Le sélectionneur ivoirien a reconnu, hier, avoir été, lui et son groupe profondément touché par ce qui est arrivé au Togo. Lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant-match, Vahid s’est dit «triste que le football soit rattrapé par le terrorisme». Mais le franco-bosniaque a annoncé la volonté de son groupe de poursuivre la compétition pour, selon lui, résister au terrorisme. Même s’il reconnaît que cet incident a pu avoir une incidence sur le moral de sa troupe. C’est pourquoi, il se propose de les remonter psychologiquement avant ce premier match face au Burkina Faso. Une rencontre qui sera «un autre match», selon le patron du banc ivoirien. «Il faut oublier les deux victoires face au Burkina Faso et se dire que ce match sera différent». Coach Vahid affirme connaître le rêve des Etalons qui, dira-t-il, n’est autre que de battre la Côte d’Ivoire. Il compte sur son équipe pour faire un bon match surtout que la préparation en Tanzanie a été, à l’en croire, bonne. «Nous avons fait de bons matchs et j’ai pu essayer tous mes joueurs», a-t-il confié. Poursuivant, il a souhaité que son équipe se libère de la psychose pour être «bien présente» aujourd’hui.
Côté joueurs, coach Vahid se veut rassurant car selon lui son groupe, à l’exception d’un ou deux éléments, se porte bien. Même si l’homme n’a pas voulu dévoiler l’identité des deux joueurs qui traînent quelques bobos, on devine aisément que Guy Demel, qui a traîné les pieds en Tanzanie, n’est pas au mieux de sa forme. Pour le reste, Vahid peut compter sur 98% de son effectif avant d’affronter, cet après-midi, les Etalons Burkinabés au Stade National de Chiazi à 17 heures (TU).
Copa à 100%
Il n’y a aucun doute. C’est Barry Boubacar dit Copa qui gardera les perches des Eléphants. Le numéro Un ivoirien, qui revient d’une longue période de blessure, a la confiance de son coach. «Je ne sais pas s’il va atteindre sa forme maximale mais je fais confiance au talent de Barry. Je lui donne ma confiance totale». Voila qui met fin au débat sur ce qui sera le rempart ivoirien.
Tête de série du groupe B, la Côte d’Ivoire entre en compétition dans cette CAN, cet après-midi, face au Burkina Faso. Un premier piège dans une poule qui se disputera à trois après le retrait du Togo.
Koné Lassiné, envoyé spécial à Cabinda
Côté joueurs, coach Vahid se veut rassurant car selon lui son groupe, à l’exception d’un ou deux éléments, se porte bien. Même si l’homme n’a pas voulu dévoiler l’identité des deux joueurs qui traînent quelques bobos, on devine aisément que Guy Demel, qui a traîné les pieds en Tanzanie, n’est pas au mieux de sa forme. Pour le reste, Vahid peut compter sur 98% de son effectif avant d’affronter, cet après-midi, les Etalons Burkinabés au Stade National de Chiazi à 17 heures (TU).
Copa à 100%
Il n’y a aucun doute. C’est Barry Boubacar dit Copa qui gardera les perches des Eléphants. Le numéro Un ivoirien, qui revient d’une longue période de blessure, a la confiance de son coach. «Je ne sais pas s’il va atteindre sa forme maximale mais je fais confiance au talent de Barry. Je lui donne ma confiance totale». Voila qui met fin au débat sur ce qui sera le rempart ivoirien.
Tête de série du groupe B, la Côte d’Ivoire entre en compétition dans cette CAN, cet après-midi, face au Burkina Faso. Un premier piège dans une poule qui se disputera à trois après le retrait du Togo.
Koné Lassiné, envoyé spécial à Cabinda
