La Côte d'Ivoire, accrochée 0-0 par le Burkina Faso, et surtout l'Algérie, vaincue 3-0 par le Malawi, ont raté lundi leur entrée dans la Coupe d'Afrique des Nations dont le Togo a été finalement exclu.
L'équipe togolaise est repartie dimanche soir à Lomé après l'attaque meurtrière dont elle a été victime vendredi et la Confédération africaine de football a décidé de l'exclure du tournoi en cas de forfait lundi soir contre le Ghana, dont le coup d'envoi est prévu à 19h30 (18h30 GMT).
A Luanda, l'Algérie s'est fait piéger par le Malawi, qui a pris seul les commandes du groupe A au lendemain du nul 4-4 entre l'Angola, pays hôte, et le Mali.
Le Malawi n'avait jamais remporté un seul match en Coupe d'Afrique des Nations, dans laquelle il effectue seulement sa deuxième apparition après une première participation en 1984.
Dans un stade du 11-Novembre quasi désert, le Malawi a pris deux buts d'avance en première période par Russell Mwafulirwa, qui a profité d'un dégagement raté de la défense algérienne, et Elvis Kafoteka de la tête.
Davi Banda a douché les espoirs algériens d'un éventuel renversement de situation en seconde période en inscrivant le troisième but du Malawi dès le retour des vestiaires.
A Cabinda, la Côte d'Ivoire a monopolisé le ballon en vain en se montrant incapable de transpercer la muraille défensive érigée par le Burkina Faso dans le groupe B, celui du Togo.
Le Marseillais Bakari Koné a notamment manqué trois occasions nettes et Didier Drogba est apparu loin de son meilleur niveau.
Le match a été précédé d'une minute de silence en hommage à l'entraîneur adjoint et à l'attaché de presse de l'équipe du Togo, tués dans le mitraillage de leur autocar vendredi à leur arrivée dans l'enclave de Cabinda en provenance du Congo. Cette attaque a été revendiquée par des rebelles séparatistes du Front de libération de l'Etat de Cabinda (Flec).
La sécurité avait été renforcée dans et autour du stade Chiazi avec notamment des fouilles de voitures et le survol de l'enceinte par un hélicoptère avant le coup d'envoi.
Avec Henrique Almeida à Luanda, version française Bertrand Boucey
L'équipe togolaise est repartie dimanche soir à Lomé après l'attaque meurtrière dont elle a été victime vendredi et la Confédération africaine de football a décidé de l'exclure du tournoi en cas de forfait lundi soir contre le Ghana, dont le coup d'envoi est prévu à 19h30 (18h30 GMT).
A Luanda, l'Algérie s'est fait piéger par le Malawi, qui a pris seul les commandes du groupe A au lendemain du nul 4-4 entre l'Angola, pays hôte, et le Mali.
Le Malawi n'avait jamais remporté un seul match en Coupe d'Afrique des Nations, dans laquelle il effectue seulement sa deuxième apparition après une première participation en 1984.
Dans un stade du 11-Novembre quasi désert, le Malawi a pris deux buts d'avance en première période par Russell Mwafulirwa, qui a profité d'un dégagement raté de la défense algérienne, et Elvis Kafoteka de la tête.
Davi Banda a douché les espoirs algériens d'un éventuel renversement de situation en seconde période en inscrivant le troisième but du Malawi dès le retour des vestiaires.
A Cabinda, la Côte d'Ivoire a monopolisé le ballon en vain en se montrant incapable de transpercer la muraille défensive érigée par le Burkina Faso dans le groupe B, celui du Togo.
Le Marseillais Bakari Koné a notamment manqué trois occasions nettes et Didier Drogba est apparu loin de son meilleur niveau.
Le match a été précédé d'une minute de silence en hommage à l'entraîneur adjoint et à l'attaché de presse de l'équipe du Togo, tués dans le mitraillage de leur autocar vendredi à leur arrivée dans l'enclave de Cabinda en provenance du Congo. Cette attaque a été revendiquée par des rebelles séparatistes du Front de libération de l'Etat de Cabinda (Flec).
La sécurité avait été renforcée dans et autour du stade Chiazi avec notamment des fouilles de voitures et le survol de l'enceinte par un hélicoptère avant le coup d'envoi.
Avec Henrique Almeida à Luanda, version française Bertrand Boucey