Avant le départ des Eléphants pour la Can disputée en Angola, il y a eu un déferlement des hommes politiques au siège du Comité national de soutien aux Eléphants (Cnse). Certains pour prendre leur carte de supporter et traduire leur soutien aux Eléphants, d'autres par pure snobisme et masquer une certaine hypocrisie. A ce jeu, la palme d'or revient aux refondateurs.
Mais les efforts des refondateurds de solidarité autour de l'équipe nationale ne serviront à rien tant que l'environnement social est pollué et tant que les joueurs seront affectés psychologiquement. Qui sait si la levée de boucliers contre le président Mambé Beugré (Cei) n'a pas eu d'incidences sur le mental de nos joueurs? Surtout que les échos en provenance d'Abidjan leur parviennement régulièrement en faisant état de ce que les Ivoiriens sont au bord de l'affrontement fratricide. Lequel affrontement est, comme tout le monde sait, suscité et impulsé par le Fpi, parti politique au pouvoir et qui se retrouve aux abois suite à son échec dû aux mensonges. Pour sûr, beaucoup d'Ivoiriens ne pensent pas le contraire de la réalité et de l'actualité. Car en même temps que les refondateurs et les proches du camp présidentiel se veulent les chantres du patriotisme, ils travaillent à faire échouer les initiatives à la gloire du pays. Selon des sources crédibles, la contre-performance des Eléphants aurait un lien de causalité avec l'atmosphère politique délétère qui prévaut en ce moment dans notre pays. Nos représentants ont concédé, hier, un nul blanc aux Etalons parce que Didier Drogba et ses camarades ont joué, dit-on, la mort dans l'âme. D'abord, nos joueurs sont encore sous le choc de l'attaque contre l'équipe du Togo, étant entendu que le sort aurait pu être le leur ; ensuite, ils n'ont pas la quiétude qui s'impose aux joueurs au haut niveau. Ne sont-ce pas la conjugaison de ces facteurs psychologiques qui ont affaibli les Eléphants, au point où un adversaire laminé (3-8) à l'aller et au retour durant les éliminatoires les tienne en échec ? Simple question !
P K
Mais les efforts des refondateurds de solidarité autour de l'équipe nationale ne serviront à rien tant que l'environnement social est pollué et tant que les joueurs seront affectés psychologiquement. Qui sait si la levée de boucliers contre le président Mambé Beugré (Cei) n'a pas eu d'incidences sur le mental de nos joueurs? Surtout que les échos en provenance d'Abidjan leur parviennement régulièrement en faisant état de ce que les Ivoiriens sont au bord de l'affrontement fratricide. Lequel affrontement est, comme tout le monde sait, suscité et impulsé par le Fpi, parti politique au pouvoir et qui se retrouve aux abois suite à son échec dû aux mensonges. Pour sûr, beaucoup d'Ivoiriens ne pensent pas le contraire de la réalité et de l'actualité. Car en même temps que les refondateurs et les proches du camp présidentiel se veulent les chantres du patriotisme, ils travaillent à faire échouer les initiatives à la gloire du pays. Selon des sources crédibles, la contre-performance des Eléphants aurait un lien de causalité avec l'atmosphère politique délétère qui prévaut en ce moment dans notre pays. Nos représentants ont concédé, hier, un nul blanc aux Etalons parce que Didier Drogba et ses camarades ont joué, dit-on, la mort dans l'âme. D'abord, nos joueurs sont encore sous le choc de l'attaque contre l'équipe du Togo, étant entendu que le sort aurait pu être le leur ; ensuite, ils n'ont pas la quiétude qui s'impose aux joueurs au haut niveau. Ne sont-ce pas la conjugaison de ces facteurs psychologiques qui ont affaibli les Eléphants, au point où un adversaire laminé (3-8) à l'aller et au retour durant les éliminatoires les tienne en échec ? Simple question !
P K