du football africain et mondial, il est aisé d’affirmer que la CAN angolaise ne manquera pas d’attrait.
Koné Lassina
Drogba et Eto’o mènent le bal
Ce sont les deux plus grands acteurs du football africain en activité ces dernières années. L’Ivoirien Didier Drogba et le Camerounais sont les deux giga star du mondial qui animeront, chacun avec son pays cette compétition. Amis et adversaires et souvent opposés, Eto’o et Didier remettront, malgré eux au goût du jour la fameuse rivalité que leurs fans entretiennent dans leur esprit et dans les foyers et autres coins de causette.
Comme en 2006 et 2008, l’attaquant de Chelsea conduira la grande formation des Eléphants. Une équipe à l’allure galactique tant les individualités qui la composent forcent respect et admiration. Finaliste en Egypte et demi-finaliste au Ghana, la star ivoirienne n’aura qu’un seul rêve. Celui de soulever le trophée au soir du 31 janvier dans le stade du 11 novembre de Luanda. Pour cela, le ballon d’or africain de 2007 devra transmettre sa rage et sa fougue à ses coéquipiers. Vu l’entame de saison qu’il connaît avec les Blues, Didier qui pèse 41 buts sous les couleurs nationales risque de faire exploser cette CAN s’il est épargné par les blessures.
Que dire de Samuel Eto’o. Rien sinon qu’il tiendra son rang dans une équipe camerounaise qui revient de loin. Après des éliminatoires en dents de scie, les Lions indomptables se sont remis dans le bon sens pour composter leur ticket aussi bien pour le mondial que pour cette CAN. Et l’un des grands artisans de ce succès n’est autre que le sociétaire de l’Inter Milan. Le champion d’Europe en titre (avec le FC Barcelone) sera sous les feux des projecteurs et illuminera, sans aucun doute, cette compétition qu’il a déjà remportée à deux reprises (2000 et 2002).
Voila qui en rajoutera à la rivalité réelle ou supposée entre ces deux montres du football africain qui d’ailleurs sont encore en course pour le titre de meilleur joueur africain 2009.
Côte d’Ivoire et Mali : tanières de stars
Il est vrai que DD et Eto’o mènent le bal des vedettes de cette CAN angolaise mais il n’en demeure pas moins que d’autres joueurs tout aussi talentueux animeront ce grand rendez-vous. Et la Côte d’Ivoire, à ce niveau, mène la danse avec une pléiade de stars. A commencer par celui, qui assurément aura été le meilleur africain de 2009. L’international ivoirien du FC Barcelone, Touré Yaya Gnégnéri. Le Blaugrana qui a tout raflé sur la planète avec son club sera très attendu en Angola. Avec lui son frère ainé de Manchester City. Kolo Abib, le second capitaine des Eléphants est également une star mondiale qui donnera à la CAN angolaise une autre dimension. Que dire du Blue, Salomon Kalou, du Sevillan Didier Maestro Zokora, d’Aruna Dindane, Gervinho, Kader Kéita, Emmanuel Eboué d’Arsenal, Boka Arthur de Stuttgart, de Chico de Valenciennes…rien que de grandes pointures qui font de la Côte d’Ivoire une constellations de vedettes.
Mais, le Mali aussi peut se vanter d’avoir des grosses têtes du football dans ses rangs. Le Barcelonais Seydou Kéita, le madrilène Mahamadou Diarra, le Sevillan Frédéric Kanouté, le turinois Mohamed Cissoko attireront le plus les regards du monde footballistique. Le Cameroun, à un degré moindre, emboîte le pas à la Côte d’Ivoire et au Mali. En plus de Samuel Eto’o, Rigobert Song, Jeremy Njitap, Womé, Alexandre Song et Jean II Makoun ne passeront pas inaperçus.
Les autres vedettes
La CAN angolaise manquera de tout sauf de grands noms du football. Il est vrai que des blessures ont barré la route de l’ancienne colonie portugaise à des talents comme Abou Treka, Amr Zaki, Adama Police, Mensah… et certains pays avec de grands noms n’ont pu se qualifier mais il est également vrai que des talents confirmés feront la fête sur les stades de Luanda, Cabinda, Lubango et Benguela. L’Algérie pourra compter sur son maître à jouer, Karim Ziani de Wolfsburg et de son dribleur fou, Rafik Saïfi qui évolue au Qatar. Stéphane Sessegnon, le parisien animera le jeu des Ecureuils du Benin quand chez son voisin togolais, le Citizen, Emmanuel Adebayor mènera les Eperviers. Chez les Blacks stars, le londonien, Michael Essien sera la véritable grosse star de son groupe. Il souffrira certainement de l’absence de son copain et star intériste, Sulley Muntari (non convoqué pour cause d’indiscipline). Mais il ne sera pas tout à fait orphelin. Son équipier de Chelsea, Obi John Mikel sera bien présent avec les Super Eagles du Nigeria. Le milieu défensif des Blues sera au rendez-vous avec des têtes plus que connues que sont Kanu, Martins, Yakubu Aiyegbeni et Peter Odemwingie.
A tous ces noms, s’ajoutent les jeunes poussent qui attendent d’exploser pour se faire une place au soleil du football africain et mondial, il est aisé d’affirmer que la CAN angolaise ne manquera pas d’attrait.
Koné Lassina
