Il y a des choses extrêmement gênantes dans les propos ou déclarations du sélectionneur Franco-Bosniaque des Eléphants de Côte d’Ivoire, Vahid Halilhodzic. On se demande bien ce qu’il a à aller soudain dans tous les sens comme cela ?
Et nous n’allons pas revenir sur les négociations qu’il entretenait avec certains clubs au moment ou il avait la responsabilité des éliminatoires avec l’équipe nationale … D’abord il nous parle longuement, avant de quitter Abidjan, d’une douloureuse et inquiétante blessure de Didier Drogba. « Son tendon d’achille enfle, je suis très inquiet, il lui faut beaucoup de repos…». Notre surprise est grande de voir jouer le capitaine des Eléphants contre la Tanzanie quelques jours après, dans une opposition sans aucune importance qui aurait dû permettre à ceux qui ne jouent pas beaucoup ou qui ont besoin de matches (Aruna, Kader, Baky) de se mettre en forme. Ce qu’on ne comprend pas encore, c’est que si Vahid voulait bluffer, il aurait dû laisser « son blessé » de côté jusqu’au premier match du 11 janvier contre le Burkina Faso pour l’aligner. Pour ainsi surprendre les techniciens adverses qui avaient entre temps changé de parade défensive face à une attaque ivoirienne supposée se produire sans Drogba. D’autre part, si Vahid ne voulait pas faire diversion, on peut affirmer qu’il a pris un risque énorme en alignant Didier Drogba en Tanzanie, il y a trois jours. Les deux thèses ne sont pas intelligibles, comme le fait de parler en conférence de presse de son intention de changer la fonction de Yaya Touré sur le terrain. Mieux, on se souvient de sa phrase en conférence de presse avant de quitter le Golf hôtel d’Abidjan, narguant les journalistes : « …et vous croyez qu’en cas d’échec ce sera de ma faute ? »
. Bizarre que personne n’ait surgi pour lui crier « Bien évidemment ! ». Enfin le comble, c’est quand coach Vahid jure de ne jamais démissionner en cas d’objectif non atteint. Et tout cela, alors que dans sa période de préparation c’est lui, en premier, qui devrait veiller au calme et à la sérénité. Pendant ce temps, chez les autres ça bosse et … ça bavarde moins. Du coup, l’on se remet à se demander pourquoi tous les « grands » sélectionneurs étrangers qu’on a aimés n’ont pas voulu rester. Notamment Henry Kasperczak. Sous sa férule, l’équipe de Côte d’Ivoire fonctionnait bien, enchantait la foule. Il n’a certes pas gagné en 1994 en Tunisie mais quelles prestations de hautes volées ses poulains nous servaient à chaque match. Le public sportif ivoirien, lui, l’aimait, le respectait. Ce qui prouve que ce n’est pas un public difficile. Que Vahid se calme un peu et ne se trompe surtout pas …
ebony1fadel@hotmail.com
Et nous n’allons pas revenir sur les négociations qu’il entretenait avec certains clubs au moment ou il avait la responsabilité des éliminatoires avec l’équipe nationale … D’abord il nous parle longuement, avant de quitter Abidjan, d’une douloureuse et inquiétante blessure de Didier Drogba. « Son tendon d’achille enfle, je suis très inquiet, il lui faut beaucoup de repos…». Notre surprise est grande de voir jouer le capitaine des Eléphants contre la Tanzanie quelques jours après, dans une opposition sans aucune importance qui aurait dû permettre à ceux qui ne jouent pas beaucoup ou qui ont besoin de matches (Aruna, Kader, Baky) de se mettre en forme. Ce qu’on ne comprend pas encore, c’est que si Vahid voulait bluffer, il aurait dû laisser « son blessé » de côté jusqu’au premier match du 11 janvier contre le Burkina Faso pour l’aligner. Pour ainsi surprendre les techniciens adverses qui avaient entre temps changé de parade défensive face à une attaque ivoirienne supposée se produire sans Drogba. D’autre part, si Vahid ne voulait pas faire diversion, on peut affirmer qu’il a pris un risque énorme en alignant Didier Drogba en Tanzanie, il y a trois jours. Les deux thèses ne sont pas intelligibles, comme le fait de parler en conférence de presse de son intention de changer la fonction de Yaya Touré sur le terrain. Mieux, on se souvient de sa phrase en conférence de presse avant de quitter le Golf hôtel d’Abidjan, narguant les journalistes : « …et vous croyez qu’en cas d’échec ce sera de ma faute ? »
. Bizarre que personne n’ait surgi pour lui crier « Bien évidemment ! ». Enfin le comble, c’est quand coach Vahid jure de ne jamais démissionner en cas d’objectif non atteint. Et tout cela, alors que dans sa période de préparation c’est lui, en premier, qui devrait veiller au calme et à la sérénité. Pendant ce temps, chez les autres ça bosse et … ça bavarde moins. Du coup, l’on se remet à se demander pourquoi tous les « grands » sélectionneurs étrangers qu’on a aimés n’ont pas voulu rester. Notamment Henry Kasperczak. Sous sa férule, l’équipe de Côte d’Ivoire fonctionnait bien, enchantait la foule. Il n’a certes pas gagné en 1994 en Tunisie mais quelles prestations de hautes volées ses poulains nous servaient à chaque match. Le public sportif ivoirien, lui, l’aimait, le respectait. Ce qui prouve que ce n’est pas un public difficile. Que Vahid se calme un peu et ne se trompe surtout pas …
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