Le match d’ouverture de la CAN 2010 qui a opposé le pays organisateur, l’Angola au Mali a failli couper le souffle à tous ceux qui l’ont regardé. Menant le Mali par 4 buts à zéro jusqu’à la 78ème minute, les Palancas Negras n’ont pu conserver ce score. La question qu’on ne peut que se poser est pourquoi les poulains de José Manuel n’ont pas su gérer cet avantage ? Interrogés Al Djazeera, le coach José Manuel a laissé entendre que la faute incombe aux joueurs, rejetant ainsi cette infortune. « Ils ne m’ont pas écouté. On ne peut pas mener 4-1 alors qu’il reste 12 minutes à jouer et se faire rejoindre comme ça », argue-t-il. Pour lui, ce sont des erreurs individuelles en défense qui ont permis au Mali de se créer des occasions de buts qu’ils ont pleinement concrétisés.
Pourtant ajoute-t-il. « Je leur ai demandé de garder le ballon et de le faire transiter de joueur en joueur avec de petites passes, pour tuer le match ». Les joueurs ont payé cher pour n’avoir pas pris en compte les recommandations de leur coach. Ce qui a permis aux Aigles du Mali de revenir au score durant 12 dernières minutes. José Manuel, de conclure son propos sur une note de déception et d’accusation. « Mais ils ne l’ont pas fait et ce résultat (4-4) a le goût d’une défaite pour nous », tranche-t-il. Des propos qui laissent entrevoir les rapports difficiles qui pourraient exister entre coach et joueurs, qui pénalisent le groupe.
Thérèse Nabil
Pourtant ajoute-t-il. « Je leur ai demandé de garder le ballon et de le faire transiter de joueur en joueur avec de petites passes, pour tuer le match ». Les joueurs ont payé cher pour n’avoir pas pris en compte les recommandations de leur coach. Ce qui a permis aux Aigles du Mali de revenir au score durant 12 dernières minutes. José Manuel, de conclure son propos sur une note de déception et d’accusation. « Mais ils ne l’ont pas fait et ce résultat (4-4) a le goût d’une défaite pour nous », tranche-t-il. Des propos qui laissent entrevoir les rapports difficiles qui pourraient exister entre coach et joueurs, qui pénalisent le groupe.
Thérèse Nabil